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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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7 août 2016

Evangile et Homélie du Di 07 août 2016. Tenez-vous prêts, c’est à l’heure où vous n’y penserez pas que le Fils de l’hoe viendra


Dimanche 07 août 2016

Nous sommes en temps ordinaire: 19 ème dimanche

Saint(s) du jour : Sts Sixte II (pape) et comp., martyrs († 258), St Gaétan (Gaetano) de Thiene, fondateur (1480-1547)


 

 

Livre de la Sagesse 18,6-9.

Cette nuit avait été connue d’avance par nos Pères ; assurés des promesses auxquelles ils avaient cru, ils étaient dans la joie. Et ton peuple accueillit à la fois le salut des justes et la ruine de leurs ennemis. En même temps que tu frappais nos adversaires, tu nous appelais à la gloire. Dans le secret de leurs maisons, les fidèles descendants des justes offraient un sacrifice, et ils consacrèrent d’un commun accord cette loi divine : que les saints partageraient aussi bien le meilleur que le pire ; et déjà ils entonnaient les chants de louange des Pères.


Psaume 33(32),1.12.18-19.20.22.

Criez de joie pour le Seigneur, hommes justes !
Hommes droits, à vous la louange !
Heureux le peuple dont le Seigneur est le Dieu,
heureuse la nation qu'il s'est choisie pour domaine !

Dieu veille sur ceux qui le craignent,
qui mettent leur espoir en son amour,
pour les délivrer de la mort,
les garder en vie aux jours de famine.

Nous attendons notre vie du Seigneur :
il est pour nous un appui, un bouclier.
Que ton amour, Seigneur, soit sur nous
comme notre espoir est en toi !


Lettre aux Hébreux 11,1-2.8-19.

Frères, la foi est une façon de posséder ce que l’on espère, un moyen de connaître des réalités qu’on ne voit pas. Et quand l’Écriture rend témoignage aux anciens, c’est à cause de leur foi. Grâce à la foi, Abraham obéit à l’appel de Dieu : il partit vers un pays qu’il devait recevoir en héritage, et il partit sans savoir où il allait. Grâce à la foi, il vint séjourner en immigré dans la Terre promise, comme en terre étrangère ; il vivait sous la tente, ainsi qu’Isaac et Jacob, héritiers de la même promesse, car il attendait la ville qui aurait de vraies fondations, la ville dont Dieu lui-même est le bâtisseur et l’architecte. Grâce à la foi, Sara, elle aussi, malgré son âge, fut rendue capable d’être à l’origine d’une descendance parce qu’elle pensait que Dieu est fidèle à ses promesses. C’est pourquoi, d’un seul homme, déjà marqué par la mort, a pu naître une descendance aussi nombreuse que les étoiles du ciel et que le sable au bord de la mer, une multitude innombrable. C’est dans la foi, sans avoir connu la réalisation des promesses, qu’ils sont tous morts ; mais ils l’avaient vue et saluée de loin, affirmant que, sur la terre, ils étaient des étrangers et des voyageurs. Or, parler ainsi, c’est montrer clairement qu’on est à la recherche d’une patrie. S’ils avaient songé à celle qu’ils avaient quittée, ils auraient eu la possibilité d’y revenir. En fait, ils aspiraient à une patrie meilleure, celle des cieux. Aussi Dieu n’a pas honte d’être appelé leur Dieu, puisqu’il leur a préparé une ville. Grâce à la foi, quand il fut soumis à l’épreuve, Abraham offrit Isaac en sacrifice. Et il offrait le fils unique, alors qu’il avait reçu les promesses et entendu cette parole : C’est par Isaac qu’une descendance portera ton nom. Il pensait en effet que Dieu est capable même de ressusciter les morts ; c’est pourquoi son fils lui fut rendu : il y a là une préfiguration.


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 12,32-48.

Sois sans crainte, petit troupeau : votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume. Vendez ce que vous possédez et donnez-le en aumône. Faites-vous des bourses qui ne s’usent pas, un trésor inépuisable dans les cieux, là où le voleur n’approche pas, où la mite ne détruit pas. Car là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur. Restez en tenue de service, votre ceinture autour des reins, et vos lampes allumées. Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces, pour lui ouvrir dès qu’il arrivera et frappera à la porte. Heureux ces serviteurs-là que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller. Amen, je vous le dis : c’est lui qui, la ceinture autour des reins, les fera prendre place à table et passera pour les servir. S’il revient vers minuit ou vers trois heures du matin et qu’il les trouve ainsi, heureux sont-ils ! Vous le savez bien : si le maître de maison avait su à quelle heure le voleur viendrait, il n’aurait pas laissé percer le mur de sa maison. Vous aussi, tenez-vous prêts : c’est à l’heure où vous n’y penserez pas que le Fils de l’homme viendra. » Pierre dit alors : « Seigneur, est-ce pour nous que tu dis cette parabole, ou bien pour tous ? » Le Seigneur répondit : « Que dire de l’intendant fidèle et sensé à qui le maître confiera la charge de son personnel pour distribuer, en temps voulu, la ration de nourriture ? Heureux ce serviteur que son maître, en arrivant, trouvera en train d’agir ainsi ! Vraiment, je vous le déclare : il l’établira sur tous ses biens. Mais si le serviteur se dit en lui-même : “Mon maître tarde à venir”, et s’il se met à frapper les serviteurs et les servantes, à manger, à boire et à s’enivrer, alors quand le maître viendra, le jour où son serviteur ne s’y attend pas et à l’heure qu’il ne connaît pas, il l’écartera et lui fera partager le sort desinfidèles. Le serviteur qui, connaissant la volonté de son maître, n’a rien préparé et n’a pas accompli cette volonté, recevra un grand nombre de coups. Mais celui qui ne la connaissait pas, et qui a mérité des coups pour sa conduite, celui-là n’en recevra qu’un petit nombre. À qui l’on a beaucoup donné, ondemandera beaucoup ; à qui l’on a beaucoup confié, on réclamera davantage.


 


 

Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés.


 

Homélie ou Méditation du jour


Abbé Melcior QUEROL i Solà (Ribes de Freser, Girona, Espagne)

«Tenez-vous prêts: c'est à l'heure où vous n'y penserez pas que le Fils de l'homme viendra»

Aujourd'hui, l'Évangile nous rappelle et nous exige de nous tenir toujours prêts «car, c'est à l'heure où vous n'y penserez pas que le Fils de l'homme viendra» (Lc 12,40). Il faut toujours veiller, nous devons vivre en tension permanente, “désinstallés”, nous sommes des pèlerins sur un monde qui passe, notre véritable patrie étant le ciel. C'est vers ce point où se dirige notre vie; que nous voulions ou non, notre existence terrestre n'est qu'un projet face à notre rencontre définitive avec le Seigneur, et c'est dans cette rencontre quand «à qui l'on a beaucoup donné, on demandera beaucoup; à qui l'on a beaucoup confié, on réclamera davantage» (Lc 12,48). N'est-ce donc pas le moment le plus important de notre vie? Vivons la vie de façon intelligente, rendons-nous compte de quel est le vrai trésor! N'allons guère derrière les trésors de ce monde, comme, d'ailleurs, tant des gens font souvent. N'ayons pas leur mentalité!

D'après la mentalité du monde: autant tu vaux autant tu as! Les personnes sont valorisées à travers l'argent qu'elles possèdent, leur catégorie sociale, leur prestige, leur pouvoir... Mais tout cela, aux yeux de Dieu ne vaut rien du tout! Suppose qu'aujourd'hui l'on découvre que tu as une maladie incurable, et que l'on t'accorde tout au plus un mois de vie... qu'est ce que tu vas faire de tout ton argent? Et de ton pouvoir, de ton prestige, de ta classe sociale, qu'est ce que tu vas en faire? Ils vont te servir à rien du tout! Te rends-tu compte que tout ce que le monde évalue autant, le moment de la vérité ne sert à rien? Et alors, lorsque tu regardes en arrière, autour de toi, tu vois que tous ces valeurs sont totalement changés: la relation des personnes qui t'entourent, l'amour, ce regard de paix et de compréhension, deviennent tout à coup les vrais valeurs, les trésors authentiques que tu —derrière les dieux de ce monde— avais toujours méprisés.

Aie l'intelligence évangélique de discerner quel est le vrai trésor! Que les richesses de ton cœur ne soient pas les dieux de ce monde, mais l'amour, la vraie paix, la sagesse et tous les dons que Dieu donne à ses fils préférés.


Homélies du Père Gilbert Adam

"Restez en tenue de service, et gardez vos lampes allumées.

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Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces, pour lui ouvrir dès qu’il arrivera et frappera à la porte. Heureux les serviteurs que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller. Amen, je vous le dis : il prendra la tenue de service, les fera passer à table et les servira chacun à son tour. S’il revient vers minuit ou plus tard encore et qu’il les trouve ainsi, heureux sont-ils ! Jésus voudrait que la Bonne Nouvelle de son Amour nous atteigne au cœur, pour que nous puissions envisager un changement, une conversion à l’écoute de la Parole de Dieu. Il nous appelle à faire preuve de disponibilité en nous libérant de tous nos soucis. Le Royaume de Dieu nous est donné, encore faut-il que nous le désirions, le Maitre nous attend pour nous servir ! Il n’est pas facile pour nous, dans la nuit de la foi, d’être attentifs, désireux d’un Royaume que nous ne voyons pas. Là où est notre trésor, là aussi est notre cœur. L’Evangile nous appelle à aimer Dieu davantage, pas seulement pour nous-mêmes, mais pour lui, pour l’humanité. Cet approfondissement de l’amour demande que nous nous perdions comme centre, que nous nous décentrions de nous-mêmes pour être tout ouvert à l’Amour.

"Sois sans crainte, petit troupeau, car votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume." Vendez ce que vous avez et donnez-le en aumône. Faites-vous une bourse qui ne s’use pas, un trésor inépuisable dans les cieux, là où le voleur n’approche pas, où la mite ne ronge pas. Car là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur. Vous le savez bien : si le maître de maison connaissait l’heure où le voleur doit venir, il ne laisserait pas percer le mur de sa maison. Vous aussi, tenez-vous prêts : c’est à l’heure où vous n’y penserez pas que le Fils de l’homme viendra. » Le serviteur qui attend le retour de son maître l’attend en préparant ce qu’il veut accomplir. Il ne s’agit pas de faire autre chose pendant ce temps d’attente, que ce que veut notre maître. C’est l’Amour tout nouveau du Royaume que nous désirons. Nous savons que nous risquons de le délaisser, car nous sommes pris par les choses ce monde ! Nous considérons que nous sommes là pour recevoir la volonté de Dieu, pour répondre à ses attentes. Nous gagnons le bonheur de pouvoir l’écouter, de l’entendre se révéler, et nous entrons en dialogue permanent avec lui. Jésus nous réintroduit dans le mystère de notre filiation divine, car nous sommes l’enfant bien aimé du Père. Ce trésor est caché au plus profond de nous-mêmes, il nous faut en prendre soin. Les différentes veilles de l’Évangile nous remettent devant « l’heure » de la Passion de Jésus pour nous ! En effet Jésus prépare le Royaume en donnant sa vie pour que nous ayons une vie nouvelle, l’amour infini de Dieu pour nous.

"Pierre dit alors : « Seigneur, cette parabole s’adresse-t-elle à nous, ou à tout le monde ? » Le Seigneur répond : « Quel est donc l’intendant fidèle et sensé à qui le maître confiera la charge de ses domestiques pour leur donner, en temps voulu, leur part de blé ? Heureux serviteur, que son maître, en arrivant, trouvera à son travail. Vraiment, je vous le déclare : il lui confiera la charge de tous ses biens. Mais si le même serviteur se dit : ’Mon maître tarde à venir,’ et s’il se met à frapper serviteurs et servantes, à manger, à boire et à s’enivrer, son maître viendra le jour où il ne l’attend pas et à l’heure qu’il n’a pas prévue ; il se séparera de lui et le mettra parmi les infidèles. Le serviteur qui, connaissant la volonté de son maître, n’a pourtant rien préparé, ni accompli cette volonté, recevra un grand nombre de coups. Mais celui qui ne la connaissait pas, et qui a mérité des coups pour sa conduite, n’en recevra qu’un petit nombre. A qui l’on a beaucoup donné, on demandera beaucoup ; à qui l’on a beaucoup confié, on réclamera davantage. Jésus nous invite à entrer en relation avec lui, dans une attitude d’écoute simple et profonde. Il nous demande une attitude de vigilance, pour nous laisser conduire par lui vers l’Amour. Le Royaume de Dieu est un Royaume ouvert qui nous entraine à œuvrer pour qu’il se réalise déjà par nos actes de compassion. Se faire des bourses qui ne s’usent pas, se faire un trésor dans les cieux. Car là où est notre trésor, là aussi sera notre cœur, nous découvrons ainsi en nous de nouveaux aspects de notre être qui grandit en Amour de plus en plus.

Nous demandons la grâce de chercher le Royaume de Dieu et sa justice.  Père Gilbert Adam, 2016. http://www.pere-gilbert-adam.org


 

Meditation de Jeanne Mendras, consacrée de Regnum Christi

Prière d'introduction

 

Mon Dieu, humblement je frappe à ta porte car je veux te rencontrer. J’ai besoin de toi. Viens dans mon cœur, ne tarde pas.

 

Demande

 

Donne moi ton cœur pour que je fasse ta mission mienne et que, comme toi, j’offre toute ma vie à sa réalisation.

 

Points de réflexion

 

1. Jésus emploie beaucoup de paraboles pour nous faire comprendre que nous sommes ses envoyés, ceux qui « travaillent » pour lui. Tout chrétien, par son baptême, est envoyé par Dieu pour continuer l’œuvre de Jésus Christ. Comme pour toute parabole, l’analogie garde ses limites. La relation maître - intendant n’est pas celle que nous devons avoir envers Dieu, mais c’est une image qui nous éclaire sur la pédagogie de Dieu. Dieu est profondément actif, il ne se désintéresse pas de sa création, mais c’est justement parce qu’il est très actif, que nous-même, qui sommes le corps mystique du Christ et ses amis, nous devons contribuer à son œuvre.

 

2. Pierre demande au Christ : « Seigneur est-ce pour nous que tu dis cette parabole, ou bien pour tout le monde? » Jésus ne lui répond pas directement, mais comment Pierre peut-il ne pas se sentir concerné comme étant l’intendant fidèle et investi par Jésus ? Si ce n’était pas assez clair pour Pierre, Jésus lui répond en lui confiant son troupeau, dans d’autres passages (Mat 16;18 et Jn 21;17). Mais qui peut se sentir étranger à cette mission, après avoir goûté l’intimité et l’amitié de Notre Seigneur et après avoir entendu Jésus lui dire « Je ne vous appelle plus serviteurs car le serviteur ignore ce que veut faire son maître. Maintenant je vous appelle mes amis car tout ce que j’ai appris de mon Père, je vous l’ai fait connaître » ? C’est à nous tous que Jésus s’adresse. Nous sommes tous ces serviteurs et amis dont il parle.

 

3. Ce passage parle d’une tentation fréquente au cours de l’histoire: penser que la fin du monde est pour bientôt et que nous n’avons plus qu’à attendre. Du moins ce fut une grande tentation aux premiers siècles du Christianisme. C’est pourquoi Jésus veut nous prévenir, en nous affirmant que cette fin du monde tant attendue restera toujours mystérieuse. « Vous aussi, tenez-vous prêts : c'est à l'heure où vous n'y penserez pas que le Fils de l'homme viendra ». Certes, Jésus reviendra dans sa gloire lors de la parousie, mais nous ne savons pas quand cela aura lieu. Ce n’est pas important dans le sens où ςa ne sert à rien de se préoccuper, car ςa ne dépend pas de nous, et Jésus veut nous encourager à vivre le moment présent. C’est dans chaque moment présent que nous pouvons rencontrer Dieu, l’accueillir et le transmettre. L’avenir lui appartient, et Jésus Christ n’a-t-il pas dit : « Je suis avec vous pour toujours jusqu'à la fin du monde » ? (Lc, 20;28) Il est présent avec nous : vivons dès aujourd’hui les prémices de la vie éternelle, qui arrivera à sa plénitude quand Dieu l’aura voulu.

 

Dialogue avec le Christ

 

Jésus, tu m’envoies dans le monde pour que je participe à ta mission, de faire connaître l’amour de la Sainte Trinité aux hommes et, ainsi, les préparer à ton royaume. Permets-moi, comme les vierges sages, de veiller et de persévérer dans cette mission. Ta confiance me comble, Seigneur. Je n’en suis pas digne mais si tu l’as voulu ainsi, que ta volonté soit faite.

 

Résolution

 

Vivre ma journée en prenant conscience que chaque acte que je pose, en m’unissant a Jésus Christ anticipe sa venue dans mon cœur et dans le cœur des hommes.

Regnum Christi, 2016 (http://www.regnumchristi.fr)

 


 

Saint Cyprien (v. 200-258), évêque de Carthage et martyr. De l'unité, 26-27 (trad. cf. DDB 1979, p. 49 et AELF)

« Tenez-vous prêts »

C'est à notre temps que songeait le Seigneur quand il a dit : « Le Fils de l'homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur terre ? » (Lc 18,8) Nous voyons cette prophétie se réaliser. La crainte de Dieu, la loi de la justice, la charité, les bonnes œuvres, on n'y croit plus... Tout ce que craindrait notre conscience, si elle y croyait, elle ne le craint pas, parce qu'elle n'y croit pas. Car si elle y croyait, elle serait vigilante ; et si elle était vigilante, elle se sauverait.

Réveillons-nous donc, frères très chers, autant que nous en sommes capables. Secouons le sommeil de notre inertie. Veillons à observer et à pratiquer les préceptes du Seigneur. Soyons tels qu'il nous a prescrit d'être, quand il a dit : « Restez en tenue de service et gardez vos lampes allumées. Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces pour lui ouvrir dès qu'il arrivera et frappera à la porte. Heureux les serviteurs que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller ».

Oui, restons en tenue de service, de peur que, quand viendra le jour du départ, il ne nous trouve embarrassés et empêtrés. Que notre lumière brille et rayonne de bonnes œuvres, qu'elle nous achemine de la nuit de ce monde à la lumière et à la charité éternelles. Attendons avec soin et prudence l'arrivée soudaine du Seigneur, afin que, lorsqu'il frappera à la porte, notre foi soit en éveil pour recevoir du Seigneur la récompense de sa vigilance. Si nous observons ces commandements, si nous retenons ces avertissements et ces préceptes, les ruses trompeuses de l'Accusateur ne pourront pas nous accabler pendant notre sommeil. Mais reconnus serviteurs vigilants, nous régnerons avec le Christ triomphant. EAQ (Evangelizo.org 2001-2016).


 

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© Secrétariat Chorale-CSFA 2016

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csfachorale@gmail.com

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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