Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Chorale Belgo-Burundaise CSFA
Chorale Belgo-Burundaise CSFA
Pages
Archives
Newsletter
18 abonnés
1 septembre 2016

Evangile, Saint et Homélie du Jeudi 01 septembre 2016. La pêche miraculeuse


Jeudi 01 septembre 2016

Le jeudi de la 22e semaine du temps ordinaire

Saint(s) du jour : St Gilles, ermite (VIe ou VIIe s.), Ste Thérèse Marguerite du Sacré-Coeur, cal. carmélitain (1747-1770)



Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 3,18-23.

Que personne ne s’y trompe : si quelqu’un parmi vous pense être un sage à la manière d’ici-bas, qu’il devienne fou pour devenir sage. Car la sagesse de ce monde est folie devant Dieu. Il est écrit en effet : C’est lui qui prend les sages au piège de leur propre habileté. Il est écrit encore : Le Seigneur le sait : les raisonnements des sages n’ont aucune valeur ! Ainsi, il ne faut pas mettre sa fierté en tel ou tel homme. Car tout vous appartient, que ce soit Paul, Apollos, Pierre, le monde, la vie, la mort, le présent, l’avenir : tout est à vous, mais vous, vous êtes au Christ, et le Christ est à Dieu.

Psaume 24(23),1-2.3-4ab.5-6.

Au Seigneur, le monde et sa richesse,
la terre et tous ses habitants !
C'est lui qui l'a fondée sur les mers
et la garde inébranlable sur les flots.

Qui peut gravir la montagne du Seigneur
et se tenir dans le lieu saint ?
L'homme au cœur pur, aux mains innocentes,
qui ne livre pas son âme aux idoles.

Il obtient, du Seigneur, la bénédiction,
et de Dieu son Sauveur, la justice.
Voici le peuple de ceux qui le cherchent !
Voici Jacob qui recherche ta face !


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 5,1-11.

En ce temps-là, la foule se pressait autour de Jésus pour écouter la parole de Dieu, tandis qu’il se tenait au bord du lac de Génésareth. Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets.
Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon, et lui demanda de s’écarter un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules. Quand il eut fini de parler, il dit à Simon : « Avance au large, et jetez vos filets pour la pêche. » Simon lui répondit : « Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je vais jeter les filets. » Et l’ayant fait, ils capturèrent une telle quantité de poissons que leurs filets allaient se déchirer. Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque de venir les aider. Ceux-ci vinrent, et ils remplirent les deux barques, à tel point qu’elles enfonçaient. À cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus, en disant : « Éloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur. » En effet, un grand effroi l’avait saisi, lui et tous ceux qui étaient avec lui, devant la quantité de poissons qu’ils avaient pêchés ; et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, les associés de Simon. Jésus dit à Simon : « Sois sans crainte, désormais ce sont des hommes que tu prendras.» Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent.


 

Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés. 


 Homélie ou Méditation du jour


Aujourd'hui, encore, nous sommes surpris de constater que ces pécheurs furent capables de quitter leur travail, leur famille et de suivre Jésus («laissant tout, ils le suivirent»: Lc 5,11) précisément au moment où Celui-ci se présente à leurs yeux comme un collaborateur d'exception dans le négoce qui assure leur subsistance. Si Jésus de Nazareth nous faisait la même proposition, en notre XXIe siècle…, aurions-nous le courage de ces hommes? Serions-nous capables de saisir où est le véritable gain?

Nous, chrétiens, nous croyons que le Christ est éternel présent; par conséquent, ce Christ qui est ressuscité demande, non plus à Pierre, à Jean ou à Jacques, mais à Georges, à Emmanuel ou à Paula, à chacun de ceux qui le confessent comme leur Seigneur, Il demande, je le répète, sur la base du texte de Luc, de le prendre dans la barque de notre vie, car Il veut se reposer à nos côtés; Il nous demande de le laisser se servir de nous, de lui permettre de nous montrer vers où orienter notre existence pour être féconds au milieu d'une société nécessiteuse de la Bonne Nouvelle, dont elle s'éloigne pourtant chaque fois davantage. La proposition est attirante, il ne nous manque qu'à savoir et à vouloir nous défaire de nos craintes, de nos préjugés et de mettre le cap vers des eaux plus profondes ou, ce qui revient au même, vers des horizons plus lointains que ceux qui limitent notre médiocre quotidien fait d'angoisses et de découragements. «Celui qui peine sur la route, pour peu qu'il avance, se rapproche du but; celui qui court hors du chemin, plus il court, plus il s’éloigne du but» (saint Thomas d'Aquin).

«Duc in altum», «Avance au large» (Lc 5,4): Ne restons pas sur les bords d'un monde qui vit en se regardant le nombril! Notre navigation sur les mers de la vie doit nous emmener à jeter l'ancre dans la terre promise, fin de notre traversée vers ce Ciel espéré, cadeau du Père mais aussi —indivisiblement— travail de l'homme —le tien, le mien— au service des autres dans la barque de l'Église. Le Christ connaît bien les fonds, tout dépend de nous: ou bien le port de notre égoïsme, ou bien ses horizons à Lui.  http://evangeli.net/evangile.


 

Homélie du Père Philippe

La foule s’est à nouveau rassemblée autour de Jésus pour écouter sa parole, pour « écouter la Parole de Dieu », précise saint Luc qui nous aide à faire le parallèle entre l’être même de Jésus, le Verbe fait chair, et sa parole.  Jésus est tellement « pressé » par cette foule assoiffée d’une parole de vie qu’il sent la nécessité de prendre de la distance en montant dans une des barques qui appartient à Simon. On a vraiment l’impression que Jésus est oppressé, comme si la foule, dans une sorte d’instinct de survie, voulait mettre la main sur lui comme on saisit un morceau de nourriture pour se l’assimiler. Cela laisse d’ailleurs percevoir la détresse spirituelle de cette foule.  Mais on ne peut mettre la main sur la Parole divine. Tenter de se l’approprier d’une façon définitive serait faire fausse route. Car ce n’est que dans la mesure où on accepte de la recevoir à chaque instant d’un Autre qu’elle peut se montrer réellement efficace dans la barque de chacune de nos vies.

Le premier que rejoint ici cette Parole c’est Simon. Elle est montée dans sa barque et maintenant l’évangéliste va nous donner d’être témoin de son action.  « Avance au large et jette les filets pour prendre du poisson » ! La Parole de Dieu, dans un premier temps est toujours déconcertante. Elle nous bouleverse dans nos fausses certitudes : « Maître, nous avons peiné toute la nuit, sans rien prendre » et l’on pourrait rajouter que Simon connaissait bien son métier.  Pourtant, Simon va faire confiance et obéir. Voilà l’attitude d’accueil par excellence de la Parole divine : la confiance et l’obéissance dans une libre adhésion de foi. Car on n’obéit pas à la Parole de Dieu d’une façon servile. Voilà pourquoi Simon peut recevoir les paroles de Jésus comme un ordre : « sur ton ordre, je vais jeter les filets ».

En mettant ainsi toute sa foi dans les paroles du Maître et en leur obéissant, Simon va leur permettre de pouvoir manifester toute leur efficacité dans sa vie. Et le résultat ne se fait pas attendre : « ils prirent une telle quantité de poissons que leurs filets se déchiraient ». Devant la grandeur de ce qui vient de s’accomplir sous ses yeux et devant celui qui en est à l’origine, Simon tombe à genoux dans une sorte d’effroi, converti, détourné du découragement de toute une nuit, détourné de sa faiblesse et de ses craintes et totalement tourné vers Celui par qui le Père lui révèle la surabondance du don de sa miséricorde.  La révélation du Dieu de miséricorde donne alors à Simon, à l’homme pécheur, une connaissance saisissante de son péché, de tout ce qui le détourne de l’accueil de ce don : « Seigneur éloigne-toi de moi, car je suis un homme pécheur ».

Mais Jésus lui signifie aussitôt son pardon : « Sois sans crainte » et par un nouvel appel l’ouvre à une intimité et à une union plus grande avec lui au cœur même de la mission : « Désormais ce sont des hommes que tu prendras ».  Simon est dès lors invité à avancer en eau profonde, à entrer toujours plus profondément dans le mystère de la Parole de Jésus qui contient tout. La fécondité advient lorsqu’on se livre aux mains de Dieu comme un instrument, ce qui suppose de tout quitter et de se quitter soi-même : « alors, ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent ». L’appel de Dieu est pure initiative, il est la Parole du Don.

 Seigneur, que ta Parole vienne nous rejoindre dans la barque de notre vie. Nous voulons aujourd’hui l’accueillir avec confiance et répondre à son appel. Cela nous dépasse, Seigneur. Mais parce que nous savons que la mission que tu nous confies procède de ton Amour toujours acquis, dans l’action de grâce, nous voulons nous y livrer de tout notre cœur, de toute notre âme et de toute notre force. http://www.meinau-catholiques.org

 

 

 


 

 

Méditation de Père Jean-Marie Fornerod, LC

 

Prière d'introduction

 

Seigneur, je suis un pécheur, comme Simon. Mais tu es venu à ma rencontre, tu viens à ma rencontre. Merci, Jésus. Laisse-moi m’approcher de toi.

 

Demande

 

Le don de la crainte de Dieu.

 

Points de réflexion

 

1. Ce passage de l’Évangile de Luc nous raconte la scène, connue, de la pêche miraculeuse. Après avoir parlé à la foule depuis la barque de Pierre, Jésus ordonne d’aller au large pour prendre du poisson. Pierre, sceptique, obéit pourtant. Et la barque ne suffit pas à contenir tous les poissons qui se prennent dans les filets. Dans tout cet épisode, nous pourrions ne pas faire trop attention à la réaction de Pierre après le miracle, alors qu’elle contient un enseignement spirituel important.

2. La réaction immédiate de Pierre, en effet, est la crainte : « À cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus, en disant : “Éloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur”. En effet, un grand effroi l’avait saisi, lui et tous ceux qui étaient avec lui ». Ce n’est pas la première fois dans la Bible qu’un homme qui vient au contact de Dieu éprouve ce sentiment de crainte. Le prophète Isaïe, alors que Dieu se manifeste à lui, réagit de cette manière : « Malheur à moi ! Je suis perdu, car je suis un homme aux lèvres impures, j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres impures : et mes yeux ont vu le Roi, le Seigneur de l’univers ! » (Is 6, 5).

3. Cette crainte reflète une conscience de la présence divine, de sa grandeur et de sa transcendance. Elle reflète aussi la conscience d’être en présence d’un être personnel, avec qui une relation peut s’établir. Surgit alors cette crainte, crainte similaire à celle que l’on éprouve devant une personne que l’on estime et que l’on aime, à laquelle on voudrait donner tout notre amour. Et notre faiblesse nous fait craindre de ne pouvoir y arriver. Cette crainte est indispensable pour vivre une véritable vie chrétienne. On ne laissera en effet totalement vivre le Christ en nous que lorsque nous nous serons rendus compte que par nos propres forces nous ne pouvons pas arriver à la plénitude de l’amour. Nous laisserons alors Jésus vivre et aimer en nous : « Je vis, mais ce n’est plus moi, c’est le Christ qui vit en moi » (Gal 2, 20).

 

Dialogue avec le Christ

 

Seigneur, viens vivre en moi ! Tu es le seul qui puisse m’apprendre à véritablement aimer. Je veux m’abandonner à toi, je veux te suivre partout.

 

Résolution

 

Essayer, dans la prière et dans les sacrements, d’avoir davantage conscience de la présence de Dieu. http://www.regnumchristi.fr

 


 

 

 

 

Un jour, Jésus se trouvait sur le bord du lac de Génésareth ; la foule se pressait autour de lui pour écouter la parole de Dieu.

Jésus vit deux barques amarrées au bord du lac ; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets. Jésus monta dans une des barques, qui appartenait à Simon, et lui demanda de s’éloigner un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait la foule. Nous sommes dans à un tournant de la vie de Pierre qui prend avec lui Jésus dans sa barque. Simon accepte de bonne grâce de s’éloigner un peu du rivage pour que, monté dans le bateau, la voix de Jésus porte mieux et que tout le monde entende. Les pêcheurs viennent de terminer leur travail, c’est au moment où ils ont renoncé à la pèche et qu’ils rangent leur matériel, car l’échec est définitif pour ce jour-là, que Jésus se met à parler. Quand il est trop tard pour les hommes, il n’est jamais trop tard pour Dieu. Il nous demande souvent, aux moments de fatigue ou de découragement, le petit geste qui n’a l’air de rien, mais qui déjà nous met en marche vers lui. Dieu est venu chez lui, il parle à partir de la barque de Pierre. La Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres, car Marie a consenti, elle aussi, à porter en elle le Fils bien-aimé du Père.

Quand Jésus eut fini de parler, Jésus dit à Simon : « Avance au large, et jetez les filets pour prendre du poisson. » Simon lui répondit : « Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ton ordre, je vais jeter les filets. » Ils le firent, et ils prirent une telle quantité de poissons que leurs filets se déchiraient. Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque de venir les aider. Ceux-ci vinrent, et ils remplirent les deux barques, à tel point qu’elles enfonçaient. Jésus pense déjà à la pêche spirituelle quand il propose à Pierre de jeter les filets. Par la foi, par sa confiance au « Rabbi », Pierre a su dépasser les limites de son bon sens trop humain. La Parole de Jésus est plus forte que toutes ses évidences. Sur ta parole, dit Pierre, je vais jeter les filets. Pierre lance son filet selon le Verbe, il répandra partout son éloquence selon le Christ. Il lancera, au nom de Jésus, des paroles claires et efficaces qui permettront de sauver des hommes. La barque de l’Église, deux mille ans après, continue sa route toujours ballottée par les flots, n’ayant qu’une parole, la Bonne Nouvelle de Jésus. C’est ainsi que la Parole de Dieu prend corps au milieu de nous, le Verbe fait chair, Dieu qui se fait humain, demande à Marie de « l’abriter sous sa tente, » de manière merveilleuse, dans le mystère de l’Annonciation. L’Esprit Saint la couvre de son ombre et la Parole devient chair. Dieu vient chez nous, il se fait l’un de nous, il marche sur nos chemins.

A cette vue, Simon-Pierre tomba aux pieds de Jésus, en disant : « Seigneur, éloigne-toi de moi, car je suis un homme pécheur. » L’effroi, en effet, l’avait saisi, lui et ceux qui étaient avec lui, devant la quantité de poissons qu’ils avaient prise ; et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, ses compagnons. Jésus dit à Simon : « Sois sans crainte, désormais ce sont des hommes que tu prendras. » Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent. Pierre est saisi de tremblement, de cette crainte annoncée par l’Écriture quand Dieu passe. Il dit à Jésus : « Éloigne-toi de moi, Seigneur, je suis un homme pécheur. » Suite à la parole donnée, Pierre éprouve à la fois, attirance et effroi. Il touche au plus profond de lui-même celui qui le rend libre, pauvre, disponible. Dans cette prostration, la Parole le rejoint au plus profond de lui-même. Quand Dieu agit dans une vie, tout devient possible, nous lui laissons nos mains libres. Dieu qui est le tout autre, veut être aussi le tout proche. Non seulement il est le tout-puissant, mais il veut être le tout aimé. Jésus nous propose ainsi de le suivre, de continuer l’aventure qui est commencée. L’humanité va apprendre la Bonne Nouvelle par les Apôtres. Le don de Dieu va arriver jusqu’à nous ! La barque de l’Église, deux mille ans après, continue sa route annonçant la Bonne Nouvelle de Jésus. Nous sommes encore dans cette barque et l’amour de Dieu circule dans le cœur humain.

 

Nous demandons la grâce d’être nourris de la Parole de Dieu comme Marie l’a accueilli dans son cœur et dans sa vie.  http://www.pere-gilbert-adam.org

 

 


 

 

 

Saint Josémaria Escriva de Balaguer (1902-1975), prêtre, fondateur. Homélie in Amigos de Dios (trad. Amis de Dieu, Le Laurier 2000, p.318)

« Désormais ce sont des hommes que tu prendras »

« Voici : je vais envoyer quantité de pêcheurs, oracle du Seigneur, qui les pêcheront » (Jr 16,16). Il nous précise ainsi notre grande mission : la pêche. On dit ou on écrit parfois que le monde est comme une mer. Il y a du vrai dans cette comparaison. Dans la vie humaine, comme dans la mer, il existe des périodes de calme et de tempête, de tranquillité et de vents violents. Les hommes se trouvent fréquemment dans des eaux amères, parmi de grandes vagues ; ils avancent au milieu des orages, tristes navigateurs, même quand ils semblent joyeux, voire exubérants : leurs éclats de rire cherchent à dissimuler leur découragement, leur déception, leur vie sans charité ni compréhension. Ils se dévorent les uns les autres, comme les poissons.

Faire en sorte que tous les hommes entrent, de plein gré, dans les filets divins et s'aiment les uns les autres, voilà la tâche des enfants de Dieu. Si nous sommes chrétiens, nous devons nous transformer en ces pêcheurs que décrit le prophète Jérémie à l'aide d'une métaphore que Jésus Christ a également employée à plusieurs reprises : « Venez à ma suite, et je vous ferai pêcheurs d'homme », dit-il à Pierre et à André.

Nous allons accompagner le Christ dans cette pêche divine. Jésus est « au bord du lac de Génésareth et les gens se bousculent autour de lui, désireux d'écouter la parole de Dieu » (Lc 5,1). Comme aujourd'hui ! Ne le voyez-vous pas ?

 

 

-------------------------------------------------------------------------
© Secrétariat Chorale-CSFA 2016

Pour faire un commentaire, un leg ou un don, écrire à :

csfachorale@gmail.com

-------------------------------------------------------------------------

 


 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Chorale Belgo-Burundaise CSFA
  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 1 043 159
Publicité