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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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3 novembre 2016

Evangile et Homélie du Jeudi 03 Nov 2016. Il y a de la joie chez les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit

 

 


Jeudi 03 novembre 2016
Nous sommes en temps ordinaire: 31e semaine

Saint(s) du jour  : St Martin de Porres, religieux (1579-1639)St Hubert, évêque de Tongres-Maastricht-Liège († 727) 


 
Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens 3,3-8a.

Frères, c’est nous qui sommes les vrais circoncis, nous qui rendons notre culte par l’Esprit de Dieu, nous qui mettons notre fierté dans le Christ Jésus et qui ne plaçons pas notre confiance dans ce qui est charnel. J’aurais pourtant, moi aussi, des raisons de placer ma confiance dans la chair. Si un autre pense avoir des raisons de le faire, moi, j’en ai bien davantage : circoncis à huit jours, de la race d’Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu, fils d’Hébreux ; pour l’observance de la loi de Moïse, j’étais pharisien ; pour ce qui est du zèle, j’étais persécuteur de l’Église ; pour la justice que donne la Loi, j’étais devenu irréprochable. Mais tous ces avantages que j’avais, je les ai considérés, à cause du Christ, comme une perte. Oui, je considère tout cela comme une perte à cause de ce bien qui dépasse tout : la connaissance du Christ Jésus, mon Seigneur.


Psaume 105(104),2-3.4-5.6-7.

Chantez et jouez pour lui, 
redites sans fin ses merveilles.
Glorifiez-vous de son nom très saint : 
joie pour les cœurs qui cherchent Dieu !

Cherchez le Seigneur et sa puissance,
recherchez sans trêve sa face.
souvenez-vous des merveilles qu'il a faites, 
de ses prodiges, des jugements qu'il prononça.

Vous, la race d'Abraham son serviteur, 
les fils de Jacob, qu'il a choisis.
Le Seigneur, c'est lui notre Dieu : 
ses jugements font loi pour l'univers.


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 15,1-10.

En ce temps-là, les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » Alors Jésus leur dit cette parabole : « Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une, n’abandonne-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? Quand il l’a retrouvée, il la prend sur ses épaules, tout joyeux, et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins pour leur dire : “Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue !” Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion. » Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une, ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison, et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ? Quand elle l’a retrouvée, elle rassemble ses amies et ses voisines pour leur dire : “Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue !” Ainsi je vous le dis : Il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit. »

– Acclamons la Parole de Dieu.


 Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés.


 Homélie ou Méditation du jour

  Homélies d'evangeli.net

 

«Il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit»
Aujourd'hui, l'évangéliste de la miséricorde de Dieu nous relate deux paraboles de Jésus qui illuminent la manière d'agir de Dieu vis-à-vis des pécheurs qui reprennent le droit chemin. Avec l'image humaine de la joie, Il nous révèle la bonté divine et comment Dieu se complaît avec le retour de celui qui s'est éloigné du péché. C'est comme le retour à la maison du Père (comme Il le dira plus nettement dans Lc 15,11-32). Le Seigneur n'est pas venu pour condamner le monde mais pour le sauver (cf. Jn 3,17) et Il a fait cela en accueillant les pécheurs qui remplis de confiance «venaient tous à Jésus pour l'écouter» (Lc 15,1), puisqu'Il guérissait leurs âmes de la même façon dont un médecin guérit le corps d'un malade. Les pharisiens se considéraient comme des hommes bons et ne ressentaient pas le besoin d'aller voir le médecin, et l'évangéliste nous dit que c'est à eux que Jésus adressait les paraboles que nous lisons aujourd'hui.

Si nous sommes "spirituellement" malades, Jésus s'occupera de nous et se réjouira que nous recourrions à Lui. Mais, par contre, si comme les pharisiens orgueilleux nous croyons que nous n'avons pas besoin de demander pardon, le médecin divin ne pourra rien pour nous. Nous devons nous sentir pécheurs à chaque fois que nous récitons le Notre Père, puisque dans cette prière nous lui demandons de «pardonner nos offenses…». Et comme nous devons Lui être reconnaissants de le faire! Et comme nous devons Le remercier pour le sacrement de la réconciliation qu'Il a mis à notre portée avec tant de compassion! Que l'orgueil ne nous fasse pas le mépriser. Saint Augustin nous dit que le Christ, Dieu Homme, nous a donné l'exemple de l'humilité pour nous guérir du "cancer" de l'orgueil, «car l'homme orgueilleux est une grande misère, mais un Dieu humble est une plus grande miséricorde».

Nous devons encore dire que la leçon de Jésus aux pharisiens est aussi un exemple pour nous, nous ne pouvons pas éloigner de nous les pécheurs. Le Seigneur veut que nous nous aimions comme Lui nous a aimés (cf. Jn 13,34) et nous devons ressentir une grande joie quand nous ramenons une brebis égarée au bercail ou que nous récupérons une pièce que nous avions perdue.
Abbé  Francesc     NICOLAU i Pous        (Barcelona, Espagne)

http://evangeli.net/evangile

 


Homélie du Père Philippe

Pour Jésus la conversion ce n’est pas un homme ou une femme qui, de son initiative multiplie efforts, ascèses et pénitences pour changer sa vie, pour la    détordre, la redresser, la ramener vers Dieu.

 La conversion, c’est une brebis complètement égarée au fond d’un ravin couverte de boue et blessée de toutes parts qui voit s’approcher son berger. Une brebis    qui découvre l’amour de son Berger qui a tout laissé, qui a tout risqué,  pour la retrouver comme si elle était son unique brebis au monde. La conversion c’est cette brebis qui se laisse approcher, qui se laisse rencontrer, qui se laisse prendre sur les épaules du berger et qui, à la maison, consent    à être fêtée alors qu’elle s’attendait à être battue. Découvrir l’Amour fou du Berger, se laisser approcher, se laisser porter et consentir à être fêté… C’est comme cela que naît une conversion ! La fatigue n’est    pas d’abord celle du converti, elle est celle de Dieu. Si nous savions combien Dieu se « fatigue » pour aller nous chercher et nous offrir son amour.

 

Cette « fatigue » divine traverse tous les temps, toutes les générations. Dieu est sans cesse en marche dans les déserts du monde pour chercher chaque brebis    perdue. Il est même dans les églises ! Parce que s’il y a la brebis perdue au loin dans les déserts, il y a aussi la drachme perdue dans la maison, c'est-à-dire chacun    de nous qui certes sommes dans la maison mais qui avons tant besoin de nous convertir. La vie de sainteté appelle à une continuelle conversion, parce que la vie chrétienne elle-même l’exige. Combien là aussi Dieu se fatigue pour nous chercher…

 

L’Évangile nous parle des trois gestes de Dieu dans sa maison : le Seigneur allume une lampe ; il balaie la maison ; il cherche avec soin jusqu’à ce qu’il nous    retrouve… Tout cela pour une drachme ? Frères et sœurs, est-ce que Dieu se fatigue pour un sou ou pour une seule brebis ? Oui! Dieu se fatigue et se livre pour chacun de nous. « Mon Père, s’il est possible, que passe loin de moi cette coupe ! Cependant, non comme moi je veux, mais comme tu veux » (Mt 26,39). Alors Jésus entra en agonie    ; il priait plus intensément ; Sa sueur devint comme des caillots de sang descendant sur la terre (Lc 22,44).

 

C’est ce qu’il en coûte à Dieu pour venir chercher et sauver ce qui était perdu (Lc 19,10) Oui mes brebis je les retirerai de tous les lieux où elles furent    dispersées, aux jours de nuées et de ténèbres. Je chercherai celle qui est perdue, je ramènerai celle qui est égarée, je panserai celle qui est blessée, je fortifierai celle qui est malade (Éz    34, 12..16) Et cela aux prix des épines d’une couronne d’insultes, au prix de la route d’une humiliation à l’autre au prix du rejet de la malédiction, de la haine… au prix    de la croix et au prix de la descente dans tous les enfers…C’est cela le travail de Dieu. Travail d’accouchement de créatures nouvelles, de créatures converties, c'est-à-dire d’hommes et de femmes qui se retournent vers    l’Amour, dans la conversion du cœur ; d’homme et de femmes transformées de l’intérieur.

 

À quoi les reconnaît-on ? À ce que eux aussi ils se mettent à la recherche des brebis et des drachmes perdues.

 

 

Père Philippe

 

http://www.meinau-catholiques.org

 


 

Meditations RC

 

Prière d'introduction

 

Seigneur, je viens devant toi, à ton écoute. Aide-moi à ouvrir mon cœur, pour que ta Parole puisse y entrer et que je puisse en vivre.

Demande

Pouvoir découvrir la joie de la miséricorde.

Points de réflexion

1. Dans ce passage de l’Évangile de Luc, Jésus illustre par deux petites paraboles l’attitude de miséricorde de Dieu. Les situations décrites dans les deux paraboles sont en apparence bien différentes. Dans la première il s’agit d’une brebis qui s’est perdue, tandis que dans la deuxième c’est une pièce de monnaie qui a été égarée. En réalité, ces deux paraboles ont une structure commune.

2. Dans les deux histoires, en effet, le berger et la femme font tout ce qui est en leur pouvoir pour retrouver ce qu’ils ont perdu. Ils n’épargnent ni leur temps ni leur effort. Ceci nous indique que Dieu fera tout ce qui est possible pour retrouver les pécheurs qui se sont éloignés de lui. Rien n’est plus important pour lui. Et ceci est vrai pour chaque pécheur personnellement, pour chacun de nous. Dieu n’est pas indifférent. Au contraire, son amour pour chacun de nous est infini, et ne se reposera pas tant qu’il nous saura éloignés de lui. La deuxième partie de ces deux paraboles est aussi commune. Dans les deux cas, retrouver ce qui était perdu est source d’une joie immense. Une joie tellement forte qu’elle ne peut pas être gardée secrète. Dans les deux histoires, ce sont les amis et les voisins qui sont appelés, afin qu’ils puissent se réjouir eux aussi.

3. Ces deux aspects de ces paraboles peuvent aussi être pour nous des moyens de vérifier si nous vivons une vie véritablement chrétienne. Y-a-t-il dans mon cœur un véritable désir d’aider mon prochain en difficulté, ou seul ce qui m’arrive à moi est-il important à mes yeux ? Et de plus, suis-je capable de faire partager la joie autour de moi et de participer à la joie des autres, ou mon cœur est-il tellement fermé au point de n’être sensible qu’à mes propres plaisirs égoïstes ?

 

Dialogue avec le Christ

Seigneur, aide-moi à comprendre que seule la vie de communion avec toi et avec les autres pourra m’apporter le véritable bonheur, la véritable joie.

Résolution

Essayer de partager sincèrement aujourd’hui la joie d’une personne qui m’est proche.

 

 

 http://www.regnumchristi.fr

 


 Homélie du Père Gilbert Adam

 

"Jésus leur dit cette parabole : Quel homme d’entre vous, s’il a cent moutons et qu’il en perde un, ne laisse les quatre–vingt–dix–neuf autres dans le désert pour aller après celui qui est perdu, jusqu’à ce qu’il le retrouve ? Lorsqu’il l’a retrouvé, il le met sur ses épaules, tout joyeux,

Nous fêtons Saint Martin de Porrès, un homme étonnant, le premier « métis » du nouveau monde qui ai été béatifié. Il était  méprisé parce qu’il était fils « naturel » d’une esclave de couleur noire, son « père », militaire de passage, était reparti de ce pays. Les trois paraboles de la miséricorde expriment l’amour de Dieu qui part à notre recherche et nous attend pour célébrer la joie et le repas de fête de notre retour. Le berger et la ménagère sont tout joyeux de retrouver ce qu’ils avaient perdu et qu’ils recherchaient avec empressement, et ils invitent leur entourage à se réjouir avec eux. Dieu s’adresse à nous tous, créés à son image et à sa ressemblance, quelles que soient les conditions de notre conception, de notre naissance. Martin est venu vers Jésus et il l’écoutait. Il avait le regard sans cesse tourné vers les pauvres, avec un cœur plein d’amour, comme Jésus. La Communauté est le lieu où les plus petits et les plus pauvres sont retrouvés. Jésus appelle Martin chez les religieux du couvent des Dominicains, il est plein de tendresse et d’amour pour lui. Martin qui était rejeté à cause de son état de fils naturel, s’est plu avec les plus petits, les plus pauvres. Il soignait les malades de la communauté et donnait le nécessaire à tous les pauvres qui venaient dans le monastère.

"Tous les collecteurs des taxes et les pécheurs s’approchaient de lui pour entendre Jésus. Les pharisiens et les scribes maugréaient : Il accueille des pécheurs et il mange avec eux ! Pour accomplir son œuvre de salut, Jésus s’est fait pauvre, et il se sert des pauvres pour chercher la brebis égarée, lorsqu’il l’a retrouvée, elle appelle ses amis et dit : « Réjouissez–vous avec moi, car j’ai retrouvé ma « brebis égarée. » Il nous faut, à la suite de Jésus, nous reconnaître d’abord comme frères, et retrouver avec notre Père une relation filiale pour nous réjouir de la joie de Dieu. Fils d’un même Père, nous sommes frères car Jésus nous donne la vraie vie. Pour nous réjouir entre frères, il nous faut nous reconnaître pécheur, et découvrir notre service comme une grâce. Avec Jésus nous partons  à la recherche de nos frères pour nous glisser jusqu’à leur cœur. Martin a su ouvrir la porte de ses frères en les soignant comme les amis de Jésus. Il a cherché la brebis perdue, et demandé à Jésus de lui donner un cœur plein d’amour.

"De retour chez lui, il appelle ses amis et ses voisins pour leur dire : « Réjouissez–vous avec moi, car j’ai retrouvé mon mouton, qui était perdu ! » De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui change radicalement que pour quatre–vingt–dix–neuf justes qui n’ont pas besoin d’un changement radical." Je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui change radicalement. L’action de grâce  monte de nos cœurs en même temps que la reconnaissance de notre misère devant tant d’amour. Dans l’Esprit Saint, nous confessons nos péchés, car nous sommes tous de pauvres pécheurs. Alors l’Amour miséricordieux nous invite à sa table, dans le pardon et la miséricorde. Ensemble, tournés vers notre Père, nous nous nourrissons d’un Pain et d’un Vin qui ne manqueront jamais. Dans le banquet eucharistique nous rendons grâce à Celui qui nous accueille toujours pour nous donner la vie. Jésus, dans son amour infini pour les pauvres a donné pour eux son Corps et son sang, toute sa vie. La célébration de l’eucharistie nous rappelle combien nous sommes rassemblés dans le Christ, pour être soucieux de tous les enfants de Dieu dispersés.

Nous demandons à Dieu la grâce d’être soucieux de tous ceux qui sont en dehors de la maison.

 Père Gilbert Adam

 http://www.pere-gilbert-adam.org


 


Saint Jean-Marie Vianney (1786-1859), prêtre, curé d'Ars
Sermon pour le 3ème dimanche après Pentecôte, 1er sur la miséricorde

« Il y a de la joie chez les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit »


      La conduite que Jésus Christ tenait pendant sa vie mortelle nous montre la grandeur de sa miséricorde pour les pécheurs. Nous voyons qu'ils viennent tous lui tenir compagnie ; et lui, bien loin de les rebuter ou du moins de s'éloigner d'eux, au contraire, il prend tous les moyens possibles pour se trouver parmi eux, afin de les attirer à son Père. Il va les chercher par les remords de conscience ; il les ramène par sa grâce et les gagne par ses manières amoureuses. Il les traite avec tant de bonté, qu'il prend même leur défense contre les scribes et les pharisiens qui veulent les blâmer, et qui semblent ne pas vouloir les souffrir auprès de Jésus Christ.

      Il va encore plus loin : il veut se justifier de la conduite qu'il tient à leur égard par une parabole qui leur dépeint, comme l'on ne peut pas mieux, la grandeur de son amour pour les pécheurs, en leur disant : « Un bon pasteur qui avait cent brebis, en ayant perdu une, laisse toutes les autres pour courir après celle qui s'est égarée, et, l'ayant retrouvée, il la met sur ses épaules pour lui éviter la peine du chemin. Puis, l'ayant rapportée à son bercail, il invite tous ses amis à se réjouir avec lui d'avoir retrouvé la brebis qu'il croyait perdue ». Il ajoute encore cette parabole d'une femme qui, ayant dix drachmes et en ayant perdu une, allume sa lampe pour la chercher dans tous les coins de sa maison, et l'ayant retrouvée, elle invite toutes ses amies pour s'en réjouir. « C'est ainsi, leur dit-il, que tout le ciel se réjouit du retour d'un pécheur qui se convertit et qui fait pénitence. Je ne suis pas venu pour les justes, mais pour les pécheurs ; ceux qui sont en santé n'ont pas besoin de médecin, mais ceux qui sont malades » (Lc 5,31-32).

      Nous voyons que Jésus Christ s'applique à lui-même ces vives images de la grandeur de sa miséricorde envers les pécheurs. Quel bonheur pour nous de savoir que la miséricorde de Dieu est infinie ! Quel violent désir ne devons-nous pas sentir naître en nous d'aller nous jeter aux pieds d'un Dieu qui nous recevra avec tant de joie !

http://levangileauquotidien.org


 

 

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© Secrétariat Chorale-CSFA 2016

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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