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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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11 novembre 2016

Évangile et homélie du Vend 11 Nov 2016. La venue imprévisible du Fils de l'homme


Vendredi 11 novembre 2016

Le vendredi de la 32e semaine du temps ordinaire

Saint(s) du jour : St Martin, évêque de Tours (v. 316-397), St Théodore le Studite, higoumène († 826)



Deuxième lettre de saint Jean 1,1a.4-9.

Moi, l’ancien, à la Dame élue de Dieu, et à ses enfants que j'aime en vérité. J’ai eu beaucoup de joie à trouver plusieurs de tes enfants qui marchent dans la vérité selon le commandement que nous avons reçu du Père. Et maintenant, Dame élue, je t’adresse une demande : aimons-nous les uns les autres. – Ce que je t’écris là n’est pas un commandement nouveau, nous l’avions depuis le commencement. Or l’amour, c’est que nous marchions selon ses commandements. Tel est le commandement selon lequel vous devez marcher, comme, depuis le commencement, vous l’avez appris. Beaucoup d’imposteurs se sont répandus dans le monde, ils refusent de proclamer que Jésus Christ est venu dans la chair ; celui qui agit ainsi est l’imposteur et l’anti-Christ. Prenez garde à vous-mêmes, pour ne pas perdre le fruit de notre travail, mais pour recevoir intégralement votre salaire. Quiconque va trop loin et ne se tient pas à l’enseignement du Christ, celui-là se sépare de Dieu. Mais celui qui se tient à cet enseignement, celui-là reste attaché au Père et au Fils.

Psaume 119(118),1-2.10-11.17-18.

Heureux les hommes intègres dans leurs voies
qui marchent suivant la loi du Seigneur !
Heureux ceux qui gardent ses exigences,
ils le cherchent de tout cœur !

De tout mon cœur, je te cherche, Seigneur ;
garde-moi de fuir tes volontés.
Dans mon cœur, je conserve tes promesses
pour ne pas faillir envers toi.

Sois bon pour ton serviteur, et je vivrai,
j'observerai ta parole.
Ouvre mes yeux,
que je contemple les merveilles de ta loi.

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 17,26-37.

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Comme cela s’est passé dans les jours de Noé, ainsi en sera-t-il dans les jours du Fils de l’homme. On mangeait, on buvait, on prenait femme, on prenait mari, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche et où survint le déluge qui les fit tous périr. Il en était de même dans les jours de Loth : on mangeait, on buvait, on achetait, on vendait, on plantait, on bâtissait ; mais le jour où Loth sortit de Sodome, du ciel tomba une pluie de feu et de soufre qui les fit tous périr ; cela se passera de la même manière le jour où le Fils de l’homme se révélera. En ce jour-là, celui qui sera sur sa terrasse, et aura ses affaires dans sa maison, qu’il ne descende pas pour les emporter ; et de même celui qui sera dans son champ, qu’il ne retourne pas en arrière. Rappelez-vous la femme de Loth. Qui cherchera à conserver sa vie la perdra. Et qui la perdra la sauvegardera. Je vous le dis : Cette nuit-là, deux personnes seront dans le même lit : l’une sera prise, l’autre laissée. Deux femmes seront ensemble en train de moudre du grain : l’une sera prise, l’autre laissée. » […] Prenant alors la parole, les disciples lui demandèrent : « Où donc, Seigneur ? » Il leur répondit : « Là où sera le corps, là aussi se rassembleront les vautours. »
– Acclamons la Parole de Dieu.


 Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés


 Homélie ou Méditation du jour

Aujourd'hui, dans le texte de l'Évangile, la fin des temps et l'incertitude de la vie, sont remarquées, pas tant pour nous effrayer, que pour que soyons bien prévoyants et attentifs, préparés à la rencontre avec notre Créateur. La dimension sacrificiel présente dans l'Évangile se manifeste chez le Seigneur et Sauveur Jésus-Christ en nous libérant avec son exemple, au point de vue à être toujours préparés pour chercher et pour accomplir la Volonté de Dieu. La vigilance constante et la préparation sont le cachet du disciple vibrant. Nous ne pouvons pas nous ressembler aux gens qui " mangeaient, buvaient, achetaient, vendaient, plantaient, construisaient" (Lc 17,28). Nous, tant que disciples, nous devons être préparés et vigilants, ce ne fusse que nous finissions par être entraînés vers une léthargie spirituelle esclave de l'obsession - transmise d'une génération à la suivante - par le progrès dans la vie présente, en pensant que - après tout - Jésus ne reviendra pas.

Le sécularisme s’est enraciné profondément dans notre société. L’assaut de l'innovation et de la disponibilité rapide de choses et de services personnels nous font sentir autosuffisants et ils nous enlèvent la présence de Dieu dans nos vies. Seulement quand une tragédie nous frappe nous nous éveillons de notre sommeil pour voir Dieu au milieu de notre "vallée de larmes"... Même nous devrions être reconnaissants de ces moments tragiques, parce qu'ils servent sûrement pour fortifier notre foi.

Dans les temps récents, les attaques contre les chrétiens dans de diverses parties du monde, même dans mon propre pays - l'Inde - ont secoué notre foi. Mais le Papa François a dit : "Cependant, on donne de l'espoir aux chrétiens parce que, dans une dernière instance, Jésus fait une promesse qui est garantie de victoire : ' Celui qui perd sa vie, la conservera ' (Lc 17,33)". Celle-ci est une vérité dont nous pouvons confier … Le témoignage puissant de nos frères et sœurs qui donnent sa vie par la foi et par le Christ ne sera pas en vain.

Ainsi, nous luttons pour avancer dans le voyage de notre vie dans l'espérance sincère de trouver notre Dieu "le Jour dans lequel le Fils de l'homme se manifeste" (Lc 17,30).

Abbé Austin NORRIS (Mumbai, Inde)

http://evangeli.net/evangile


 


L’eau (Noé) et le feu (Loth) sont traditionnellement les éléments purificateurs, qui détruisent les scories pour que resplendisse de tout son éclat la substance précieuse. A condition bien sûr que la rouille n’ait pas tout rongé, auquel cas il ne restera plus grand-chose après la purification. Toutes nos activités d’ici-bas, même les meilleures, si elles ne sont pas finalisées sur le Royaume, appartiennent à cette terre et passeront avec elle. Malheureux celui qui n’a pas d’autre préoccupation, dont l’horizon se limite à ce monde : ses œuvres disparaîtront avec lui dans l’oubli. Il sera inutile en ces jours-là de rassembler les biens que nous aurons accumulés : ils ne nous serviront à rien dans le monde nouveau. Si nous restons les yeux rivés sur ce qui est derrière nous sur cette terre, faute d’avoir appris à scruter l’invisible pour y discerner les signes du Royaume, nous subirons comme la femme de Loth le sort réservé à la création ancienne.

La question des disciples - « Où donc Seigneur ? » est pour le moins surprenante. Jésus invite à la vigilance par rapport à un événement qui affectera la création tout entière au « jour » de Dieu ; or la demande de précision porte sur le lieu particulier où ces événements se dérouleront. La réponse de Jésus donne à penser : les charognes ne font pas long feu en Palestine ; immédiatement les vautours les ont repérées et viennent nettoyer leur carcasse. Ainsi en sera-t-il au Jour du Fils de l’homme : seuls ceux qui seront reconnus vivants, parce qu’ils auront accueilli la Parole de vérité et de vie, passeront dans le monde nouveau. Quant à ceux qui n’auront eu d’autre souci que de « chercher à conserver leur vie » en ce monde, dans l’oubli de la vie éternelle que le Christ est venu leur offrir, le feu purificateur tombera inexorablement sur eux comme sur les autres, mais il les consumera car la flamme ne trouvera rien qui lui résiste.

L’avertissement est un appel vigoureux à la prise de conscience de notre responsabilité. Le Seigneur nous rappelle jour après jour la précarité de nos existences et le caractère éphémère de ce monde : que faisons-nous de ses mises en garde ? Ciel et terre passeront, la Parole de Dieu ne passera pas. Or que nous demande-t-elle sinon de vivre dans la charité ? « Le commandement que nous avons appris dès le début, c’est que nous devons vivre dans l’amour » (1ère lect.), car celui qui aime connaît Dieu ; il demeure en Dieu et Dieu demeure en lui. Il échappe dès lors au jugement puisqu’il est déjà né à la vie éternelle.

Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org



Prière d'introduction

Évoquant le retour glorieux du Fils de l’homme, que ce soit comme au déluge ou comme les jours de Loth, le Christ évoque une catastrophe de grande ampleur : la pluie diluvienne ou l’éruption volcanique imprévisible, chaque situation demande une vigilance attentive face à l’imprévu, bouleversant villes, terrains et végétation, tout comme le simple quotidien de l’existence des hommes. « Ce jour-là, on buvait, on chantait, on achetait et on vendait ». Il faut être vigilant pour ne pas laisser le mal s’installer en nous et entre nous.

Demande

Seigneur, protège-moi et ne laisse pas la tiédeur envahir mon quotidien. Tu sais combien j’ai besoin de toi, de ta force, de ta bonté et de ta miséricorde pour ne pas me séparer de toi.

Points de réflexion

1. « On vous dira : ‘’le voici, le voilà’’ » (Lc 17, 23). Le Fils de l’homme ne reviendra qu’après avoir souffert et avoir été rejeté par cette génération. Tu sais et tu le redis que tu reviendras et, revêtu de toute ta gloire, tu jugeras le monde et tous ses habitants. Mais il faut d’abord que tu souffres beaucoup parce que tu sais que tes souffrances et ton sacrifice obtiendront notre rédemption et la vie éternelle qui fait partie du projet divin pour toute l’humanité.

2. « Ce jour-là, que celui qui sera sur la terrasse ne descende pas pour prendre les affaires qui sont dans la maison ». Tu prends des passages de l’Écriture que tes auditeurs connaissent : le déluge dont parlent toutes les populations du monde de ton temps, le châtiment de la femme de Loth qui fut changée en statue de sel en sortant de Sodome. Dieu n’épargnera pas ceux qui se seront détournés de lui. Et l'événement sera imprévisible : seul Dieu connaît le jour où il se produira.

3. « Je vous le dis, deux personnes seront en train de faire la même chose mais l’une sera prise et l’autre laissée ». Pourquoi, Seigneur cette élection qui, aux yeux de l’homme, est inexplicable et peut sembler injuste ? Seigneur, parce que toi seul connaît le cœur de l’homme, toi seul sait ce qui le pousse, le motive ou le retient. « Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés ». « De la mesure dont vous vous servirez, on se servira aussi pour vous ». Seigneur, ce que tu veux c’est que nous vivions dans la grâce que tu ne nous refuses jamais. Tu connais très bien ma pauvreté, tu sais bien que ma misère se sent toujours la victime de quelque chose ou de quelqu’un.

Dialogue avec le Christ

Seigneur, sur ma croix, comme le bon larron, je me tourne vers toi et te demande de « te souvenir de moi quand tu viendras dans ton Royaume ».

Résolution

« Les vautours se rassemblent là où il y a un cadavre ». Un cadavre, c’est un homme sans vie, un homme coupé de Dieu. Pour ne pas être un cadavre, je me réfugierai dans les bras de Marie à la moindre tentation repérée.

Cécile Beaure d'Augères, consacrée de RC

http://www.regnumchristi.fr



"Lorsque le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s’assiéra sur son trône glorieux. Toutes les nations seront rassemblées devant lui. Il séparera les uns des autres comme le berger sépare les moutons des chèvres : il mettra les moutons à sa droite et les chèvres à sa gauche."

Pour fêter Saint Martin de Tours, l’Eglise nous remet devant la tendresse miséricordieuse de Dieu, qui en Jésus Christ, s’est fait proche des petits et des pauvres. Jésus nous redit tout son amour pour ces petits auxquels il s’est identifié : "Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger et vous m’avez recueilli ; j’étais nu et vous m’avez vêtu ; j’étais malade et vous m’avez visité ; j’étais en prison et vous êtes venus me voir."Nous sommes interpellés dans notre agir quotidien à propos de la charité que nous voulons vivre, jour après jour. Jésus est là dans la réalisation ordinaire de cette charité. Nous aurions beau avoir de belles pensées sur la vie chrétienne, nous pourrions avoir une grande intelligence de la foi, Jésus attend ce service du pauvre, de l’humble et petit. Nous contemplons Jésus qui rencontre le lépreux, le paralytique, qui se met au service du plus petit. Au soir du jeudi Saint, il a lavé les pieds de ses disciples. C’est en aimant la miséricorde, en faisons ce qui est bon, que nous marchons humblement avec le Dieu si présent dans le quotidien et qui nous appelle à le servir. C’est alors nous que nous reconnaissons que nous sommes dans une grande pauvreté, que nous avons besoin les uns des autres.

Alors les justes lui répondront : « Seigneur, quand t’avons–nous vu avoir faim, et t’avons–nous donné à manger ? ou avoir soif, et t’avons–nous donné à boire ? Quand t’avons–nous vu étranger, et t’avons–nous recueilli ? ou nu, et t’avons–nous vêtu ? Quand t’avons–nous vu malade, ou en prison, et sommes–nous venus te voir ? » C’est en contemplant Jésus que nous pouvons le reconnaitre ; il est celui qui s’approche de chacun, il est celui qui réalise ce grand et beau programme de l’amour de l’autre, qui réalise cette charité concrète. En réalisant l’accueil et le service du le Pauvre dans ce qui lui est nécessaire, c’est Dieu lui-même que nous rencontrons, c’est Dieu lui-même que nous découvrons. C’est Dieu lui-même que nous admirons dans le petit, le pauvre, l’exclu, l’étranger, le malade et celui qui est en prison ! Saint Martin qui donne la moitié de son manteau au mendiant ne se regarde pas, c’est alors qu’il s’aperçoit que Jésus est vraiment présent dans ce pauvre. Dieu est présent dans le pauvre, il est présent dans cet l’accueil que je fais de l’autre, il est présent en moi et c’est là qu’il m’attend !

"Le roi dira à ceux qui seront à sa droite : « Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; héritez le royaume qui a été préparé pour vous depuis la fondation du monde. Amen, je vous le dis, dans la mesure où vous avez fait cela pour l’un de ces plus petits, l’un de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » C’est une révolution que Jésus opère et pas tant une nécessité morale. Ce n’est pas tant une conséquence de la vie chrétienne, c’est le cœur de notre vie chrétienne. Je rencontre Dieu dans la figure du petit, du pauvre, je suis véritablement proche de lui, de l’amour, où Dieu n’est pas tant celui qui m’invite à servir, mais celui qui m’attend dans le geste simple et quotidien. Le service du pauvre et du petit est donc le cadeau que Dieu me fait pour le rencontrer, le lieu où il me donne sa grâce. Que l’Esprit Saint me permette aujourd’hui de grandir dans le désir de rencontrer Jésus qui s’est fait petit enfant, qui a accepté d’être l’agonisant crucifié par amour pour nous, pour nous rejoindre dans son Amour immense. C’est ainsi que désormais, c’est un tel bonheur de servir le Dieu vivant ! Ceux qui font du bien ne s’en rendent pas compte car Dieu a mis dans notre cœur un grand amour. Si nous laissons surgir cet amour, la grâce rejoint ceux que Dieu met sur notre route, « Jésus vivant » au milieu de nous.

Nous demandons la grâce de retrouver la simplicité de l’Evangile, un jaillissement d’amour au cœur de notre vie.

 Père Gilbert Adam

 http://www.pere-gilbert-adam.org



« Comme dans les jours de Noé »

Le sage Noé... s'embarqua dans l'arche sur l'ordre de Dieu, avec ses fils et leurs femmes, en tout huit âmes seulement. Sans cesser de gémir, ce serviteur priait ainsi : « Ne me fais pas périr avec les pécheurs, mon Sauveur, car je vois déjà le chaos s'emparer de la création et les éléments sont ébranlés par la peur... Les nuages sont tout prêts, le ciel est brouillé, les anges accourent en avant-garde de ta colère ». Sur ces mots, Dieu ferma l'arche et la scella, pendant que son fidèle criait : « Sauve tous les hommes de la colère, par l'amour que tu nous gardes, rédempteur de l'univers ».

      Du haut du ciel le juge alors donne un ordre ; aussitôt s'ouvrent les écluses, précipitant pluies, torrents d'eau et grêle, d'un bout du monde à l'autre ; et la peur fit jaillir les sources de l'abîme, inondant la terre en tout lieu... Tel fut l'effet de la colère de Dieu, parce que les humains avaient persévéré dans leur endurcissement et ne s'étaient pas empressés de lui crier avec foi : « Sauve tous les hommes de la colère, par l'amour que tu nous gardes, rédempteur de l'univers »...

      Ensuite le chœur des anges, voyant détruits les hommes charnels, s'écria : « Maintenant, que les justes possèdent toute l'étendue de la terre ! » Car le Créateur aime voir ceux qu'il a faits à son image (Gn 1,26) ; c'est pourquoi il met à part ses saints pour les sauver. Noé...lâche la colombe et elle revient vers le soir avec un rameau d'olivier dans le bec, qui annonçait symboliquement la miséricorde de Dieu. Alors Noé sort de l'arche, comme de sa tombe, selon l'ordre qu'il avait reçu..., non comme jadis Adam, qui avait mangé d'un arbre qui donne la mort, car Noé avait produit un fruit de pénitence en disant : « Sauve tous les hommes de la colère, par l'amour que tu nous gardes, rédempteur de l'univers ».

      Mortes sont la corruption et l'iniquité ; l'homme au cœur droit triomphe par sa foi, car il a trouvé grâce... Alors le juste (Gn 6,9) offrit au Seigneur un sacrifice sans tache... ; le Créateur en respira l'agréable parfum et... déclara : « Jamais plus l'univers ne périra dans un déluge, même si tous les hommes mènent une vie mauvaise. Aujourd'hui je conclus avec eux une alliance irrévocable. Je montre mon arc à tous les habitants de la terre pour leur servir de signe, afin qu'ils m'invoquent ainsi : 'Sauve tous les hommes de la colère, par l'amour que tu nous gardes, rédempteur de l'univers' ».

Saint Romanos le Mélode (?-v. 560)

http://levangileauquotidien.org


 

 

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© Secrétariat Chorale-CSFA 2016

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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