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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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20 juillet 2017

Évangile et Homélie du Je 20 Juillet 2017. Venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, je vous procurer le repos!


Jeudi 20 juillet 2017

Nous sommes dans la 15e semaine du temps ordinaire

Saint(s) du jour : Bx Luigi Novarese, prêtre et fondateur (1914-1984)


 

Lectures de la messe

Première lecture (Ex 3, 13-20)

Lecture du livre de l’Exode

En ces jours-là,
Moïse avait entendu la voix du Seigneur
depuis le buisson.
    Il répondit à Dieu :
« J’irai donc trouver les fils d’Israël, et je leur dirai :
“Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous.”
Ils vont me demander quel est son nom ;
que leur répondrai-je ? »
    Dieu dit à Moïse :
« Je suis qui je suis.
Tu parleras ainsi aux fils d’Israël :
“Celui qui m’a envoyé vers vous, c’est : JE-SUIS.” »
    Dieu dit encore à Moïse :
« Tu parleras ainsi aux fils d’Israël :
“Celui qui m’a envoyé vers vous,
c’est LE SEIGNEUR,
le Dieu de vos pères,
le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob.”
C’est là mon nom pour toujours,
c’est par lui que vous ferez mémoire de moi, d’âge en d’âge.
    Va, rassemble les anciens d’Israël. Tu leur diras :
“Le Seigneur, le Dieu de vos pères,
le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob,
m’est apparu.
Il m’a dit :
Je vous ai visités et ainsi j’ai vu
comment on vous traite en Égypte.
    J’ai dit : Je vous ferai monter
de la misère qui vous accable en Égypte
vers le pays du Cananéen, du Hittite,
de l’Amorite, du Perizzite, du Hivvite et du Jébuséen,
le pays ruisselant de lait et de miel.”
    Ils écouteront ta voix ;
alors tu iras, avec les anciens d’Israël,
auprès du roi d’Égypte, et vous lui direz :
“Le Seigneur, le Dieu des Hébreux,
est venu nous trouver.
Et maintenant, laisse-nous aller
dans le désert, à trois jours de marche,
pour y offrir un sacrifice au Seigneur notre Dieu.”
    Or, je sais, moi, que le roi d’Égypte ne vous laissera pas partir
s’il n’y est pas forcé.
    Aussi j’étendrai la main,
je frapperai l’Égypte par toutes sortes de prodiges
que j’accomplirai au milieu d’elle.
Après cela, il vous permettra de partir. »

Psaume 104 (105), 1.5, 8-9, 24-25, 26-27)

Rendez grâce au Seigneur, proclamez son nom,
annoncez parmi les peuples ses hauts faits ;
souvenez-vous des merveilles qu’il a faites,
de ses prodiges, des jugements qu’il prononça,


Il s’est toujours souvenu de son alliance,
parole édictée pour mille générations :
promesse faite à Abraham,
garantie par serment à Isaac.


Dieu rend son peuple nombreux
et plus puissant que tous ses adversaires ;
ceux-là, il les fait se raviser,
haïr son peuple et tromper ses serviteurs.


Mais il envoie son serviteur, Moïse,
avec un homme de son choix, Aaron,
pour annoncer des signes prodigieux,
des miracles au pays de Cham.


Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 11, 28-30)

En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit :
    « Venez à moi,
vous tous qui peinez sous le poids du fardeau,
et moi, je vous procurerai le repos.
    Prenez sur vous mon joug,
devenez mes disciples,
car je suis doux et humble de cœur,
et vous trouverez le repos pour votre âme.
    Oui, mon joug est facile à porter,
et mon fardeau, léger. »

             – Acclamons la Parole de Dieu.

 


Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.


 

Homélie ou Méditation du jour

 

Quel est donc ce pesant « fardeau » que Jésus propose d’échanger avec son « joug », dont il promet qu’il est « léger » et « facile à porter » ? Le contexte de ce verset permet de comprendre que Jésus veut soulager les hommes du poids d’un salut qu’ils devraient acquérir au prix d’œuvres écrasantes, et leur faire découvrir la gratuité du don de Dieu. Car le Seigneur est venu se charger lui-même du poids de nos fautes, afin de nous soulager de cette dette insolvable qui nous écrase. Ayant accompli pour nous toute justice de manière surabondante, Jésus s’est acquis le droit de nous introduire dans le repos que le Père a préparé pour ceux qui lavent leur robe dans le Sang de l’Agneau vainqueur. En Jésus, c’est Dieu lui-même qui s’est fait proche, qui « est descendu pour nous délivrer de la main des ennemis et nous faire monter de ce pays vers un bon et vaste pays, vers un pays ruisselant de lait et de miel » (Ex 3,8).

 

Pourtant, pour peu que nous soyons sincères, nous reconnaîtrons sans peine que nous ne sommes pas que victimes de notre malheur : nous en sommes aussi les acteurs par nos complicités multiples avec le mal. Le joug que Jésus nous propose en échange du fardeau de la justification par les œuvres, c’est celui de la foi, de la confiance aveugle en sa miséricorde, de l’abandon de tout notre être entre ses mains. Tel est le statut du disciple : celui qui ose se présenter devant Dieu pauvre, misérable, nu, mais riche de sa seule foi et couvert de la justice de Celui en qui il a mis toute son espérance.

 

Paradoxalement, Jésus ne nous propose pas de nous décharger du joug qui nous accable, mais il nous en présente un autre ; non en remplacement, mais en plus de celui que nous avons à porter ! Pourtant en prenant sur nous le joug de la confiance, c'est-à-dire en accueillant au cœur de nos vies sa présence, nous trouverons le repos qu’il promet ; et la charge qui jusque là nous écrasait, nous paraîtra légère, car c’est lui qui la portera pour nous. Alors nos vies trouveront une fécondité inattendue dans les lieux mêmes où nous nous pensions réprouvés ; au cœur même de la mort, ultime conséquence du péché, le Seigneur fera jaillir la vie et la joie.

 

Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org



«Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau»

Aujourd'hui, les paroles de Jésus résonnent à nos oreilles intimes et proches. Nous sommes conscients que les hommes et les femmes de notre époque sont soumis à une grande pression psychologique. Le monde tourne si vite que nous n'avons même le temps ou la paix intérieure suffisantes pour assimiler tous ces changements.

Fréquemment, nous nous éloignons de la simplicité évangélique et restons écrasés sous le poids de normes, engagements, planifications et objectives. Nous nous sentons impuissants et las de cette lutte incessante sans résultats convaincants. Des recherches récentes soutiennent que les dépressions ne font qu'augmenter. Alors, qu'est-ce qui nous manque pour être heureux?

Aujourd'hui, à la lumière de l'Évangile, nous pouvons revoir quelle est notre conception de Dieu. Comment vis-je et comment ressens-je Dieu dans mon intérieur? Quels sont les sentiments que sa présence éveille dans ma vie? Jésus nous offre sa compréhension lorsque nous sommes fatigues et avons envie de nous reposer: «Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos» (Mt 11,28). Peut-être nous nous sommes battus pour devenir parfaits alors que, au fond, nous ne voulions que nous sentir aimés. Dans ses paroles nous trouvons la réponse à notre crise de sens. Notre ego nous joue de mauvais tours et ne nous permet pas d'être aussi bons que nous le voudrions.

En certaines époques, nous ne voyons peut-être pas la lumière. Sainte Julienne de Norwich, mystique anglaise du XIV siècle, a compris le message de Jésus et a écrit: «Tout sera bien, toutes les choses qui existent seront bonnes».

La proposition de Jésus —«devenez mes disciples» (Mt 11,29)— implique de suivre son style de bienveillance (vouloir le bien pour tous) et d'être humble de cœur (vertu qui fait référence à vivre les pieds sur terre et que seulement la grâce divine peut nous faire envoler). Être son disciple demande d'accepter le joug de Jésus, en nous rappelant que ce joug est «facile à porter» et son fardeau «léger». Mais je ne sais pas si nous en sommes vraiment convaincus. Dans notre contexte, vivre comme une personne chrétienne n'est pas toujours facile, car nous choisissons des valeurs à contre-courant. Ne pas se laisser emporter par l'argent, par le prestige ou par le pouvoir nous demande un gros effort. Si nous voulons le faire tout seuls, il deviendra presque impossible. Mais avec Jésus tout est possible et doux.

Frère Lluís SERRA i Llançana (Roma, Italie)

http://evangeli.net/evangile


 


 

 

Prière d'introduction

 

L’enfant prodigue de ton cœur que je suis, ô Père, revient vers toi, et se blottit en Jésus, ton Fils bien-aimé. J’ai confiance en toi, car tu n’es pas un dieu lointain, mais tu es proche, seul et unique Dieu, présence parfaite de ton Être, source de toute existence. Tu es tout amour et tout providence, tu es toujours là. Je t’aime comme un fils réconcilié avec son père et je te loue de toute ma vie pour te rendre familier parmi mes frères et sœurs. Amen.

 

Demande

 

Ô Jésus, doux et humble de cœur, rends mon cœur semblable au tien.

 

Points de réflexion

 

1. « Venez à moi. »
Animé d’une ardente pitié pour nos peines et soucis, Jésus nous invite aujourd’hui à nous approcher de lui qui s’est rendu proche. Entrons dans la sphère de son intimité et écoutons dans sa respiration le souffle de la plus tendre consolation. Pourquoi m’est-il si difficile de m’approcher, d’entrer et d’écouter ?
Je dois me résoudre à déposer mon fardeau pour passer par la porte étroite. Pourquoi est-ce que je ne lâche pas ? C’est comme si je prenais mon fardeau comme ma véritable identité et sa Parole comme une utopie. Est-ce que je me méfie de son amour gratuit comme s’il était intéressé ?

 

2. « Devenez mes disciples. »
Jésus nous propose son joug en échange de nos fardeaux. Est-ce que je le veux vraiment ? Prendre le joug avec Jésus implique concrètement de se détacher non seulement de quelques aspects de la vie, mais de renoncer à tout pour le suivre. C’est avant tout une décision de laisser sa volonté propre et de se laisser instruire.
Cet idéal est-il réservé seulement aux prêtres et aux consacrés ? L’Évangile concerne tous les baptisés. La vie monastique ou le mariage en sont ensuite les formes de réalisation, selon la vocation : « Celui que veut sauver sa vie la perdra, mais qui perd sa vie à cause de moi la trouvera. » (Mt 16, 25)

 

3. « Je suis doux et humble de cœur. »
Avons-nous une idée claire de la vertu d’humilité ? Dieu éternel et tout puissant se cache dans l’humanité de Jésus. Où est le « bras puissant » de Dieu qui devait écraser l’ennemi de son peuple ? Le Fils éternel du Père se laissera clouer en croix, alors qu’à lui est destinée la création tout entière !
Le cœur de Jésus est le reflet du visage de Dieu. Dieu ne veut pas nous convaincre par la force ni nous faire peur. Il veut susciter notre « oui » libre et confiant et vaincre le mal par le bien. Obtient-on la paix et la réconciliation en rajoutant du conflit ? Y a-t-il une place pour la peur ou la colère dans le royaume des cieux ?

 

Dialogue avec le Christ

 

Je t’aime, ô Jésus, quand je te vois souffrir pour moi. Laisse-moi rester près de toi pour entrer en confiance dans le dialogue intime de mon âme avec toi. Je t’offre mon cœur, mon âme, mon esprit, mon temps et mes désirs, afin qu’ils soient configurés à ceux de ton divin Cœur et ainsi je puisse te représenter de façon adéquate à ceux qui ne t’ont jamais reconnu.

 

Résolution

 

Visite dans une église ou communion spirituelle avec Jésus, pour une rencontre spirituelle intense avec lui.

 

Père Jaroslav de Lobkowicz, LC

http://www.regnumchristi.fr


 


 

 

« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos.

 

 

 

Jésus est avec nous dans le combat de notre vie et dans le combat actuel du salut du monde. Il nous propose de venir à lui. C’est dans son cœur en effet que résonnent tous nos combats et les combats de toute l’humanité ! Il ouvre une brèche dans notre enfermement en nous demandant de le suivre. Dieu avait déjà dit à Moïse : « J’ai vu, oui, j’ai vu la misère de mon peuple… Tu le feras sortir d’Égypte. » L’Égypte préfigure le dur esclavage du travail auquel était soumis Israël ! Cet esclavage est aussi le notre ! C’est un esclavage qui est aujourd’hui beaucoup plus intérieur, l’esclavage de nos passions et de nos préjugés qui sont des montagnes qui nous séparent les uns des autres. Dieu avait encore dit à Moïse : « Je sais que le roi d’Égypte ne vous laissera pas partir s’il n’y est pas forcé. » Il en est ainsi pour nous, il faut que nous soyons dans des situations extrêmes pour que nous comprenions que Dieu seul est le Maître et que c’est à lui que nous appartenons, que c’est de lui que nous recevons ce qu’il nous faut pour vivre.

 

"Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme." Ce repos est le repos d’une bonne volonté accordée à la volonté de Dieu. Jésus, qui est venu nous libérer de nous mêmes nous ouvre le ciel et c’est ainsi que de la terre germe le Salut. Alors que nous n’avions plus de quoi être en communion les uns avec les autres, Jésus nous invite à le regarder ! « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, » nous dit-il. Dans ce regard de Dieu, et dans un mouvement d’adoration, nous effectuons une remise totale de nous-mêmes à Dieu. Avec lui, nous pouvons envisager de nouveau que tout est possible. Nous contemplons Jésus qui sait la douleur de son peuple. Dans le combat de chacun de nous et dans le combat de tous pour plus de justice et plus d’amour, il est là. Jésus voit la misère dans laquelle nous sommes emportés, il connaît notre cœur et lui seul y discerne le bien et le mal. C’est dans ce même acte d’amour par lequel Jésus nous aime qu’il nous sauve et qu’il glorifie le Père.

 

« Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » Sur la Croix Jésus dit : « Tout est accompli. » L’unité de l’Amour de son Père et de ses frères dans son cœur est notre bonheur. Jésus nous a fait sortir de la douleur des angoisses et des souffrances : « Moi, je vous procurerai le repos. » Il nous donne de discerner là ou est le jeu du Mauvais, du Tentateur. Il nous montre où se cache l’accusateur des frères. « Je te rends grâce Père parce que tu as caché cela aux sages et aux savants. » Dans ce regard, Jésus nous donne le commandement de nous aimer les uns les autres pour être vainqueur dans la lutte ! Quand nous accueillons la Passion de Jésus qui nous sauve, nous devenons ses disciples. Des femmes et des hommes qui étaient opposés les uns contre les autres sont unit dans sa passion et dans sa Résurrection. « Prenez sur vous mon joug. » C’est le mystère de l’Église donnée aux nations. Les nations vivent dans les déchirements, elles peuvent encore trouver une espérance. « Apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur. »

 

Nous demandons la grâce de tenir bon dans le Christ Jésus.

 

Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org


 


 

« Devenez mes disciples ; apprenez de moi »

 

      Je te vois, ô bon Jésus, avec les yeux de la foi que tu as ouverts en moi, je te vois criant et disant à tout le genre humain : « Venez à moi et mettez-vous à mon école. » Quelle est la leçon…, toi par qui tout a été fait…, quelle est la leçon que nous venons apprendre à ton école ? « Que je suis doux et humble de cœur. » Voilà donc à quoi se réduisent « tous les trésors de sagesse et de connaissance » cachés en toi — à apprendre cette leçon capitale : que tu es « doux et humble de cœur »…

      Que ceux qui recherchent ta miséricorde et ta vérité écoutent, qu'ils viennent à toi, qu'ils apprennent de toi à être doux et humbles, en vivant pour toi et non pour eux-mêmes. Qu'il entende cela, celui qui peine et qui est chargé, qui ploie sous son fardeau jusqu'à ne pas oser lever les yeux vers le ciel, le pécheur qui se frappe la poitrine et n'approche que de loin. Qu'il entende, le centurion qui n'était pas digne que tu entres sous son toit. Qu'il entende, Zachée, le chef des publicains, quand il rend au quadruple le fruit de ses péchés. Qu'elle entende, la femme qui avait été pécheresse dans la ville et qui répandait d'autant plus de larmes à tes pieds qu'elle avait été plus éloignée de tes pas. Qu'ils entendent, les femmes de mauvaise vie et les publicains qui précèdent les scribes et les pharisiens dans le Royaume des cieux. Qu'ils entendent, les malades de toute sorte dont on t'accusait d'avoir été le convive...

      Tous ceux-là, quand ils se tournent vers toi, deviennent facilement doux et humbles devant toi, au souvenir de leur vie pleine de péchés et de ta miséricorde pleine de pardon, car « là où le péché a abondé, la grâce a surabondé ».

(Références bibliques : Col 2,3; Lc 18,13; Lc 7,6; Lc 19,8; Lc 7,37; Mt 21,31; Mt 9,11; Rm 5,20)

Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église

http://levangileauquotidien.org

 


 


 


 


 


Nos sources:

Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.

Homélie ou Méditation du jour

1. Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org

2. Abbé A

http://evangeli.net/evangile

3. Frère F.

http://www.regnumchristi.fr

4. Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org

5. Pape P.

http://levangileauquotidien.org


  

 

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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