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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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10 septembre 2017

Évangile et Homélie du Dim 10 Sept 2017. Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux.

Photo: Choristes des trois chorales d’Ans (CSFA-Chorale, Ensemble et Arc En Ciel). Jour de la fête des chorales le 25 Juin 2017

Dimanche 10 septembre 2017

Nous sommes au 23ième dimanche du temps ordinaire

Saint(s) du jour : St Nicolas de Tolentino, o.s.a. (1245-1305), St Aubert, évêque d'Avranches († v. 725)

 

Lectures de la messe

 

Première lecture (Ez 33, 7-9)

 

Lecture du livre du prophète Ézékiel

 

La parole du Seigneur me fut adressée :
    « Fils d’homme, je fais de toi un guetteur
pour la maison d’Israël.
Lorsque tu entendras une parole de ma bouche,
tu les avertiras de ma part.
    Si je dis au méchant : ‘Tu vas mourir’,
et que tu ne l’avertisses pas,
si tu ne lui dis pas d’abandonner sa conduite mauvaise,
lui, le méchant, mourra de son péché,
mais à toi, je demanderai compte de son sang.
    Au contraire, si tu avertis le méchant d’abandonner sa conduite,
et qu’il ne s’en détourne pas,
lui mourra de son péché,
mais toi, tu auras sauvé ta vie. »

 

 

 


    – Parole du Seigneur.

 

 

 

Psaume 94 (95), 1-2, 6-7ab, 7d-8a.9)

 

Venez, crions de joie pour le Seigneur,
acclamons notre Rocher, notre salut !
Allons jusqu’à lui en rendant grâce,
par nos hymnes de fête acclamons-le !

 

Entrez, inclinez-vous, prosternez-vous,
adorons le Seigneur qui nous a faits.
Oui, il est notre Dieu ;
nous sommes le peuple qu’il conduit.

 

Aujourd’hui écouterez-vous sa parole ?
« Ne fermez pas votre cœur comme au désert,
où vos pères m’ont tenté et provoqué,
et pourtant ils avaient vu mon exploit. »

 

Deuxième lecture (Rm 13, 8-10)

 

Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Romains

 

Frères,
    n’ayez de dette envers personne,
sauf celle de l’amour mutuel,
car celui qui aime les autres
a pleinement accompli la Loi.
    La Loi dit :
Tu ne commettras pas d’adultère,
tu ne commettras pas de meurtre,
tu ne commettras pas de vol,
tu ne convoiteras pas.

Ces commandements et tous les autres
se résument dans cette parole :
Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
    L’amour ne fait rien de mal au prochain.

 


Donc, le plein accomplissement de la Loi,
c’est l’amour.

 

     – Parole du Seigneur.

 


 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (Mt 18, 15-20)

 

En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
    « Si ton frère a commis un péché contre toi,
va lui faire des reproches seul à seul.
S’il t’écoute, tu as gagné ton frère.
    S’il ne t’écoute pas,
prends en plus avec toi une ou deux personnes
afin que toute l’affaire soit réglée
sur la parole de deux ou trois témoins.
    S’il refuse de les écouter,
dis-le à l’assemblée de l’Église ;
s’il refuse encore d’écouter l’Église,
considère-le comme un païen et un publicain.
    Amen, je vous le dis :
tout ce que vous aurez lié sur la terre
sera lié dans le ciel,
et tout ce que vous aurez délié sur la terre
sera délié dans le ciel.

 

    Et pareillement, amen, je vous le dis,
si deux d’entre vous sur la terre
se mettent d’accord pour demander quoi que ce soit,
ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux.
    En effet, quand deux ou trois sont réunis en mon nom,
je suis là, au milieu d’eux. »

 

    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

 

 


 

Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.

 


 

 

 

Homélie ou Méditation du jour

 

 

 

Étonnantes sont les paroles que nous venons d'entendre. En effet qui suis-je pour aller trouver mon frère et lui dire qu'il a péché ? Ne suis-je pas un pécheur comme lui ?


 

 

 

On connaît la parabole de la paille et de la poutre. À celui qui dénonce la paille qui est dans l'œil de son frère, on rétorquera qu'il ferait mieux de voir la poutre qui le rend aveugle. Nous voilà clairement avertis et pourtant Jésus nous dit aujourd'hui de reprendre le pécheur.
Faut-il y voir une contradiction ?


 

 

 

 

 

Et par la bouche du prophète Ézéchiel, le Seigneur va plus loin : non seulement il faut dénoncer le mal mais si nous ne le faisons pas, nous aurons des comptes à rendre.
C'est donc bien une lutte contre le péché que le Seigneur nous invite à mener, afin que nos frères et nous-mêmes ayons la vie.
À partir de ce constat préalable, essayons de mettre en lumière les clés de l'enseignement de Jésus. Tout d'abord, nous pouvons comprendre que Jésus se refuse à nous voir devenir insensibles à l'œuvre du mal.
Il est si facile de le nier, de le minimiser, de l'oublier.
Or nous ne pouvons pas vivre comme si le péché n'existait pas.
Il est bien là à la porte, tapi comme une bête cherchant qui dévorer (cf. Gn 4,7).
Laisser le mal proliférer autour de nous, c'est prendre le risque de le voir rentrer en nous.

 

 

 

 

 

Aucun mal ne peut nous laisser indifférents car «le salaire du péché, c'est la mort», dit Paul (Rm 6,23).
N'est-ce pas la vie que nous devons désirer pour notre frère et pour nous ?  En second lieu, il nous faut rappeler que si tous, nous avons péché et que nous sommes solidaires dans le péché, par le Christ Jésus, nous sommes désormais
solidaires dans la grâce. C'est au nom de cette solidarité dans le salut que Jésus nous exhorte à aller vers notre frère pécheur.
Ce n'est pas le jugement et la condamnation que nous avons à transmettre mais plutôt la miséricorde et le pardon.
Ce trésor de l'amour, nous le portons dans des vases d'argile mais nous devons avoir l'audace de le partager.

 

 

 

 

 

Notre démarche ne sera vraie et féconde que si elle se vit avec humilité. Là est la clé qui ouvre la porte du cœur de notre frère. Nous ne venons pas à lui parce que nous sommes meilleurs que lui, mais parce que nous sommes pétris de la même pâte humaine que lui, aussi vulnérables et fragiles que lui, et qu'avec lui, nous voulons vraiment vivre en frères car nous sommes fils d'un même Père.
Parce que nous sommes frères et sœurs en Christ, nous sommes responsables les uns des autres.
J'ai donc une réponse à donner à mon frère qui a péché : celle de l'amour humble qui ne regarde pas de haut mais qui rejoint l'autre dans sa misère et lui offre la miséricorde pour l'aider à se relever.

 

 

 

 

 

Avant d'aller vers notre frère, il nous faut donc examiner le fond de notre cœur.
Assurons-nous d'abord que nous voyons juste - la prière nous y aidera-. Demandons-nous si nous aimons assez notre frère pour combattre efficacement son mal, si c'est vraiment l'amour qui donne le ton à notre démarche.
Si tel est le cas, n'ayons pas peur.


 

 

 

 

 

 

 

Seigneur, donne-moi d’aimer comme tu le veux.

 

 

 

Si je dois me taire, que je me taise par amour.


 

 

 

Si je dois parler, que je parle par amour.


 

 

 

Si je dois corriger, que je corrige par amour.


 

 

 

Si je dois pardonner, que je pardonne par amour.


 

 

 

Mets au fond de mon cœur la racine de l'amour.


 

 

 

De cette racine, je le sais et je le crois, il ne peut rien sortir que de bon.

 

 

 

Père Philippe

 

http://www.meinau-catholiques.org

 


 


 

 

 

«Si ton frère a commis un péché, va lui parler seul à seul et montre-lui sa faute»

 

 

 

Aujourd'hui, l'Évangile nous propose de réfléchir aux recommandations de Jésus aux disciples de son temps et de tous les temps. Même dans la communauté des premiers chrétiens il y avait des défauts et des comportements contraires à la volonté de Dieu.

Le dernier verset nous indique comment résoudre tous les problèmes rencontrés au sein de l'Église tout au long de son histoire: «Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d'eux» (Mt 18,20). Jésus est toujours présent dans toutes les périodes de la vie de son Église, son "corps mystique" animé incessamment par l'action du Saint Esprit. Nous sommes toujours frères, que notre communauté soit petite ou grande.

Les choses ne sont pas plus faciles de nos jours que lorsque l'église était moins nombreuse. Mais si nous réfléchissons aux choses en dialoguant avec Dieu notre Père, Il nous donnera la lumière pour que nous puissions trouver le temps, l'endroit et les paroles opportuns afin d'accomplir notre devoir et aider. Il est important de purifier notre cœur. Saint Paul nous encourage à corriger notre prochain avec droiture: «Frères, même dans le cas où quelqu'un serait pris en faute, vous les spirituels, rétablissez-le en esprit de douceur, te surveillant toi-même, car tu pourrais bien toi aussi être tenté» (Gal 6,1).

Une affection profonde et l'humilité nous encouragerons à rechercher la douceur. «Mais agissez d'une main maternelle, avec la délicatesse infinie que nos mères mettaient à soigner les grandes ou petites blessures de nos jeux et de nos chutes enfantines» (Saint Josemarie). Comme nous corrige la Mère de Jésus et Notre Mère, en nous inspirant d'aimer davantage Dieu et nos frères.

 

 

 

Prof. Dr. Mgr. Lluís CLAVELL (Roma, Italie)

 

 

 

 

 

http://evangeli.net/evangile

 


 

 

 


 

 

 

 

 

Prière d'introduction

 

Sainte Trinité, je vous adore et vous demande de vous glorifier en ce jour par mes pensées, mes paroles et mes actions. Au nom du Père, et du Fils…

 

Demande

 

Seigneur, apprends-moi à vivre la correction fraternelle au sein de ma famille, de mon travail, de ma communauté comme un geste de charité envers mon prochain.

 

Points de réflexion

 

1. Dans la prière collecte de ce dimanche nous demandons au Seigneur deux grâces : la vraie liberté et la vie éternelle.
Une manifestation de cette « vraie liberté » consiste à dire ce que nous pensons ouvertement, à pratiquer la correction fraternelle. Les martyrs nous donnent un exemple de cette vraie liberté qui ne se tait pas, mais qui offre la vie pour proclamer sa propre foi : « C’est la vérité qui rend libre face au pouvoir » (Veritatis Splendor). Il ne faut pas confondre cette liberté de parole avec la liberté d’expression à la manière du monde, car toute forme de liberté d’expression n’est pas synonyme d’expression de notre liberté, mais au contraire, de notre soumission aux passions telles que la haine et la jalousie envers nos frères. Corriger l’un de nos frères qui se trouve dans une situation de péché, qui a dévié ou qui tout simplement a tort, exige, comme le rappelle le pape François, un grand amour accompagné par l’humilité et le tact nécessaire pour savoir comment et quand dire les choses : « On ne peut en effet réaliser une intervention chirurgicale sans anesthésie ». Parfois, plus que d’une correction verbale, notre frère a besoin d’un bon exemple, d’une bonne attitude de notre part qui le remette en cause. À la lumière de la liturgie nous pouvons tirer quelques caractéristiques de l’exercice de la correction fraternelle dans notre vie chrétienne.

 

2. « Lorsque tu entendras une parole de ma bouche, tu les avertiras de ma part. » (Ez 3, 17)
La correction fraternelle commence par l’écoute de la parole de Dieu, elle se prépare dans la prière : en nous adressant à Dieu comme notre Père, nous accueillons les autres comme nos frères. Cette parole inspire, motive, rend droite et mesure notre correction. Ce point est crucial, puisque la correction n’est pas un exercice de subjectivisme, de goût, elle est règlement de notre vie à la lumière de ce que Dieu nous demande. Évidemment, cet exercice n’est pas facile, il est même douloureux, et parfois nous ne nous considérons pas à la hauteur, puisque nous-mêmes, nous sommes pécheurs. Mais encore une fois, ce n’est pas nous qui sommes au centre de la correction, mais la Parole de Dieu et le bien de la communauté, du corps du Christ. Le péché divise ; la vérité, au contraire, unit nos communautés et les met d’accord pour prier, pour se réunir au nom de Jésus d’un seul cœur. Dans l’Évangile cette dimension communautaire de la correction fraternelle est plus claire. En résumé, la Parole de Dieu et la communauté sont deux éléments importants pour échapper au subjectivisme et assurer que notre correction vienne de Dieu.

 

3. « À toi, je demanderai compte de son sang. » (Ez 33, 8) Voici la réponse de Dieu à la réponse de Caïn : « Suis-je le gardien de mon frère ? » (Gn 4, 9)
Oui, nous sommes les responsables de nos frères, dans la correction en tout cas, pas dans l’exécution. La correction fraternelle est une preuve de notre amour et notre considération envers les autres et « le plein accomplissement de la Loi, c’est l’amour. » (Rm 13, 10) Et quand nous sommes l’objet de cette correction, apprenons à voir aussi en elle un geste d’amour de nos frères pour nous. Notons bien, le Seigneur nous invite à prendre soin, tout d’abord, en allant lui faire de reproches « seul à seul ». La calomnie et le commérage ne font que répandre le sang et déchiqueter nos frères.

 

Dialogue avec le Christ

 

Jésus, accorde-nous la grâce de la vraie liberté, non pas pour blesser, mais pour construire et aider nos frères. Que ta parole façonne et inspire notre manière de penser, de parler, d’agir. Que nous soyons attentifs à nos frères avec un vrai zèle fraternel, que nos paroles soient justes quand il faut leur ramener au droit chemin, que nos oreilles soient attentives à la correction de nos frères. Qu’ensemble nous puissions construire cette communauté unie, en accord, qui prie et demande d’un seul cœur, qui se réunit en ton nom avec la certitude de ta présence parmi nous. Seigneur, que nous soyons de bons frères pour les autres.

 

Résolution

 

Me demander si je peux aider quelqu’un de mon entourage en pratiquant avec douceur la correction fraternelle.

 

Père Roger Villegas, LC

 

 

 

http://www.regnumchristi.fr

 


 

 

 


 

 

 

 

 

"Si ton frère a commis un péché contre toi, va lui faire des reproches seul à seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère.

 

 

 

 

 

 

 

S’il ne t’écoute pas, prends en plus avec toi une ou deux personnes afin que toute l’affaire soit réglée sur la parole de deux ou trois témoins. S’il refuse de les écouter, dis-le à l’assemblée de l’Église ; s’il refuse encore d’écouter l’Église, considère-le comme un païen et un publicain. Habituellement nous n’en sommes pas là ! Nous pensons plutôt : « Il m’a fait cela ! Je ne vais rien dire, je n’en parlerai pas. » J’ai peur, il m’a fait mal, comme je le connais, il ne va pas m’écouter ! Et nous ruminons à l’intérieur. Ce n’est pas la solution, car nous allons ajouter au mal ! Un volcan va se déclencher dans notre vie, nous sommes empoisonnés. Que faire alors ? Il m’a fait cela ! Alors : « Œil pour œil, dent pour dent. » Nous savons qu’il va s’établir un fossé, une séparation dans une agressivité, et celui qui m’a blessé va devenir inatteignable ! En fait, avec grande humilité, il nous faut considérer l’autre comme un frère. Jésus nous propose d’aller voir un ami, et de lui en parler. C’est un frère à honorer, créé par Dieu, sauvé par Jésus. J’ai mal, j’ai été blessé, mais je vais demeurer au niveau de la grâce, dire que je souffre, que je viens d’être blessé, tout simplement. Dans cette situation, c’est moi qui suis misérable. Jésus dit : « S’il ne t’écoute pas, prends encore avec toi une ou deux personnes. » Il me faut être ingénieux, trouver son ami, parler à son ami et lui dire la situation dans laquelle je me trouve.

 

 

 

"Amen, je vous le dis : tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel." C’est Jésus lui-même qui nous a sauvés, il vient nous rassembler dans un corps mystérieux, son Corps mystique. Si cette parole est difficile à vivre, elle est nécessaire pour que la communauté chrétienne puisse prendre corps. Nous sommes en situation de « salut, » il s’agit de sauver un frère ! Ce salut que Jésus nous a obtenu par sa passion et par sa croix, doit être pour nous Résurrection. Dans le feu du quotidien, au milieu des douleurs, nous nous blessons. Il nous faut alors mettre en œuvre notre espérance. Le courage et la confiance sont nécessaires ! Nous voulons sauver les liens qui sont entre nous parce que ces liens sont dans l’Esprit Saint qui les tisse. Nous entrons dans la communauté en artisan de Paix pour faire jaillir la vie de la communauté. Nous désirons voir le Christ au milieu de nous. Il ne demeure pas en nous quand nous sommes en lutte les uns contre les autres. Or nous sommes rassemblés en son nom, attentifs à sa voix.

 

 

 

"Et pareillement, amen, je vous le dis, si deux d’entre vous sur la terre se mettent d’accord pour demander quoi que ce soit, ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux. En effet, quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux. » Nous sommes toujours redevable les uns vis à vis des autres. Notre dette est la charité, elle est le lieu de notre vigilance. Ce que Jésus nous propose, c’est une attitude de douceur et d’humilité. Pour que la communauté chrétienne prenne corps, il nous faut revêtir les sentiments qui sont dans le cœur de Jésus. Créés par Dieu, sauvés par Jésus, frères et sœurs en humanité, nous savons que l’Evangile nous donne la Paix. Nous sommes les brebis du bon Pasteur. Nous voulons demeurer dans le calme et la tranquillité. Eloignons de nous la critique, l’injure, l’envie, la jalousie ou l’avarice. Dans le respect de Jésus et le Don de sa Vie, nous honorons ensemble la table sainte à laquelle nous communions à sa Vie. Nous voulons joindre tous nos différents dans le sacrifice de l’autel pour l’offrir avec sa Passion. Avoir l’amour qui animait Jésus, est bien supérieur à toutes les œuvres. Jésus nous l’a dit : « Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux.

 

 

 

Nous demandons au Saint-Esprit la grâce d’accomplir cette parole de Dieu.

 

 

 

 Père Gilbert Adam

 

http://www.pere-gilbert-adam.org

 


 

 

 


 

« Tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel » : le sacrement de réconciliation

 

 

 

      L'autre jour, quelqu'un, un journaliste, m'a posé une question étrange : « Vous-même, allez-vous en confession ? – Oui, je vais en confession chaque semaine, ai-je répondu. – Dieu doit être plus qu'exigeant si vous-même avez à vous confesser ».

      C'était à mon tour de lui dire : « Il arrive parfois à votre propre enfant de mal agir. Que se passe-t-il quand il vous annonce : 'Papa, je suis désolé !' Que faites-vous ? Vous prenez votre enfant dans vos bras et vous l'embrassez. Pourquoi ? Parce que c'est votre façon de lui dire que vous l'aimez. Dieu fait la même chose. Il vous aime tendrement ». Si nous avons péché ou si nous avons commis une faute, faisons en sorte que cela nous aide à nous rapprocher de Dieu. Disons lui humblement : « Je sais que je n'aurais pas dû agir ainsi, mais même cette chute, je te l'offre ».

      Si nous avons péché, si nous avons fauté, allons vers lui et disons-lui : « Je regrette ! Je me repens ! » Dieu est un père qui prend pitié. Sa miséricorde est plus grande que nos péchés. Il nous pardonnera.

 

Sainte Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Sœurs Missionnaires de la Charité
No Greater Love (trad. Il n'y a pas de plus grand amour, Lattès 1997, p. 117 rev.)

 

http://levangileauquotidien.org

 

Nos sources:

 


 

Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.

 

Homélie ou Méditation du jour

 

1. Père Philippe

 

http://www.meinau-catholiques.org

 

2. Abbé A

 

http://evangeli.net/evangile

 

3. Frère F.

 

http://www.regnumchristi.fr

 

4. Père Gilbert Adam

 

http://www.pere-gilbert-adam.org

 

5. Pape P.

 

http://levangileauquotidien.org

 


 

  

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 
   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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