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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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21 mai 2018

Evangile et Homélie du lundi 21 Mai 2018. L'Église fête la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de l’Église


Nous sommes le lundi de la 7e semaine du temps ordinaire

L'Église fête :  Bienheureuse Vierge Marie, Mère de l’Église, mémoire

Saint(s) du jour  : St Christophe Magallanes et 24 compagnons, martyrs,  St Eugène de Mazenod, évêque et fondateur (1782-1861)


Première lecture

« Si vous avez dans le cœur l’esprit de rivalité, ne vous en vantez pas » (Jc 3, 13-18)

Lecture de la lettre de saint Jacques

Bien-aimés,
    quelqu’un, parmi vous, a-t-il la sagesse et le savoir ?
Qu’il montre par sa vie exemplaire
que la douceur de la sagesse inspire ses actes.
    Mais si vous avez dans le cœur
la jalousie amère et l’esprit de rivalité,
ne vous en vantez pas, ne mentez pas,
n’allez pas contre la vérité.
    Cette prétendue sagesse ne vient pas d’en haut ;
au contraire, elle est terrestre, purement humaine, démoniaque.
    Car la jalousie et les rivalités mènent au désordre
et à toutes sortes d’actions malfaisantes.
    Au contraire, la sagesse qui vient d’en haut est d’abord pure,
puis pacifique, bienveillante, conciliante,
pleine de miséricorde et féconde en bons fruits,
sans parti pris, sans hypocrisie.
    C’est dans la paix qu’est semée la justice,
qui donne son fruit aux artisans de la paix.

            – Parole du Seigneur.


Psaume Ps 18b (19), 8, 9, 10, 15

La loi du Seigneur est parfaite,
qui redonne vie ;
la charte du Seigneur est sûre,
qui rend sages les simples.

Les préceptes du Seigneur sont droits,
ils réjouissent le cœur ;
le commandement du Seigneur est limpide,
il clarifie le regard.

 

La crainte qu’il inspire est pure,
elle est là pour toujours ;
les décisions du Seigneur sont justes
et vraiment équitables;

Accueille les paroles de ma bouche,
le murmure de mon cœur ;
qu’ils parviennent devant toi,
Seigneur, mon rocher, mon défenseur !


Évangile (Mc 9, 14-29)

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

En ce temps-là,
Jésus, ainsi que Pierre, Jacques et Jean,
descendirent de la montagne ;
    en rejoignant les autres disciples,
ils virent une grande foule qui les entourait,
et des scribes qui discutaient avec eux.
    Aussitôt qu’elle vit Jésus, toute la foule fut stupéfaite,
et les gens accouraient pour le saluer.
    Il leur demanda :
« De quoi discutez-vous avec eux ? »
    Quelqu’un dans la foule lui répondit :
« Maître, je t’ai amené mon fils,
il est possédé par un esprit qui le rend muet ;
    cet esprit s’empare de lui n’importe où,
il le jette par terre,
l’enfant écume, grince des dents
et devient tout raide.
J’ai demandé à tes disciples d’expulser cet esprit,
mais ils n’en ont pas été capables. »
    Prenant la parole, Jésus leur dit :
« Génération incroyante,
combien de temps resterai-je auprès de vous ?
Combien de temps devrai-je vous supporter ?
Amenez-le-moi. »
    On le lui amena.
Dès qu’il vit Jésus, l’esprit fit entrer l’enfant en convulsions ;
l’enfant tomba et se roulait par terre en écumant.
    Jésus interrogea le père :
« Depuis combien de temps cela lui arrive-t-il ? »
Il répondit :
« Depuis sa petite enfance.
    Et souvent il l’a même jeté dans le feu ou dans l’eau
pour le faire périr.
Mais si tu peux quelque chose,
viens à notre secours, par compassion envers nous ! »
    Jésus lui déclara :
« Pourquoi dire : “Si tu peux”… ?
Tout est possible pour celui qui croit. »
    Aussitôt le père de l’enfant s’écria :
« Je crois ! Viens au secours de mon manque de foi ! »
    Jésus vit que la foule s’attroupait ;
il menaça l’esprit impur, en lui disant :
« Esprit qui rends muet et sourd,
je te l’ordonne, sors de cet enfant
et n’y rentre plus jamais ! »
    Ayant poussé des cris et provoqué des convulsions,
l’esprit sortit.
L’enfant devint comme un cadavre,
de sorte que tout le monde disait : « Il est mort. »
    Mais Jésus, lui saisissant la main, le releva,
et il se mit debout.
    Quand Jésus fut rentré à la maison,
ses disciples l’interrogèrent en particulier :
« Pourquoi est-ce que nous,
nous n’avons pas réussi à l’expulser ? »
    Jésus leur répondit :
« Cette espèce-là, rien ne peut la faire sortir,
sauf la prière. »

            – Acclamons la Parole de Dieu.


Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.


Homélie ou Méditation du jour.

 

Le passage d’évangile de ce jour se déploie autour de l’impuissance des disciples à guérir l’enfant atteint d’épilepsie à cause de leur peu de    foi, immergés qu’ils sont au cœur d’une génération sans foi, et se conclut par l’exaltation par Jésus de la puissance de la vraie foi : la seule force réside dans le fait de se tenir par la    prière en présence de Dieu dans la foi.

Marc nous montre les disciples en train de discuter, au cœur de la foule avec les scribes. Jésus arrive et ses retrouvailles avec cette foule    après une longue période de séparation se passent dans un climat chaleureux. Tout naturellement, en bon Rabbin, il s’intéresse à l’objet des discussions entre les gens et ces maîtres à penser    qu’étaient les scribes. Et sa question : « De quoi discutiez-vous avec eux ? » trouve un écho immédiat. Un homme arrive et l’interpelle au sujet de son fils dont la maladie, d’après la    description qui en est faite, est sans aucun doute l’épilepsie. Mais surtout ce père se plaint auprès de Jésus de l’impuissance de ses disciples à opérer la guérison de son enfant (v.18b).   

 

 

Jésus va intervenir en commençant par adresser à ceux qui sont présents autour de lui ce jour là un appel pressant à croire qu’en sa personne le    Mal est vaincu. Jésus va guérir cet enfant mais en même temps il va révéler son œuvre de salut envers l’humanité : la restauration de l’homme dans sa dignité originelle. Il va également enseigner    quelles sont les conditions pour que cette œuvre de salut s’accomplisse dans la vie de tout un chacun.  

 

Si nous relevons les étapes qui conduisent jusqu’à la guérison de l’enfant, nous observons qu’elles sont au nombre de trois. Tout d’abord, la    supplication : « Viens à notre secours, par pitié pour nous ! », cri qui suppose la claire conscience du triste état de notre humanité. Ensuite, une foi confiante, un acte de foi explicite plus    exactement : « Je crois ! Viens au secours de mon incroyance ! ». Enfin, la prière : « Rien ne peut faire sortir cette espèce-là, sauf la prière », la prière qui en tous lieux et en toutes    circonstances, nous permet de demeurer dans la foi dans la présence de Dieu.

 

A travers cette guérison, le Seigneur nous révèle qu’il est bien le vainqueur du Mal et de la Mort. C’est bien ce que Marc veut faire ressortir    lorsqu’il dit que Jésus saisissant la main de cet enfant « le releva et le remit debout » (v. 27). Les deux verbes « (se) relever » et « se mettre debout » utilisés ici par l’évangéliste    expriment ailleurs la Résurrection de Jésus ! Il faut décidément bien lire dans ce miracle la restauration de notre humanité pécheresse par la puissance de résurrection du Christ.

 

Saint Marc, en mettant en contraste l’incrédulité de la foule et des disciples eux-mêmes avec la foi exemplaire d’un anonyme met en relief le    thème qui ne cesse de parcourir sa narration depuis la première annonce de la Passion de Jésus (8, 31-33) : à celui qui met sa foi en sa personne, le Christ apporte la victoire sur la    souffrance et la mort.

 

Quel contraste Seigneur entre notre peu de foi et ton abandon amoureux et confiant durant    ta Passion. Fais-nous la grâce de te suivre sur ce chemin de l’abaissement pour être dépouillés de toutes nos prétentions à sauver le monde par nos propres forces. N’as-tu pas choisi les pauvres  comme riches dans la foi (Cf. Jc 2, 5) ? Libère-nous de tous nos repliements et donne-nous d’entrer dans une authentique disponibilité envers nos frères en humanité pour te laisser agir en eux à    travers nous !

 

Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org



 

«Je crois! Viens au secours de mon incroyance!»

Aujourd'hui, nous contemplons —encore!— le Seigneur sollicité par les gens («ils accouraient pour le saluer») et, en même temps, plein de sollicitude à leur égard. Dès qu'il sent qu'il se passe quelque chose, il s'y intéresse.


L'un des personnages intervient. C'est le père d'un garçon possédé par un esprit mauvais. «Maître, je t'ai amené mon fils, il est possédé par un esprit qui le rend muet; cet esprit s'empare de lui n'importe où, il le jette par terre, l'enfant écume, grince des dents et devient tout raide» (Mc 9,17-18).  Qu'il est terrible le mal que parvient à faire le Diable, cette créature dépourvue de toute charité! —Seigneur, il nous faut prier: «Délivre nous du mal»! Comment peut-il y avoir de nos jours des voix qui disent que le Diable n'existe pas, ou des gens qui lui rendent une sorte de culte! C'est absurde! Voici la leçon à tirer de tout cela: il ne faut pas jouer avec le feu.


«J'ai demandé à tes disciples d'expulser cet esprit, mais ils n'ont pas réussi» (Mc 9,18). Jésus est triste quand il entend ces mots. Attristé, surtout, par le manque de foi…. Et la foi leur manque parce qu'ils doivent prier davantage: «Rien ne peut faire sortir cette espèce-là, sauf la prière» (Mc 9,29). La prière est un dialogue intime avec Dieu. Jean-Paul II a dit que «la prière implique toujours d'aller se cacher avec le Christ en Dieu. Ce n'est qu’en semblable intimité qu'agit le Saint-Esprit». Dans cette cachette intime, l'on pratique cette amicale fréquentation de Jésus, qui accroît notre confiance en Lui, c'est-à-dire notre foi.


Mais cette foi, qui remue les montagnes et expulse les esprits mauvais («Tout est possible en faveur de celui qui croit»), est surtout un don de Dieu. Notre oraison, en tout cas, nous met en disposition de recevoir ce don. Mais nous devons l'implorer: «Je crois! Viens au secours de mon incroyance!» (Mc 9,24). Le Christ, Lui, ne se fera pas prier!

Abbé Antoni CAROL i Hostench     (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne)

http://evangeli.net/evangile


 


 

Prière

 

Seigneur, je viens vers toi, car je crois en toi. Je crois que tu es le Fils de Dieu. Viens dans mon cœur, Jésus.

 

 

 

Demande

Savoir prier avec foi.

 

Réflexion

1. Ce passage de l’Évangile de Marc se situe juste après la Transfiguration. Jésus, avec Pierre, Jacques et Jean, redescend de la montagne. Un homme vient à sa rencontre avec son fils possédé par un esprit mauvais. Les autres apôtres sont là aussi, ainsi qu’une foule de gens. Le récit de Marc est d’une grande précision, il nous rapporte plusieurs détails qui font de ce passage un épisode frappant de la vie de Jésus. Marc met en place les différents personnages, rapportent les dialogues avec précision, l’état de l’enfant est décrit avec détail, ainsi que sa guérison.

2. La clef de compréhension du passage semble être la foi. Dans un premier temps, en effet, Jésus reproche durement à ses disciples de ne pas avoir pu expulser l’esprit impur : « Génération incroyante (…) » Ensuite, au père de l’enfant qui lui disait : « Si tu peux quelque chose… », Jésus répond : « Pourquoi dire "Si tu peux", tout est possible pour celui qui croit. » Mais pourtant, quand les disciples questionnent Jésus à la fin du passage, il leur répond : « Cette espèce-là, rien ne peut la faire sortir, sauf la prière. »

3. Ce passage met donc en évidence le lien qui existe entre la foi et la prière. Qui dit croire, mais ne prie jamais, a-t-il vraiment la foi ? Et qui prie sans avoir la foi, quelle sorte de prière peut-il faire ? Notre foi doit donc s’exprimer dans la prière, notamment, comme dans ce passage, dans la prière d’intercession. Si nous croyons vraiment en Dieu, comment ne pas lui demander de l’aide pour les problèmes que nous rencontrons dans notre vie et dans celle des autres ? Et la prière elle-même devient une manifestation de notre foi : en priant nous manifestons que nous croyons que Dieu existe, qu’il nous écoute et qu’il nous aime.

 

Dialogue avec le Christ

Seigneur, viens au secours de mon manque de foi ! Tu sais que souvent ma prière est distraite, que je récite des phrases sans toujours faire attention à ce que je dis. Aide-moi à faire de ma prière un véritable acte de foi. Je crois en toi, Jésus.

 

Résolution

Chaque fois que je prie le « Notre-Père », essayer de le faire avec plus de foi.

 

Père Jean-Marie Fornerod, LC

 

http://www.regnumchristi.fr


 


 

 

Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. »

Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. La bienheureuse Vierge Marie est fêtée Mère de l’Eglise ce lundi de Pentecôte, selon le désir de François notre Pape. Il considère avec attention comment la promotion de cette dévotion à Marie peut favoriser, chez les Pasteurs, les religieux et les fidèles, la croissance du sens maternel de l’Eglise et de la vraie piété mariale. L’Evangile nous donne de progresser dans l’amour de Jésus et de Marie sa mère, et de l’Eglise. Marie est la mère des membres du Corps du Christ, et elle coopère par son amour à la renaissance des fidèles dans l’Eglise. La Mère de Jésus était près de la croix, elle accepta son testament d’amour et elle accueillit toute l’humanité, personnifiée par le disciple bien-aimé. Elle devient ainsi la tendre mère de ses enfants qui vont renaître à la vie divine, de l’Eglise, que Jésus a générée sur la croix quand il rendait l’Esprit. A son tour, dans le disciple bien-aimé, Jésus nous choisit tous, nous confiant cette mère bien aimée pour que nous l’accueillons avec une grande affection.

Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l’Écriture s’accomplisse jusqu’au bout, Jésus dit : « J’ai soif. » Il y avait là un récipient plein d’une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d’hysope, et on l’approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « Tout est accompli. » Puis, inclinant la tête, il remit l’esprit. Marie a commencé sa mission maternelle au cénacle, priant avec les Apôtres dans l’attente de la venue de l’Esprit Saint. Au cours des siècles, la piété des Chrétiens a honoré Marie avec des titres divers, Mère des disciples, des fidèles, des croyants. Tous ceux qui renaissent dans le Christ, sont confiés à Marie, “Mère de l’Eglise.” Le bienheureux pape Paul VI, en concluant la troisième session du Concile Vatican II, a déclaré la bienheureuse Vierge Marie “Mère de l’Eglise, c’est-à-dire Mère de tout le peuple chrétien, aussi bien des fidèles que des Pasteurs qui l’appellent Mère très aimable.” Il a établi que “le peuple chrétien tout entier honore toujours et de plus en plus la Mère de Dieu par ce nom très doux.”

Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes. Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec Jésus. Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau. Jésus, sur la Croix, est plus pauvre que jamais. Il nous a tout donné, sa présence, son amour, ses paroles, sa vie, sa mère. Il a vécu entièrement pour nous et maintenant il nous donne sa mort, son corps épuisé et son sang versé. A la suite de Jésus, nous sommes ancrée dans le mystère de la Croix. C’est dans le Banquet Eucharistique que nous recevons maintenant son Corps et son Sang. Avec Marie, la Mère du Rédempteur, nous faisons mémoire de la Célébration de l’Amour, la plus merveilleuse qui soit.

Nous prions que notre Amour de Marie s’intensifie encore.

4. Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org


 


 

« Je crois ! Viens au secours de mon incroyance »

      La foi est une grâce : Lorsque Saint Pierre confesse que Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant, Jésus lui déclare que cette révélation ne lui est pas venue « de la chair et du sang, mais de son Père qui est dans les cieux » (Mt 16,17). La foi est un don de Dieu, une vertu surnaturelle infuse par lui. « Pour prêter cette foi, l'homme a besoin de la grâce prévenante et aidante de Dieu, ainsi que des secours intérieurs du Saint Esprit. Celui-ci touche le cœur et le tourne vers Dieu, ouvre les yeux de l'esprit et donne à tous la douceur de consentir et de croire à la vérité » (Vatican II, DV).

      La foi est un acte humain : Croire n'est possible que par la grâce et les secours intérieurs du Saint Esprit. Il n'en est pas moins vrai que croire est un acte authentiquement humain. Il n'est contraire ni à la liberté ni à l'intelligence de l'homme de faire confiance à Dieu et d'adhérer aux vérités par lui révélées. Déjà dans les relations humaines il n'est pas contraire à notre propre dignité de croire ce que d'autres personnes nous disent sur elles-mêmes et sur leurs intentions, et de faire confiance à leurs promesses (comme, par exemple, lorsqu'un homme et une femme se marient), pour entrer ainsi en communion mutuelle. Dès lors, il est encore moins contraire à notre dignité de « présenter par la foi la soumission plénière de notre intelligence et de notre volonté au Dieu qui révèle » (Vatican I) et d'entrer ainsi en communion intime avec lui.

      Dans la foi, l'intelligence et la volonté humaines coopèrent avec la grâce divine : « Croire est un acte de l'intelligence adhérant à la vérité divine sous le commandement de la volonté mue par Dieu au moyen de la grâce » (St Thomas d'Aquin).

Catéchisme de l'Église catholique § 153-155

 

 

 

http://levangileauquotidien.org    






Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.

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5. Pape P.

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