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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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25 décembre 2018

Evangile et Homélie du 25 Déc 2018. Messe de Noel

Première lecture

« Tu seras la joie de ton Dieu » (Is 62, 1-5)

Lecture du livre du prophète Isaïe

    Pour la cause de Sion, je ne me tairai pas,
et pour Jérusalem, je n’aurai de cesse
que sa justice ne paraisse dans la clarté,
et son salut comme une torche qui brûle.
    Et les nations verront ta justice ;
tous les rois verront ta gloire.
On te nommera d’un nom nouveau
que la bouche du Seigneur dictera.
    Tu seras une couronne brillante
dans la main du Seigneur,
un diadème royal
entre les doigts de ton Dieu.
    On ne te dira plus : « Délaissée ! »
À ton pays, nul ne dira : « Désolation ! »
Toi, tu seras appelée « Ma Préférence »,
cette terre se nommera « L’Épousée ».
Car le Seigneur t’a préférée,
et cette terre deviendra « L’Épousée ».
    Comme un jeune homme épouse une vierge,
ton Bâtisseur t’épousera. Comme la jeune mariée fait la joie de son mari,
tu seras la joie de ton Dieu.

    – Parole du Seigneur.


Psaume  88 (89), 4-5, 16-17, 27.29)

« Avec mon élu, j’ai fait une alliance,
j’ai juré à David, mon serviteur :
J’établirai ta dynastie pour toujours,
je te bâtis un trône pour la suite des âges. »

Heureux le peuple qui connaît l’ovation !
Seigneur, il marche à la lumière de ta face ;
tout le jour, à ton nom il danse de joie,
fier de ton juste pouvoir.

« Il me dira : Tu es mon Père,
mon Dieu, mon roc et mon salut !
Sans fin je lui garderai mon amour,
mon alliance avec lui sera fidèle. »


 

Deuxième lecture (Ac 13, 16-17.22-25)

Lecture du livre des Actes des Apôtres

Invité à prendre la parole dans la synagogue d’Antioche de Pisidie,
    Paul se leva, fit un signe de la main et dit :
« Israélites, et vous aussi qui craignez Dieu,
écoutez :
    Le Dieu de ce peuple, le Dieu d’Israël a choisi nos pères ;
il a fait grandir son peuple pendant le séjour en Égypte
et il l’en a fait sortir à bras étendu.
    Plus tard, Dieu a, pour eux, suscité David comme roi,
et il lui a rendu ce témoignage :
J’ai trouvé David, fils de Jessé ;
c’est un homme selon mon cœur
qui réalisera toutes mes volontés.

    De la descendance de David,
Dieu, selon la promesse, a fait sortir
un sauveur pour Israël :
c’est Jésus,
    dont Jean le Baptiste a préparé l’avènement,
en proclamant avant lui un baptême de conversion
pour tout le peuple d’Israël.
    Au moment d’achever sa course,
Jean disait :
‘Ce que vous pensez que je suis,
je ne le suis pas.
Mais le voici qui vient après moi,
et je ne suis pas digne de retirer les sandales de ses pieds.’ »

    – Parole du Seigneur.


Évangile (Mt 1, 1-25)

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

Généalogie de Jésus, Christ,
fils de David, fils d’Abraham.
    Abraham engendra Isaac,
Isaac engendra Jacob,
Jacob engendra Juda et ses frères,
    Juda, de son union avec Thamar, engendra Pharès et Zara,
Pharès engendra Esrom,
Esrom engendra Aram,
    Aram engendra Aminadab,
Aminadab engendra Naassone,
Naassone engendra Salmone,
    Salmone, de son union avec Rahab, engendra Booz,
Booz, de son union avec Ruth, engendra Jobed,
Jobed engendra Jessé,
    Jessé engendra le roi David.

David, de son union avec la femme d’Ourias, engendra Salomon,
    Salomon engendra Roboam,
Roboam engendra Abia,
Abia engendra Asa,
    Asa engendra Josaphat,
Josaphat engendra Joram,
Joram engendra Ozias,
    Ozias engendra Joatham,
Joatham engendra Acaz,
Acaz engendra Ézékias,
    Ézékias engendra Manassé,
Manassé engendra Amone,
Amone engendra Josias,
    Josias engendra Jékonias et ses frères
à l’époque de l’exil à Babylone.

Après l’exil à Babylone,
Jékonias engendra Salathiel,
Salathiel engendra Zorobabel,
    Zorobabel engendra Abioud,
Abioud engendra Éliakim,
Éliakim engendra Azor,
    Azor engendra Sadok,
Sadok engendra Akim,
Akim engendra Élioud,
    Élioud engendra Éléazar,
Éléazar engendra Mattane,
Mattane engendra Jacob,
    Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie,
de laquelle fut engendré Jésus,
que l’on appelle Christ.

    Le nombre total des générations est donc :
depuis Abraham jusqu’à David, quatorze générations ;
depuis David jusqu’à l’exil à Babylone, quatorze générations ;
depuis l’exil à Babylone jusqu’au Christ, quatorze générations.

Voici comment fut engendré Jésus Christ :
Marie, sa mère, avait été accordée en mariage à Joseph ;
avant qu’ils aient habité ensemble,
elle fut enceinte
par l’action de l’Esprit Saint.
    Joseph, son époux,
qui était un homme juste,
et ne voulait pas la dénoncer publiquement,
décida de la renvoyer en secret.
    Comme il avait formé ce projet,
voici que l’ange du Seigneur
lui apparut en songe et lui dit :
« Joseph, fils de David,
ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse,
puisque l’enfant qui est engendré en elle
vient de l’Esprit Saint ;
    elle enfantera un fils,
et tu lui donneras le nom de Jésus
(c’est-à-dire : Le-Seigneur-sauve),
car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. »

    Tout cela est arrivé
pour que soit accomplie
la parole du Seigneur prononcée par le prophète :
    Voici que la Vierge concevra,
et elle enfantera un fils ;

on lui donnera le nom d’Emmanuel,
qui se traduit : « Dieu-avec-nous ».

    Quand Joseph se réveilla,
il fit ce que l’ange du Seigneur lui avait prescrit :
il prit chez lui son épouse,
    mais il ne s’unit pas à elle,
jusqu’à ce qu’elle enfante un fils,
auquel il donna le nom de Jésus.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

OU LECTURE BREVE

Évangile

« Généalogie de Jésus, Christ, fils de David » (Mt 1, 18-25)

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

Voici comment fut engendré Jésus Christ :
Marie, sa mère, avait été accordée en mariage à Joseph ;
avant qu’ils aient habité ensemble,
elle fut enceinte
par l’action de l’Esprit Saint.
    Joseph, son époux,
qui était un homme juste,
et ne voulait pas la dénoncer publiquement,
décida de la renvoyer en secret.
    Comme il avait formé ce projet,
voici que l’ange du Seigneur
lui apparut en songe et lui dit :
« Joseph, fils de David,
ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse,
puisque l’enfant qui est engendré en elle
vient de l’Esprit Saint ;
    elle enfantera un fils,
et tu lui donneras le nom de Jésus
(c’est-à-dire : Le-Seigneur-sauve),
car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. »

    Tout cela est arrivé
pour que soit accomplie
la parole du Seigneur prononcée par le prophète :
    Voici que la Vierge concevra,
et elle enfantera un fils ;
on lui donnera le nom d’Emmanuel,

qui se traduit : « Dieu-avec-nous ».

    Quand Joseph se réveilla,
il fit ce que l’ange du Seigneur lui avait prescrit :
il prit chez lui son épouse,
    mais il ne s’unit pas à elle,
jusqu’à ce qu’elle enfante un fils,
auquel il donna le nom de Jésus.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

Messe de la nuit

Première lecture

« Un enfant nous est né » (Is 9, 1-6)

Lecture du livre du prophète Isaïe

Le peuple qui marchait dans les ténèbres
a vu se lever une grande lumière ;
et sur les habitants du pays de l’ombre,
une lumière a resplendi.
    Tu as prodigué la joie,
tu as fait grandir l’allégresse :
ils se réjouissent devant toi,
comme on se réjouit de la moisson,
comme on exulte au partage du butin.
    Car le joug qui pesait sur lui,
la barre qui meurtrissait son épaule,
le bâton du tyran,
tu les as brisés comme au jour de Madiane.
    Et les bottes qui frappaient le sol,
et les manteaux couverts de sang,
les voilà tous brûlés :
le feu les a dévorés.

    Oui, un enfant nous est né,
un fils nous a été donné !
Sur son épaule est le signe du pouvoir ;
son nom est proclamé :
« Conseiller-merveilleux, Dieu-Fort,
Père-à-jamais, Prince-de-la-Paix. »
    Et le pouvoir s’étendra,
et la paix sera sans fin
pour le trône de David et pour son règne
qu’il établira, qu’il affermira
sur le droit et la justice
dès maintenant et pour toujours.
Il fera cela, l’amour jaloux du Seigneur de l’univers !

    – Parole du Seigneur.

Psaume

(Ps 95 (96), 1-2a, 2b-3, 11-12a, 12b-13a, 13bc)

R/ Aujourd'hui, un Sauveur nous est né :
c'est le Christ, le Seigneur.
(cf. Lc 2, 11)

Chantez au Seigneur un chant nouveau,
chantez au Seigneur, terre entière,
chantez au Seigneur et bénissez son nom !

De jour en jour, proclamez son salut,
racontez à tous les peuples sa gloire,
à toutes les nations ses merveilles !

Joie au ciel ! Exulte la terre !
Les masses de la mer mugissent,
la campagne tout entière est en fête.

Les arbres des forêts dansent de joie
devant la face du Seigneur, car il vient,
car il vient pour juger la terre.

Il jugera le monde avec justice
et les peuples selon sa vérité !

Deuxième lecture

« La grâce de Dieu s’est manifestée pour tous les hommes » (Tt 2, 11-14)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre à Tite

Bien-aimé,
    la grâce de Dieu s’est manifestée
pour le salut de tous les hommes.
    Elle nous apprend à renoncer à l’impiété
et aux convoitises de ce monde,
et à vivre dans le temps présent de manière raisonnable,
avec justice et piété,
    attendant que se réalise la bienheureuse espérance :
la manifestation de la gloire
de notre grand Dieu et Sauveur, Jésus Christ.
    Car il s’est donné pour nous
afin de nous racheter de toutes nos fautes,
et de nous purifier
pour faire de nous son peuple,
un peuple ardent à faire le bien.

    – Parole du Seigneur.

Évangile

« Aujourd’hui vous est né un Sauveur » (Lc 2, 1-14)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    En ces jours-là,
parut un édit de l’empereur Auguste,
ordonnant de recenser toute la terre
    – ce premier recensement eut lieu
lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie.
    Et tous allaient se faire recenser, chacun dans sa ville d’origine.
    Joseph, lui aussi, monta de Galilée, depuis la ville de Nazareth,
vers la Judée, jusqu’à la ville de David appelée Bethléem.
Il était en effet de la maison et de la lignée de David.
    Il venait se faire recenser avec Marie,
qui lui avait été accordée en mariage
et qui était enceinte.

    Or, pendant qu’ils étaient là,
le temps où elle devait enfanter fut accompli.
    Et elle mit au monde son fils premier-né ;
elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire,
car il n’y avait pas de place pour eux dans la salle commune.
    Dans la même région, il y avait des bergers
qui vivaient dehors et passaient la nuit dans les champs
pour garder leurs troupeaux.
    L’ange du Seigneur se présenta devant eux,
et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière.
Ils furent saisis d’une grande crainte.
    Alors l’ange leur dit :
« Ne craignez pas,
car voici que je vous annonce une bonne nouvelle,
qui sera une grande joie pour tout le peuple :
    Aujourd’hui, dans la ville de David,
vous est né un Sauveur
qui est le Christ, le Seigneur.
    Et voici le signe qui vous est donné :
vous trouverez un nouveau-né
emmailloté et couché dans une mangeoire. »
    Et soudain, il y eut avec l’ange une troupe céleste innombrable,
qui louait Dieu en disant :
    « Gloire à Dieu au plus haut des cieux,
et paix sur la terre aux hommes, qu’Il aime. »

    – Acclamons la Parole de Dieu.

Messe de l'aurore

Première lecture

« Voici ton Sauveur qui vient » (Is 62, 11-12)

Lecture du livre du prophète Isaïe

Voici que le Seigneur se fait entendre
jusqu’aux extrémités de la terre :
Dites à la fille de Sion :
Voici ton Sauveur qui vient ;
avec lui, le fruit de son travail,
et devant lui, son ouvrage.

    Eux seront appelés « Peuple-saint »,
« Rachetés-par-le-Seigneur »,
et toi, on t’appellera « La-Désirée »,
« La-Ville-qui-n’est-plus-délaissée ».

    – Parole du Seigneur.

Psaume

(Ps 96 (97), 1.6, 11-12)

R/ La lumière aujourd'hui a resplendi sur nous :
un Sauveur nous est né !

Le Seigneur est roi ! Exulte la terre !
Joie pour les îles sans nombre !
Les cieux ont proclamé sa justice,
et tous les peuples ont vu sa gloire.

Une lumière est semée pour le juste,
et pour le cœur simple, une joie.
Que le Seigneur soit votre joie, hommes justes ;
rendez grâce en rappelant son nom très saint.

Deuxième lecture

« Dieu nous a sauvés par sa miséricorde » (Tt 3, 4-7)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre à Tite

Bien-aimé,
    lorsque Dieu, notre Sauveur,
a manifesté sa bonté et son amour pour les hommes,
    il nous a sauvés,
non pas à cause de la justice de nos propres actes,
mais par sa miséricorde.
Par le bain du baptême, il nous a fait renaître
et nous a renouvelés dans l’Esprit Saint.
    Cet Esprit, Dieu l’a répandu sur nous en abondance,
par Jésus Christ notre Sauveur,
    afin que, rendus justes par sa grâce,
nous devenions en espérance
héritiers de la vie éternelle.

    – Parole du Seigneur.

Évangile

« Les bergers découvrirent Marie et Joseph, avec le nouveau-né » (Lc 2, 15-20)

Alléluia. Alléluia.
Gloire à Dieu au plus haut des cieux,
et paix sur la terre aux hommes, qu’Il aime !
Alléluia. (Lc 2, 14)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

Lorsque les anges eurent quitté les bergers pour le ciel,
ceux-ci se disaient entre eux :
« Allons jusqu’à Bethléem
pour voir ce qui est arrivé,
l’événement que le Seigneur nous a fait connaître. »
    Ils se hâtèrent d’y aller,
et ils découvrirent Marie et Joseph,
avec le nouveau-né couché dans la mangeoire.
    Après avoir vu,
ils racontèrent ce qui leur avait été annoncé
au sujet de cet enfant.
    Et tous ceux qui entendirent s’étonnaient
de ce que leur racontaient les bergers.
    Marie, cependant, retenait tous ces événements
et les méditait dans son cœur.
    Les bergers repartirent ;
ils glorifiaient et louaient Dieu
pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu,
selon ce qui leur avait été annoncé.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

Messe du jour

Première lecture

« Tous les lointains de la terre ont vu le salut de notre Dieu » (Is 52, 7-10)

Lecture du livre du prophète Isaïe

    Comme ils sont beaux sur les montagnes,
les pas du messager,
celui qui annonce la paix,
qui porte la bonne nouvelle,
qui annonce le salut,
et vient dire à Sion :
« Il règne, ton Dieu ! »
    Écoutez la voix des guetteurs :
ils élèvent la voix,
tous ensemble ils crient de joie
car, de leurs propres yeux,
ils voient le Seigneur qui revient à Sion.
    Éclatez en cris de joie,
vous, ruines de Jérusalem,
car le Seigneur console son peuple,
il rachète Jérusalem !
    Le Seigneur a montré la sainteté de son bras
aux yeux de toutes les nations.
Tous les lointains de la terre
ont vu le salut de notre Dieu.

    – Parole du Seigneur.

Psaume

(Ps 97 (98), 1, 2-3ab, 3cd-4, 5-6)

R/ La terre entière a vu
le Sauveur que Dieu nous donne.
(cf. Ps 97, 3)

Chantez au Seigneur un chant nouveau,
car il a fait des merveilles ;
par son bras très saint, par sa main puissante,
il s’est assuré la victoire.

Le Seigneur a fait connaître sa victoire
et révélé sa justice aux nations ;
il s’est rappelé sa fidélité, son amour,
en faveur de la maison d’Israël.

La terre tout entière a vu
la victoire de notre Dieu.
Acclamez le Seigneur, terre entière,
sonnez, chantez, jouez !

Jouez pour le Seigneur sur la cithare,
sur la cithare et tous les instruments ;
au son de la trompette et du cor,
acclamez votre roi, le Seigneur !

Deuxième lecture

« Dieu nous a parlé par son Fils » (He 1, 1-6)

Lecture de la lettre aux Hébreux

À bien des reprises
et de bien des manières,
Dieu, dans le passé,
a parlé à nos pères par les prophètes ;
    mais à la fin, en ces jours où nous sommes,
il nous a parlé par son Fils
qu’il a établi héritier de toutes choses
et par qui il a créé les mondes.
    Rayonnement de la gloire de Dieu,
expression parfaite de son être,
le Fils, qui porte l’univers
par sa parole puissante,
après avoir accompli la purification des péchés,
s’est assis à la droite de la Majesté divine
dans les hauteurs des cieux ;
    et il est devenu bien supérieur aux anges,
dans la mesure même où il a reçu en héritage
un nom si différent du leur.
    En effet, Dieu déclara-t-il jamais à un ange :
Tu es mon Fils,
moi, aujourd’hui, je t’ai engendré ?

Ou bien encore :
Moi, je serai pour lui un père,
et lui sera pour moi un fils ?

    À l’inverse, au moment d’introduire le Premier-né
dans le monde à venir,
il dit :
Que se prosternent devant lui
tous les anges de Dieu.

    – Parole du Seigneur.

Évangile

« Le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous » (Jn 1, 1-18)

Alléluia. Alléluia.
Aujourd’hui la lumière a brillé sur la terre.
Peuples de l’univers, entrez dans la clarté de Dieu ;
venez tous adorer le Seigneur !
Alléluia.

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    Au commencement était le Verbe,
et le Verbe était auprès de Dieu,
et le Verbe était Dieu.
    Il était au commencement auprès de Dieu.
    C’est par lui que tout est venu à l’existence,
et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui.
    En lui était la vie,
et la vie était la lumière des hommes ;
    la lumière brille dans les ténèbres,
et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.

    Il y eut un homme envoyé par Dieu ;
son nom était Jean.
    Il est venu comme témoin,
pour rendre témoignage à la Lumière,
afin que tous croient par lui.
    Cet homme n’était pas la Lumière,
mais il était là pour rendre témoignage à la Lumière.

    Le Verbe était la vraie Lumière,
qui éclaire tout homme
en venant dans le monde.
    Il était dans le monde,
et le monde était venu par lui à l’existence,
mais le monde ne l’a pas reconnu.

    Il est venu chez lui,
et les siens ne l’ont pas reçu.
    Mais à tous ceux qui l’ont reçu,
il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu,
eux qui croient en son nom.
    Ils ne sont pas nés du sang,
ni d’une volonté charnelle,
ni d’une volonté d’homme :
ils sont nés de Dieu.
    Et le Verbe s’est fait chair,
il a habité parmi nous,
et nous avons vu sa gloire,
la gloire qu’il tient de son Père
comme Fils unique,
plein de grâce et de vérité.

    Jean le Baptiste lui rend témoignage en proclamant :
« C’est de lui que j’ai dit :
Celui qui vient derrière moi
est passé devant moi,
car avant moi il était. »
    Tous, nous avons eu part à sa plénitude,
nous avons reçu grâce après grâce ;
    car la Loi fut donnée par Moïse,
la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.

    Dieu, personne ne l’a jamais vu ;
le Fils unique, lui qui est Dieu,
lui qui est dans le sein du Père,
c’est lui qui l’a fait connaître.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

OU LECTURE BREVE

Évangile

« Le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous » (Jn 1, 1-5.9-14)

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

Au commencement était le Verbe,
et le Verbe était auprès de Dieu,
et le Verbe était Dieu.
    Il était au commencement auprès de Dieu.
    C’est par lui que tout est venu à l’existence,
et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui.
    En lui était la vie,
et la vie était la lumière des hommes ;
    la lumière brille dans les ténèbres,
et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.

    Le Verbe était la vraie Lumière,
qui éclaire tout homme
en venant dans le monde.
    Il était dans le monde,
et le monde était venu par lui à l’existence,
mais le monde ne l’a pas reconnu.
    Il est venu chez lui,
et les siens ne l’ont pas reçu.
    Mais à tous ceux qui l’ont reçu,
il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu,
eux qui croient en son nom.
    Ils ne sont pas nés du sang,
ni d’une volonté charnelle,
ni d’une volonté d’homme :
ils sont nés de Dieu.
    Et le Verbe s’est fait chair,
il a habité parmi nous,
et nous avons vu sa gloire,
la gloire qu’il tient de son Père
comme Fils unique,
plein de grâce et de vérité.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

 


 

Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.


 

 

 

 

Homélie ou Méditation du jour

 

 


 

 


«Vous est né un Sauveur, dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur»

 

 

 

Aujourd'hui, le Sauveur est venu au monde. Voici la bonne nouvelle de la nuit de Noël. Comme tous les Noëls, Jésus vient à nouveau au monde, dans chaque foyer, dans nos cœurs. Mais, contrairement à la façon dont notre société consommatrice commémore cette fête, Jésus ne vient pas au monde dans un environnement d'opulence, de shopping, de luxe, de caprices, et de grands repas. Jésus vient au monde dans la simplicité d'un portail et une mangeoire. Et ce fut ainsi car il était rejeté par les hommes, personne n'a voulu les accueillir, ni dans les maisons, ni dans les auberges. Marie et Joseph, ainsi que Jésus bébé, ont ressenti ce que veut dire le rejet, le manque de générosité et de solidarité.

 

Peu après, avec l'annonce de l'Ange —«Ne craignez pas, car voici que je viens vous annoncer une bonne nouvelle, une grande joie pour tout le peuple» (Lc 2,10)— ils sont tous accourus pour adorer le Fils de Dieu. C'est un peu comme dans notre société qui marginalise et rejette les gens parce qu'ils sont pauvres, étrangers ou simplement différents et ensuite fête Noël en parlant de paix, de solidarité et d'amour. En ce jour, nous les chrétiens nous sommes remplis de joie, et à juste titre. Comme l'affirme Saint Léon le Grand: «La tristesse n’est pas de mise en ce jour où naît la vie».

Mais nous ne pouvons oublier que cette naissance demande de notre part un compromis: celui de vivre Noël de la façon la plus proche possible de celle vécue par la Sainte Famille. C'est à dire, sans ostentations, sans dépenses inutiles, sans jeter l'argent par la fenêtre. Fêter et faire la fête est tout à fait compatible avec austérité ainsi qu'avec pauvreté. Par ailleurs, si pendant ces jours nous n'éprouvons pas de sentiments de solidarité envers ceux qui sont rejetés, les étrangers, les sdf, cela veut dire qu'au fond nous sommes comme les habitants de Bethléem: nous n'accueillons pas le Petit Jésus.

 

 

 

 


 

«Ils découvrirent Marie et Joseph, avec le nouveau-né couché dans la mangeoire»

 

 

 Aujourd'hui, une lumière resplendit pour nous: le Seigneur est né! Tout comme le soleil sort chaque jour pour illuminer et donner vie à notre monde, cette messe de l'aurore, célébrée alors qu'il fait encore obscur, évoque la figure du petit Enfant né à Bethléem comme le soleil naissant qui vient pour éclairer toute la famille humaine.

 

Après Marie et Joseph, les bergers de l'Évangile furent les premiers à être illuminés par la présence de Jésus Enfant. Ces bergers qui étaient socialement considérés comme les derniers. Nous devons être des bergers pour accueillir l'Enfant et être conscients de notre néant. Que Jésus soit la lumière ne peut nous laisser indifférents. Regardons les bergers: la joie qu'ils ressentaient à ce qu'ils avaient vu était si grande, qu'ils ne cessaient d'en parler: «Tout le monde s'étonnait de ce que racontaient les bergers» (Lc 2,19). «Ton sauveur est déjà là», nous dit aussi le prophète, et cela nous remplit de joie et de paix. Mes frères bien-aimés, voilà ce qui manque à beaucoup de chrétiens aujourd'hui: parler de Lui avec joie, avec paix et conviction; chacun en fonction de sa vocation, c'est-à-dire du dessein éternel que Dieu a “pour moi”. Et cela ne sera possible que si, au préalable, nous sommes convaincus de notre identité: laïques, religieux et prêtres. Tous, nous faisons partie du “peuple saint” dont nous parle le prophète Isaïe. Ce fut le dessein de Dieu que les bergers accourussent adorer l'Enfant Jésus.

Tous nous sommes bergers. Tous, nous devons être pauvres et humbles, les derniers…. En contemplant la crèche de notre maison, avec ses bergers en plastique ou en terre cuite, nous voyons une image de l'Église, que le prophète décrit dans la première lecture comme “la cité qui n'est pas abandonnée” et comme “celle qui a un amoureux” (cf. Is 62,12). En ce Noël, prenons la résolution d'aimer davantage notre Église…, qui n'est pas nôtre mais Sienne, que nous recevons et dont nous faisons partie comme des serviteurs indignes, qui nous est offerte comme un don, comme un cadeau immérité. Notre allégresse de ce Noël doit donc être une profonde et sincère action de grâces.

Abbé Bernat GIMENO i Capín     (Barcelona, Espagne)

http://evangeli.net/evangile

 

 


 


 

Prière

 

Seigneur, aujourd’hui tu entres dans ma solitude, tu viens me montrer le visage de Dieu. Fais que cette fête de Noël soit surtout la fête de ta présence à mes côtés.

 

 

 

Demande

Jésus, permets-moi de vivre ce Noël en prenant exemple sur Marie à Bethléem. Que mon cœur soit rempli du mystère que nous célébrons aujourd’hui : Dieu se fait homme !

 

Réflexion

1. « Au commencement était le Verbe (…) »

Les mots qu’utilisent saint Jean pour « commencement » et « Verbe » sont des mots de la philosophie grecque : « arché » et « logos ». Le « commencement » ou « principe du monde » (arché) était recherché par tous les philosophes. Pour certains c’était l’eau, pour d’autres le feu, pour d’autres les nombres, etc. Quant au logos, cela signifie non seulement le Verbe mais aussi la parole, la pensée, l’intelligence, la sagesse. Saint Jean annonce donc que le principe du monde n’est pas matériel, ni mathématique, mais qu’il est logos, c’est-à-dire intelligent, personnel. Ensuite il témoigne de la grande nouvelle, la Bonne Nouvelle : ce principe de tout s’est fait homme. Jésus est donc depuis toujours le logos de Dieu, c’est-à-dire l’expression de sa sagesse. Jésus est l’expression du Père, le Verbe intérieur du Père. C’est pourquoi Jésus est le principe de tout ce qui existe : lorsque Dieu crée le monde, il le crée selon sa sagesse, selon Jésus, la deuxième personne de la Trinité.

2. « Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous. »

La Sagesse en personne, qui a pensé et voulu l’univers, entre dans le monde et devient homme. Le principe premier de ce monde, son origine et sa fin, ne sont ni les atomes, ni le pouvoir, ni l’évolution, ni un éternel recommencement. Le principe de ce monde est l’amour, le désir de Dieu d’aimer, de nous créer pour ensuite nous rencontrer et s’offrir à nous. C’est ce que nous célébrons aujourd’hui où le créateur devient créature.

3. Parfois à Noël nous sentons une certaine fatigue, voire de la solitude ou de la nostalgie. Ce devrait être le jour le plus beau de l’année et l’on se rend bien compte que tout reste trop passager et inconsistant pour combler les attentes couvées au long des mois. C’est justement là que nous rejoint le message de Jésus à Bethléem, dans le froid et la pauvreté : heureux les pauvres de cœur, ceux dont le vrai bonheur est Dieu, car Dieu est avec eux, l’un d’eux. La Sagesse du monde ne fait pas un grand discours pour nous dire qu’elle nous aime, elle vient à nos côtés. Jésus nous redit aujourd’hui, nu dans sa mangeoire, qu’il est la clé de voûte qui donne sens à la création et à notre existence, qu’il est le seul qui puisse combler la soif de notre cœur.

 

Dialogue avec le Christ

Jésus, aujourd’hui je célèbre ta naissance. Aujourd’hui tu nais de nouveau dans mon cœur. Je crois de tout mon cœur que cet événement historique, auquel aujourd’hui la liturgie me permet mystérieusement d’assister, change ma vie, change le cours de l’histoire. Désormais rien n’est plus comme avant, tu es avec moi, à mes côtés. Dieu est entré dans l’humanité et l’humanité s’introduit, en Jésus, au sein de la Trinité.

 

Résolution

Trouver un moment aujourd’hui pour contempler l’Enfant-Jésus en silence.

 

Frère Melchior Poisson, LC

 

http://www.regnumchristi.fr


 


 

"Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu.

 

Il était au commencement auprès de Dieu. C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui. En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée. Nous contemplons le Verbe qui n’est pas créé, qui existe de toute éternité. ’’Auprès de Dieu,’’ Il est tourné vers Dieu, il se reçoit de Dieu en même temps qu’il se donne à lui. Le Verbe est le maître d’œuvre de la création. Tout a été fait par lui et rien ne subsiste en dehors de lui. Jésus est la ’’Lumière du monde’’ qui brille dans les ténèbres, elles ne l’ont pas arrêtée. C’est la force et la victoire du tout petit Enfant de la crèche qui libére l’humanité. Dieu s’est fait homme pour que l’homme devienne Dieu par participation. Nous sommes dans la contemplation d’un si grand mystère. Dieu se révèle, Il est Amour. Il nous parle par ce Fils, héritier de toutes choses, Reflet resplendissant de son être ! Nous trouvons le bonheur à partir du tout petit enfant de Marie qui transpire la joie et la paix de Dieu. Annoncé sur toute la terre, le ciel est en fête.

 

« Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde. » Il était dans le monde, et le monde était venu par lui à l’existence, mais le monde ne l’a pas reconnu. Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas reçu. Le Verbe est venu dans la chair, le Fils unique est la gloire du Père. Le Verbe, qui existe depuis toujours et par qui tout subsiste, est entré dans l’histoire des hommes. Lui, le Fils unique, il a pris notre chair, et ’’nous avons vu sa gloire, la gloire qu’il tient de son Père.’’ La Parole de Dieu a retenti. A la crèche, les bergers voient Jésus avec Marie et Joseph. Le Secret de Jésus se propage maintenant dans l’Église. Les messagers annoncent la Bonne Nouvelle du Seigneur venu chez les siens. Quelle que soit notre race, notre appartenance sociale, nous pouvons rejoindre l’Enfant-Dieu de Noël. Dieu met son plaisir avec les enfants des hommes, il trouve là son bonheur. Il est au plus intime de notre vie, nous le rejoignions pour vivre par lui, pour nous élever jusqu’à lui. De la Crèche au Crucifiement, Il est déjà offert en Sacrifice d’amour. Celui qui naît dans une mangeoire, devient le Pain de la Vie.

 

Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu, eux qui croient en son nom. Ils ne sont pas nés du sang, ni d’une volonté charnelle, ni d’une volonté d’homme : ils sont nés de Dieu. Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité. En Jésus le Christ, Dieu a livré à l’humanité la plénitude de sa grâce. Le Père s’est fait connaître pour que nous découvrions son visage. La création est saisie et transfigurée par celui qui est à l’origine de tout. Nous reconnaissions en chaque être humain la lumière divine. Qu’ils sont beaux les pieds de ceux qui annoncent la bonne nouvelle, les messagers de paix ! Nous devenons les messagers de Jésus après l’avoir contemplé sur la terre. Dans ce prodigieux mystère, l’humanité et la divinité sont indissolublement unies. Nous parlons de Dieu avec le langage même de Dieu. A tous ceux qui l’ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfant de Dieu.

 

Nous demandons à Marie la grâce de cheminer avec nous et de nous donner de renaitre en Jésus.

Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org


 


 

 

« Il leur a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu »

 

Dieu sur terre, Dieu parmi les hommes ! Cette fois il ne promulgue pas sa Loi au milieu des éclairs, au son de la trompette, sur la montagne fumante, dans l'obscurité d'un orage terrifiant (Ex 19,16s), mais il s'entretient d'une façon douce et paisible, dans un corps humain, avec ses frères de race. Dieu dans la chair !... Comment la divinité peut-elle habiter la chair ? Comme le feu habite le fer, non pas en quittant le lieu où il brûle, mais en se communiquant. En effet, le feu ne se jette pas sur le fer, mais en demeurant à sa place, il lui communique sa puissance. En cela il n'est nullement diminué, mais il remplit entièrement le fer auquel il se communique. De la même manière, Dieu, le Verbe, qui « a habité parmi nous », n'est pas sorti de lui-même. « Le Verbe qui s'est fait chair » n'a pas été soumis au changement ; le ciel n'a pas été dépouillé de celui qu'il contenait, et pourtant la terre a accueilli dans son sein celui qui est dans les cieux.
      Pénètre-toi de ce mystère : Dieu est dans la chair afin de tuer la mort qui s'y cache... « Quand la grâce de Dieu s'est manifestée pour notre salut » (Tt 2,11), quand « s'est levé le Soleil de justice » (Ml 3,20), « la mort a été engloutie dans la victoire » (1Co 15,54) parce qu'elle ne pouvait pas coexister avec la vie véritable. Ô profondeur de la bonté et de l'amour de Dieu pour les hommes ! Rendons gloire avec les bergers, dansons avec les chœurs des anges, car « aujourd'hui est né un Sauveur qui est le Messie, le Seigneur » (Lc 2,11-12).
      « Dieu, le Seigneur, nous illumine » (Ps 117,27), non sous son aspect de Dieu, pour ne pas épouvanter notre faiblesse, mais sous son aspect de serviteur, afin de conférer la liberté à ceux qui étaient condamnés à la servitude. Qui aurait le cœur assez endormi et assez indifférent pour ne pas se réjouir, exulter d'allégresse, rayonner de joie devant cet évènement ? C'est une fête commune à toute la création. Tous doivent y contribuer, nul ne doit se montrer ingrat. Nous aussi, élevons la voix pour chanter notre allégresse !

Saint Basile (v. 330-379), moine et évêque de Césarée en Cappadoce, docteur de l'Église
Homélie sur la sainte génération du Christ,

 

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Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.

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