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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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5 mars 2016

La revue de la presse catholique d’Afrique de Radio Vaticana

La revue de la presse catholique d’Afrique, Dimanche 06 Mars 2016

Pour la revue de la presse catholique africaine de ce dimanche, nous irons en premier lieu à Madagascar. Les Evêques viennent d’y publier une lettre pastorale engageant les fidèles à aborder la nouvelle évangélisation « avec enthousiasme ». Dans les colonnes du journal LA CROIX DE MADAGASCAR, ils écrivent : «  Nous, à Madagascar dans la plupart des régions surtout dans certaines provinces nous en sommes encore au stade de la première évangélisation, pour ne pas dire de la pré-évangélisation (par exemple dans le diocèse de Port Berger il n’y a que 2% de chrétiens et la dévotion de la majeure partie de la population est encore à la religion traditionnelle). C’est pour cela que la Conférence Episcopale faisant suite au Synode sur la Nouvelle Evangélisation a créé [une] nouvelle Commission Episcopale. …Nous sommes tous appelés et envoyés pour annoncer la joie de l’Evangile dans notre quotidien ».

Dans SENEGLISE, on apprend que la paroisse Saint-Esprit de Diohine, à Dakar, organise ses 31e Journées Mondiales de la Jeunesse, le 13 mars sous le thème : « Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde ». « L’un des grands moments de ces JMJ qui se déroulent dans le contexte de l’Année de la Miséricorde est la campagne de reboisement dans le village de Diohine, sous la conduite de Son Excellence Mgr Benjamin Ndiaye, Archevêque de Dakar », précise le portail de l’archidiocèse de Dakar.

Terminons par l’Afrique Centrale : dans LA SEMAINE AFRICAINE, journal de l’Eglise paraissant à Brazzaville, au Congo, Aybienevie N’Kouka-Koudissa écrit que « le jeudi 25 février 2016, Mgr Anatole Milandou, archevêque de Brazzaville, a posé la première pierre des travaux de l’hôpital diocésain à Sangolo. L’hôpital qui sera construit comprendra une maternité… Le personnel médical et paramédical … sera composé de Congolais… Il est prévu également la possibilité de collaboration d’un personnel médical européen ».

Enfin, en République démocratique du Congo, le portail de la Conférence épiscopale, CENCO, nous apprend que le président de la Conférence épiscopale, Mgr Nicolas Djomo Lola, a procédé « jeudi 03 mars 2016, à la bénédiction d’une paillote dédiée à Son Eminence Laurent Cardinal Monsengwo…Une façon pour l’Eglise-Famille de Dieu en RD Congo de montrer sa reconnaissance à l’égard du cardinal et de tout ce qu’il a fait pour elle ».

A la semaine prochaine !

(Tratto dall'archivio della Radio Vaticana)
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5 mars 2016

Evangile au quotidien du Sam 05 Mars

 

l'EVANGILE AU QUOTIDIEN

« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68


samedi 05 mars 2016

Le samedi de la 3e semaine de Carême


Saint(s) du jour : St Giovanni Giuseppe della Croce, prêtre o.f.m. († 1734), St Gérasime, l’anachorète du Jourdain († 475)

Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici
Saint Jean Climaque : « Prends pitié de moi pécheur »

Livre d'Osée 6,1-6.

Venez, retournons vers le Seigneur !  Il a blessé, mais il nous guérira ; il a frappé, mais il nous soignera.
Après deux jours, il nous rendra la vie ; il nous relèvera le troisième jour : alors, nous vivrons devant sa face.
Efforçons-nous de connaître le Seigneur : son lever est aussi sûr que l’aurore ; il nous viendra comme la pluie, l’ondée qui arrose la terre.
– Que ferai-je de toi, Éphraïm ? Que ferai-je de toi, Juda ? Votre fidélité, une brume du matin, une rosée d’aurore qui s’en va.
Voilà pourquoi j’ai frappé par mes prophètes, donné la mort par les paroles de ma bouche : mon jugement jaillit comme la lumière.
Je veux la fidélité, non le sacrifice, la connaissance de Dieu plus que les holocaustes.


Psaume 51(50),3-4.18-19.20-21ab.

Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.

Si j'offre un sacrifice, tu n'en veux pas,
tu n'acceptes pas d'holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c'est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.

Accorde à Sion le bonheur,
relève les murs de Jérusalem.
Alors tu accepteras de justes sacrifices,
oblations et holocaustes sur ton autel.

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 18,9-14.

En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici :
« Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts).
Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : “Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –, ou encore comme ce publicain.
Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne.”
Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !”
Je vous le déclare : quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé. »

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

Commentaire du jour :

Saint Jean Climaque (v. 575-v. 650), moine au Mont Sinaï
L'Échelle sainte, ch. 28 (trad. Petite Philocalie, Seuil 1979, p. 91 rev)

« Prends pitié de moi pécheur »

Que votre prière soit toute simple ; une seule parole a suffi au publicain et à l'enfant prodigue pour obtenir le pardon de Dieu (Lc 15,21)... Point de recherche dans les paroles de votre prière ; que de fois les bégaiements simples et monotones des enfants fléchissent leur père ! Ne vous lancez donc pas dans de longs discours afin de ne pas dissiper votre esprit par la recherche des paroles. Une seule parole du publicain a ému la miséricorde de Dieu ; un seul mot plein de foi a sauvé le bon larron (Lc 23,42). La prolixité dans la prière souvent emplit l'esprit d'images et le dissipe tandis que souvent une seule parole a pour effet de le recueillir. Vous sentez-vous consolé, saisi par une parole de la prière ? Arrêtez-vous-y, car c'est que notre ange alors prie avec nous. Pas trop d'assurance, même si vous avez obtenu la pureté, mais plutôt une grande humilité, et vous sentirez alors une plus grande confiance. Même si vous avez gravi l'échelle de la perfection, priez pour demander le pardon de vos péchés ; écoutez ce cri de saint Paul : « Je suis un pécheur, moi le premier » (1Tm 1,15)... Si vous êtes revêtu de douceur et libre de toute colère, il ne vous en coûtera plus beaucoup pour libérer votre esprit de la captivité.

Tant que nous n'aurons pas obtenu la prière véritable, nous ressemblerons à ceux qui apprennent aux enfants à faire leurs premiers pas. Travaillez à élever votre pensée ou mieux à la contenir dans les paroles de votre prière ; si la faiblesse de l'enfance la fait tomber, relevez-la. Car l'esprit est instable de nature mais Celui qui peut tout affermir peut fixer aussi l'esprit... Le premier degré de la prière consiste donc à chasser par une parole simple les suggestions de l'esprit au moment même où elles se présentent. Le second, c'est de garder notre pensée uniquement à ce que nous disons et que nous pensons. Le troisième, c'est la saisie de l'âme dans le Seigneur.








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L'Evangile au Quotidien,
4 Quai KOCH - 67000 STRASBOURG - FRANCE
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l'EVANGILE AU QUOTIDIEN

" Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle " Jn 6, 68

http://levangileauquotidien.org

 

5 mars 2016

Les 7 Sacrements

Les sacrements sont des signes visibles du don gratuit de Dieu (la grâce), qui permettent aux hommes de prendre conscience de la présence de Dieu au milieu d´eux. Ce sont des actes d’alliance qui unissent au Christ par l’action de l’Esprit Saint, relient les hommes à Dieu et à leurs frères par le plus intime d’eux-mêmes et incorporent dans l’Eglise.

Tout sacrement comporte trois dimensions :

  • un signe, ce que l´on voit;
  • une parole, ce que l´on entend;
  • un symbole, ce que le signe et la parole expriment.

Le concile Vatican II exprime l’action du Christ dans la célébration des sacrements : « Il est là présent par sa vertu dans les sacrements au point que lorsque quelqu’un baptise, c’est le Christ lui-même qui baptise » (Constitution Sacrosanctum, n° 7). Ainsi le sacrement est un «événement de salut» dans lequel le Christ lui-même agit et nous rejoint dans des situations particulières de notre vie.

En marquant les moments les plus décisifs de la vie humaine, les sept sacrements manifestent que c’est toute notre existence, dans ses différentes étapes, qui est appelée à être vécue avec le Christ :

• Les trois sacrements de l’initiation chrétienne : Baptême, Eucharistie et Confirmation sont trois étapes qui permettent d’entrer dans le mystère du Christ mort et ressuscité et de grandir dans la foi.
• Les sacrements de guérison : Réconciliation et Onction des malades ouvrent un chemin d’espérance.
• Les sacrements de l’engagement : L’Ordre et le Mariage consacrent des cheminements de vie baptismale.

Les sacrements sont une force qui permet d’aimer et de « porter du fruit » dans tous nos lieux de vie. Ils communiquent la vie divine, réalisant notre vocation de fils du Père, frères en Jésus Christ, animés du souffle du même Esprit !

SOURCE: http://www.eglise.catholique.fr

 

4 mars 2016

MEDITATIONS DES TEXTES LITURGIQUES DU JOUR AVEC EAQ


l'EVANGILE AU QUOTIDIEN (EAQ)

« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68


vendredi 04 mars 2016

Le vendredi de la 3e semaine de Carême


Saint(s) du jour : St Gérasime, l’anachorète du Jourdain († 475), Bse Marie-Louise de Lamoignon, fond. (1763-1825)

Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici
Concile Vatican II: « Il n'y a pas de commandement plus grand »

Livre d'Osée 14,2-10.

Ainsi parle le Seigneur : Reviens, Israël, au Seigneur ton Dieu ; car tu t’es effondré par suite de tes fautes. Revenez au Seigneur en lui présentant ces paroles : « Enlève toutes les fautes, et accepte ce qui est bon. Au lieu de taureaux, nous t’offrons en sacrifice les paroles de nos lèvres.
Puisque les Assyriens ne peuvent pas nous sauver, nous ne monterons plus sur des chevaux, et nous ne dirons plus à l’ouvrage de nos mains : “Tu es notre Dieu”, car de toi seul l’orphelin reçoit de la tendresse. »
Voici la réponse du Seigneur : Je les guérirai de leur infidélité, je les aimerai d’un amour gratuit, car ma colère s’est détournée d’Israël. Je serai pour Israël comme la rosée, il fleurira comme le lis, il étendra ses racines comme les arbres du Liban. Ses jeunes pousses vont grandir, sa parure sera comme celle de l’olivier, son parfum, comme celui de la forêt du Liban. Ils reviendront s’asseoir à son ombre, ils feront revivre le froment, ils fleuriront comme la vigne, ils seront renommés comme le vin du Liban.
Éphraïm ! Peux-tu me confondre avec les idoles ? C’est moi qui te réponds et qui te regarde. Je suis comme le cyprès toujours vert, c’est moi qui te donne ton fruit.
Qui donc est assez sage pour comprendre ces choses, assez pénétrant pour les saisir ? Oui, les chemins du Seigneur sont droits : les justes y avancent, mais les pécheurs y trébuchent.


Psaume 81(80),6c-8a.8bc-9.10-11ab.14.17.

J'entends des mots qui m'étaient inconnus :
« J'ai ôté le poids qui chargeait ses épaules ;
ses mains ont déposé le fardeau.
Quand tu criais sous l'oppression, je t'ai sauvé.

« Je répondais, caché dans l'orage,
je t'éprouvais près des eaux de Mériba.
Écoute, je t'adjure, ô mon peuple ;
vas-tu m'écouter, Israël ?

« Tu n'auras pas chez toi d'autres dieux,
tu ne serviras aucun dieu étranger.
C'est moi, le Seigneur ton Dieu,
qui t'ai fait monter de la terre d'Égypte !

« Ah ! Si mon peuple m'écoutait,
Israël, s'il allait sur mes chemins !
Je le nourrirais de la fleur du froment,
je te rassasierais avec le miel du rocher ! »

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 12,28b-34.

En ce temps-là, un scribe s’avança vers Jésus pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements  ? » Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force.


Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. » Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. »
Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osait plus l’interroger.



Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris



Commentaire du jour :

Concile Vatican II
Constitution dogmatique sur l'Eglise dans le monde de ce temps « Gaudium et spes », § 23-24

« Il n'y a pas de commandement plus grand »

      Parmi les principaux aspects du monde d'aujourd'hui, il faut compter la multiplication des relations entre les hommes que les progrès techniques actuels contribuent largement à développer. Toutefois le dialogue fraternel des hommes ne trouve pas son achèvement à ce niveau, mais plus profondément dans la communauté des personnes et celle-ci exige le respect réciproque de leur pleine dignité spirituelle. La révélation chrétienne favorise puissamment l'essor de cette communion des personnes entre elles ; en même temps elle nous conduit à une intelligence plus pénétrante des lois de la vie sociale, que le Créateur a inscrites dans la nature spirituelle et morale de l'homme...

      Dieu, qui veille paternellement sur tous, a voulu que tous les hommes constituent une seule famille et se traitent mutuellement comme des frères. Tous, en effet, ont été créés à l'image de Dieu, « qui a fait habiter sur toute la face de la terre tout le genre humain issu d'un principe unique » (Ac 17,26), et tous sont appelés à une seule et même fin, qui est Dieu lui-même. À cause de cela, l'amour de Dieu et du prochain est le premier et le plus grand commandement. L'Écriture, pour sa part, enseigne que l'amour de Dieu est inséparable de l'amour du prochain : « Tout autre commandement se résume en cette parole : tu aimeras ton prochain comme toi-même... La charité est donc la Loi dans sa plénitude » (Rm 13,9-10 ; cf 1Jn 4,20). Il est bien évident que cela est d'une extrême importance pour des hommes de plus en plus dépendants les uns des autres et dans un monde sans cesse plus unifié.

      Allons plus loin : quand le Seigneur Jésus prie le Père pour que « tous soient un..., comme nous nous sommes un » (Jn 17,21s), il ouvre des perspectives inaccessibles à la raison et il nous suggère qu'il y a une certaine ressemblance entre l'union des Personnes divines et celle des fils de Dieu dans la vérité et dans l'amour. Cette ressemblance montre bien que l'homme, seule créature sur terre que Dieu a voulue pour elle-même, ne peut pleinement se trouver que par le don désintéressé de lui-même.




Source

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L'Evangile au Quotidien,
4 Quai KOCH - 67000 STRASBOURG - FRANCE
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1 mars 2016

LES CINQ ATTAQUES DU DIABLE PENDANT LE CAREME

 

Les cinq attaques du diable pendant le Carême

Vous ressentez plus de tentations que d’habitude ? Normal. Voici la manière d'y résister.

 

« Le Seigneur dit à l’Adversaire : “Soit ! Tu as pouvoir sur tout ce qu’il possède, mais tu ne porteras pas la main sur lui” » (Job 1, 12). J’ai tendance à me sentir comme Job pendant le Carême. J’ai l’impression que Dieu laisse le diable agir à sa guise et ma vie spirituelle devient chaotique ! Jésus a connu la tentation dans le désert, et le Carême est une période désertique. Selon le Catéchisme, « l’Église s’unit chaque année par les quarante jours du Carême au mystère de Jésus dans le désert ». Il est donc logique que nous aussi sentions plus de tentations pendant cette période. Voici certaines des attaques que j’ai réussi à identifier et des moyens utiles pour y faire face.

  1. La tentation de la distraction

La pureté du cœur, c’est de vouloir une chose. — Søren Kierkegaard

Le Carême peut rapidement se transformer en une période de suractivité ou de non-activité. Le diable veut que nous nous perdions dans les pénitences ou alors que nous soyons vite découragés et renoncions. Mais notre priorité pendant le Carême doit être tournée vers Dieu, non vers nos activités, aussi bien intentionnées soient-elles.

  1. La tentation du jugement

"C’est la fierté qui change les anges en diables, c’est l’humilité qui change les hommes en anges".  — Saint Augustin

Si nous sommes par nature plus disciplinés, plus déterminés que notre entourage, la tentation est grande de passer le Carême à nous auto-congratuler et à dresser des comparaisons flatteuses. Le diable veut précisément que nous pensions que nous sommes meilleurs que les autres. Le meilleur antidote est de choisir une pénitence qui soit impossible à réaliser parfaitement et qui contrecarre notre tendance à la fierté.

  1. La tentation de l’amélioration personnelle

Très rapidement, le Carême peut devenir une façon de perdre du poids ou d’abandonner une habitude gênante, et non plus de nous rapprocher de Dieu. Mais ce n’est pas le sens du Carême. Nous sommes d’ordinaire doués pour nous aimer nous-mêmes, et mauvais pour aimer les autres. C’est pourquoi il est important de choisir des pénitences qui nous aident à grandir dans l’amour altruiste.

  1. La tentation de la division

"D’où vient la division ? Du diable ! La division est l’œuvre du diable!  Fuyez les luttes internes !"— Le pape François

Le Diable veut que nous regardions les autres chrétiens comme des ennemis au lieu de comprendre que le seul ennemi entre nous est le diable. Pendant le Carême, il peut essayer d’attiser les divisions entre les chrétiens, dans nos maisons, nos paroisses, et même sur Internet. La bonne question à se poser quand on lit un texte est : « M’aide-t-il à aimer davantage les chrétiens ou mène-t-il à la division ? ».

  1. La tentation du découragement

Les tentations, les chagrins, les inquiétudes sont des marchandises offertes par l’ennemi. – St. Padre Pio

Le diable sait que quand nous sommes découragés, la grâce de Dieu nous atteint moins. C’est en réalité l’occasion de remercier Dieu de nous avoir sauvés de notre médiocrité et de nos péchés. Celui qui croit véritablement au message de l’Évangile ne peut se perdre dans le découragement.

Source: http://fr.aleteia.org

Si vous avez d’autres idées tirées de votre expérience personnelle, des Écritures ou des Saints, n’hésitez pas à les partager dans les commentaires.

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