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1 août 2016

Evangile, Saint et Homélie du Lundi 01 août 2016.


Lundi 01 août 2016

Temps liturgique: 18e semaine du temps ordinaire

Saint(s) du jour : St Alfonso Maria de’ Liguori, docteur de l'Église († 1787), St Pierre Favre, Ier prêtre jésuite (1506-1546)



Livre de Jérémie 28,1-17.

Cette année-là, au début du règne de Sédécias, roi de Juda, la quatrième année, au cinquième mois, le prophète Ananie, fils d’Azzour, originaire de Gabaon, me dit dans la maison du Seigneur, en présence des prêtres et de tout le peuple : « Ainsi parle le Seigneur de l’univers, le Dieu d’Israël : J’ai brisé le joug du roi de Babylone ! Dans deux ans, jour pour jour, je ferai revenir en ce lieu tous les objets de la maison du Seigneur que Nabucodonosor, roi de Babylone, a enlevés pour les emporter à Babylone. Je ramènerai ici Jékonias, fils de Joakim, roi de Juda, avec tous les déportés de Juda qui sont partis à Babylone – oracle du Seigneur –, car je vais briser le joug du roi de Babylone ! » Le prophète Jérémie répondit au prophète Ananie en présence des prêtres et de tout le peuple, qui se tenaient dans la maison du Seigneur. Il lui dit : « Amen ! Que le Seigneur agisse ainsi, que le Seigneur accomplisse ta prophétie : qu’il fasse revenir de Babylone les objets de la maison du Seigneur et tous les déportés. Cependant, écoute bien cette parole que je vais te faire entendre, à toi et à tout le peuple : Les prophètes qui nous ont précédés, toi et moi, depuis bien longtemps, ont prophétisé contre de nombreux pays et de grands royaumes la guerre, le malheur et la peste. Le prophète qui annonce la paix n’est reconnu comme prophète vraiment envoyé par le Seigneur, que si sa parole s’accomplit. » Alors le prophète Ananie enleva le joug que le prophète Jérémie s’étais mis sur la nuque, et il le brisa. Et Ananie déclara en présence de tout le peuple : « Ainsi parle le Seigneur : De la même manière, dans deux ans, jour pour jour, je briserai le joug de Nabucodonosor, roi de Babylone, pour en délivrer toutes les nations. » Alors le prophète Jérémie alla son chemin. La parole du Seigneur fut adressée à Jérémie après que le prophète Ananie eut brisé le joug qui était sur sa nuque. « Va dire à Ananie : Ainsi parle le Seigneur : Tu as brisé un joug de bois, mais à sa place tu feras un joug de fer. Car ainsi parle le Seigneur de l’univers, le Dieu d’Israël : C’est un joug de fer que je mets sur la nuque de toutes ces nations, pour qu’elles servent Nabucodonosor, roi de Babylone. Et elles le serviront. Je lui ai donné même les bêtes sauvages. » Le prophète Jérémie dit alors au prophète Ananie : « Écoute bien, Ananie : le Seigneur ne t’a pas envoyé, et toi, tu rassures ce peuple par un mensonge. C’est pourquoi, ainsi parle le Seigneur : Je te renvoie de la surface de la terre ; tu mourras cette année, car c’est la révolte que tu as prêchée contre le Seigneur. » Le prophète Ananie mourut cette même année, au septième mois.

Psaume 119(118),29.43.79-80.95.102.

Détourne-moi de la voie du mensonge,
fais-moi la grâce de ta loi.
N'ôte pas de ma bouche la parole de vérité,
car j'espère tes décisions.

Qu'ils se tournent vers moi, ceux qui te craignent,
ceux qui connaissent tes exigences.
Que j'aie par tes commandements le cœur intègre :
alors je ne serai pas humilié.

Des impies escomptent ma perte :
moi, je réfléchis à tes exigences.
De tes décisions, je ne veux pas m'écarter,
car c'est toi qui m'enseignes.


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 14,13-21.

En ce temps-là, quand Jésus apprit la mort de Jean le Baptiste, il se retira et partit en barque pour un endroit désert, à l’écart. Les foules l’apprirent et, quittant leurs villes, elles suivirent à pied. En débarquant, il vit une grande foule de gens ; il fut saisi de compassion envers eux et guérit leurs malades. Le soir venu, les disciples s’approchèrent et lui dirent : « L’endroit est désert et l’heure est déjà avancée. Renvoie donc la foule : qu’ils aillent dans les villages s’acheter de la nourriture ! »
Mais Jésus leur dit : « Ils n’ont pas besoin de s’en aller. Donnez-leur vous-mêmes à manger. » Alors ils lui disent : « Nous n’avons là que cinq pains et deux poissons. »
Jésus dit : « Apportez-les moi. » Puis, ordonnant à la foule de s’asseoir sur l’herbe, il prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux au ciel, il prononça la bénédiction ; il rompit les pains, il les donna aux disciples, et les disciples les donnèrent à la foule. Ils mangèrent tous et ils furent rassasiés. On ramassa les morceaux qui restaient : cela faisait douze paniers pleins. Ceux qui avaient mangé étaient environ cinq mille, sans compter les femmes et les enfants.


Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés.


Homélie ou Méditation du jour


Abbé Xavier ROMERO i Galdeano (Cervera, Lleida, Espagne)

«Levant les yeux au ciel…»

Aujourd'hui, l'Évangile touche nos "poches intellectuelles"… Pour cela, comme à l'époque de Jésus, les prudents peuvent élever leur voix pour considérer si cette question vaut la peine. Les disciples, en voyant qu'il se faisait tard et qu'ils ne pouvaient pas s'occuper de la quantité de gens qui entouraient Jésus, trouvent le moyen de s'en tirer à merveille: «Qu'ils aillent dans les villages s'acheter à manger!» (Mt 14,15). Ils ne s'attendaient pas à ce que leur Maître et Seigneur démolisse leur raisonnement tellement prudent en leur disant: «Donnez-leur vous-mêmes à manger» (Mt 14,16).

On dit que: «Qui ne compte pas sur Dieu, ne sait pas compter». Et c'est vrai, les disciples ne savaient pas compter —et nous non plus— car souvent dans nos additions nous oublions le chiffre le plus important: Dieu même parmi nous.

Les disciples ont bien fait leurs comptes, ils ont compté correctement le nombre de pains et de poissons, mais au moment de les diviser mentalement entre une telle quantité de gens le résultat était toujours zéro, et donc ils ont opté pour le réalisme prudent: «Nous n'avons là que cinq pains et deux poissons» (Mt 14,17). Ils n'ont pas réalisé qu'ils avaient Jésus —vrai Dieu et vrai Homme— parmi eux!

En paraphrasant Saint Josemaría, ce serait bien de nous rappeler que: «Dans les entreprises d'apostolat il est bon —c'est un devoir— de tenir compte de tes moyens terrestres (2 + 2 = 4), mais n'oublie jamais que tu dois heureusement compter sur un autre terme de l'addition: Dieu + 2 + 2...». L'optimisme chrétien n'est pas fondé sur l'absence de difficultés, des résistances et des erreurs personnelles, mais en Dieu qui nous dit: «Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde» (Mt 28,20).

Ce serait bien que nous, toi et moi face aux difficultés, et avant de déclarer la mort de l'audace et de l'optimisme de l'esprit chrétien, nous prenions Dieu en compte. Que nous puissions dire avec saint François cette merveilleuse prière: «Là où est la haine, que je mette l'amour», c'est à dire là où le compte n'est pas bon, il faut compter sur Dieu.


 

Homélies du Père Gilbert Adam

Quand Jésus apprit cela, il se retira et partit en barque pour un endroit désert, à l’écart. Les foules l’apprirent et, quittant leurs villes, elles suivirent à pied. En débarquant, il vit une grande foule de gens ; il fut saisi de compassion envers eux et guérit leurs malades.

Le soir venu, les disciples s’approchèrent et lui dirent : « L’endroit est désert et l’heure est déjà avancée. Renvoie donc la foule : qu’ils aillent dans les villages s’acheter de la nourriture ! » Mais Jésus leur dit : « Ils n’ont pas besoin de s’en aller. Donnez-leur vous-mêmes à manger. » Le miracle des pains de Jésus pour une grande foule, dans un lieu désert, avait une portée extraordinaire. Il rappelait le don de la manne au désert, la providence inlassable de Dieu pour son peuple. Le miracle de Jésus était pour susciter la foi. Jésus parlait en plein air, ses guérisons attiraient les foules, le jour commençait à baisser. Les Douze vinrent lui dire : Renvoie la foule, pour qu’elle aille se loger et trouver du ravitaillement dans les villages des environs ; Nous ne pouvons pas répondre à la foule qui nous est confiée par les moyens humain que nous possédons. Jésus se tient au milieu d’une multitude qui a faim, il l’accueille, il lui parle, il se préoccupe de chacun, lui montre la miséricorde de Dieu. Déjà, Jésus annonce le mystère de l’Eucharistie. Aujourd’hui encore, Jésus veut changer nos perceptives, il nous demande de regarder vers notre Père des cieux. Jésus veut transformer notre humanité pour qu’elle ne s’appuie pas sur elle-même, mais qu’elle compte avec la providence de Dieu qui est toujours à l’œuvre.

Alors ils lui disent : « Nous n’avons là que cinq pains et deux poissons. » Jésus dit : « Apportez-les moi. » Puis, ordonnant à la foule de s’asseoir sur l’herbe, il prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux au ciel, il prononça la bénédiction ; il rompit les pains, il les donna aux disciples, et les disciples les donnèrent à la foule. Jésus veut donner un enseignement aux Douze. Au-delà de la faim matérielle des hommes, qu’ils ne devront jamais oublier, Jésus vise une faim plus radicale, qu’il est le seul à pouvoir combler : la faim de la parole de Dieu. Cette parole ouvre l’avenir et met debout ceux qui l’entendent. Mais les Galiléens vont réagir au miracle des pains, ils voudraient enlever Jésus pour le faire roi. Jésus veut être perçu comme l’Envoyé de Dieu, le vrai berger d’Israël, capable, au nom et avec la puissance de Dieu, de rassembler et de nourrir son peuple. Le pain reçu à satiété dans le désert préfigure l’Eucharistie que Jésus donnera à son peuple la veille de sa mort. Les gestes de Jésus lors de la multiplication des pains sont les gestes du chef de famille bénissant le pain à chaque repas, ceux-là mêmes que Jésus refera le soir du Jeudi-Saint : « Jésus prit du pain, le rompit, le bénit et le donna à ses disciples… » Le miracle des pains pointe nos regards vers l’avenir. Nourris par Jésus avec la foule dans le désert, les Apôtres, à leur tour, devront nourrir le peuple de Dieu, avec le pain même de Jésus, le pain de sa Révélation et le Pain vivant de son Corps ressuscité.

Ils mangèrent tous et ils furent rassasiés. On ramassa les morceaux qui restaient : cela faisait douze paniers pleins. Ceux qui avaient mangé étaient environ cinq mille, sans compter les femmes et les enfants. Aussitôt Jésus obligea les disciples à monter dans la barque et à le précéder sur l’autre rive, pendant qu’il renverrait les foules. Si nous savons mettre à la disposition de Dieu ce que nous avons, nos pauvres capacités, notre vie sera féconde, elle portera du fruit. Dieu se fait proche de nous, par le sacrifice de la Croix il s’abaissera plus encore, en entrant dans l’obscurité de la mort, pour nous donner sa vie. Dans l’Eucharistie, Jésus nous fait parcourir la route du service, du partage, du don, et le peu que nous avons devient richesse. La puissance de Dieu, qui est celle de l’amour, descend dans notre pauvreté pour la transformer. Dans les douze corbeilles pleines qui restent, nous entendons les douze tribus d’Israël qui avaient été rassasiées. Si chacun met en commun ce qu’il a, nous avons ensemble de quoi avancer, avec Jésus qui prend sur lui tous nos soucis. Le peuple de Dieu tout entier a trouvé la joie auprès de Jésus. Chaque jour l’Eucharistie tourne nos yeux vers le passé, vers le moment de la mort glorifiante de Jésus, cette Heure où, une fois pour toutes, Jésus est passé de ce monde au Père. C’est en même temps la communion des frères et des sœurs, l’action de grâces ou nous anticipons le moment où Jésus viendra de nouveau, pour nous prendre tous avec lui dans sa gloire.

 Nous demandons la grâce de toujours nous appuyer sur Jésus seul, le Sauveur du monde. Père Gilbert Adam, 2016. http://www.pere-gilbert-adam.org


 

Méditation d'Un père légionnaire du Christ

 

Prière d'introduction

 

Seigneur Jésus, je m’approche humblement pour chercher ta lumière et ta grâce. Je te remercie pour ma vie et pour ce temps de prière. Aide-moi aujourd’hui à me plonger dans la richesse de ton cœur. Rends mon cœur plus semblable au tien.

 

Demande

 

Seigneur, aide-moi à te faire profondément confiance car tu feras mûrir en ma vie le fruit que tu désires. Aide-moi à collaborer effectivement avec ta grâce.

 

Points de réflexion

 

1. Jésus éprouve de la compassion pour la foule. Quand on reçoit la nouvelle du décès d’un ami proche ou d’un membre de la famille, aucune parole, réellement, ne peut soulager la peine du deuil. On veut souvent être seul, sans être dérangé. C’est ce que Jésus a dû ressentir en apprenant la mort de son cousin et précurseur, Jean Baptiste, exécuté par Hérode le tyran. Jésus cherche un endroit désert. Quelles sont les pensées du Christ ? Peut-être est-il reconnaissant à la fidélité de Jean dans sa mission de préparation du chemin du Christ ? Il ressent certainement la perte de son cousin et ami. Le meurtre de Jean Baptiste le frappe au plus près ; il annonce son rejet imminent et sa crucifixion. A des moments pareils de notre vie nous pouvons nous refermer sur nous-mêmes. Voyez donc ce que le texte de l’Évangile rapporte lorsque Jésus aperçoit la foule qui attend le ‘faiseur de miracles’. La foule n’a aucune idée de ce qui se passe dans le cœur de Jésus. Ils ne veulent qu’une chose : être guéris de leurs maladies. Le cœur de Jésus est ému de pitié pour eux. Quelle belle vision de la noblesse du cœur de Jésus ! Au lieu d’éviter la foule à cause de son chagrin, il se remet immédiatement à guérir et à chasser les démons.

2. Aller au-delà du devoir. Les disciples, comme nous, réagissent différemment. A la fin d’une journée entière de guérisons, ils sont évidemment fatigués et ils voient que Jésus aussi. Ils savent que les gens doivent avoir faim. Ils demandent à Jésus de renvoyer la foule pour manger. Les disciples sont « raisonnables ». Mais le cœur de Jésus va au-delà de « l’appel du devoir » et il demande à ses disciples de collaborer à son amour : « Donnez-leur quelque chose à manger, vous-mêmes. » La charité chrétienne n’a pas de limite. L’amour du cœur du Christ n’a pas de limite. Cet amour ne cherche pas seulement à guérir et chasser les démons mais aussi à nourrir et fortifier. Il ne guérit pas seulement par le pardon - grâce au sacrement de réconciliation - mais aussi nourrit et fortifie par le sacrement de l’Eucharistie. Cet amour a gagné la rédemption pour nous il y a deux mille ans et reste avec nous dans et par son Église. Remercions Jésus pour son grand amour et voyons comment nous pouvons aimer plus, comme lui.

3. Le miracle de Jésus. Jésus multiplie les pains et les poissons. Ce que les disciples considèrent comme dérisoire par rapport aux besoins de la foule, Jésus le multiplie de façon merveilleuse et surabondante. Jésus désire notre collaboration. Il multipliera tout effort que nous ferons en son nom. Que me demande le Seigneur ? Probablement, il ne me demande pas de quoi nourrir une foule nombreuse. Quel est ce peu de ‘pain’ que je peux donner ? Peut-être est-ce d’inviter un collègue ou ami à venir à l’Église avec moi, de me rapprocher d’un chrétien rebelle, me mettant à son niveau, en l’encourageant à considérer la sagesse des enseignements de l’Église. Si je pense que c’est au-delà du devoir, que je réfléchisse au cœur du Christ. Si je pense que c’est insuffisant pour le besoin, que je me rappelle la puissance du Christ. Jésus multipliera nos pauvres efforts si nous faisons de notre mieux avec le ‘peu de pain’ que nous avons.

 

Dialogue avec le Christ

 

Seigneur Jésus, je te donne dès à présent mes cinq pains et mes deux poissons. Tu connais les besoins de mon âme et les besoins des âmes dont tu m’as chargé. Tu sais qu’il m’est difficile de dépasser mon peu de foi. Mais je me confie en ta bonté, en ta miséricorde et en ta puissance. Multiplie les pauvres efforts que je fais en ton nom. Je demande aussi à Marie notre Mère d’intercéder pour cette intention.

 

Résolution

 

Je ferai un acte de foi concret aujourd’hui en offrant ce que Jésus me demande pour quelqu’un de mon entourage. Regnum Christi, 2016 (http://www.regnumchristi.fr)


 

Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Sœurs Missionnaires de la Charité . No Greater Love (trad. Il n'y a pas de plus grand amour, Lattès 1997, p. 92)

« Il rompit les pains, il les donna aux disciples, et les disciples les donnèrent à la foule »

Simplicité de notre vie contemplative : elle nous fait voir le visage de Dieu en chaque chose, en chaque être, partout et toujours ! Et sa main, présente en chaque événement nous fait tout accomplir — la méditation et l'étude, le travail et l'échange, manger et dormir — en Jésus, avec Jésus, pour Jésus et à l'égard de Jésus sous le regard aimant du Père, alors que nous restons toujours disposés à le recevoir sous quelque forme qu'il revête.

Je suis subjuguée par le fait que, avant de commenter la Parole de Dieu, avant d'annoncer aux foules les Béatitudes, Jésus, prenant celles-ci en compassion, les a guéries et nourries. Et après seulement, il a commencé à leur livrer son enseignement.

Aime Jésus généreusement, aime-le avec confiance, sans regarder derrière toi, et sans appréhension. Donne-toi entièrement à Jésus. Il te prendra comme instrument pour accomplir des merveilles à la condition que tu sois infiniment plus conscient de son amour que de ta faiblesse. Crois en lui, remets-toi entre ses mains dans un élan de confiance aveugle et absolue, car il est Jésus. Crois que Jésus, et Jésus seul, est la vie ; sache que la sainteté n'est rien d'autre que ce même Jésus vivant intimement en toi ; alors il sera libre du geste de sa main sur toi. L'Evangile au Quotidien (Evangelizo.org 2001-2016).


 

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© Secrétariat Chorale-CSFA 2016

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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