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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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1 novembre 2016

Evangile et Homélie du Mardi 01 Nov 2016. Moi Jean, j’ai vu une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, de toutes nations..


Mardi 01 novembre 2016

Saint(s) du jour : St Nuño Alvarès Pereira, frère o.c. (1360-1431), Bx Théodore Gyrgy Romža, évêque et martyr (1911-1947)


Livre de l'Apocalypse 7,2-4.9-14.

Moi, Jean,
    j’ai vu un ange
qui montait du côté où le soleil se lève,
avec le sceau qui imprime la marque du Dieu vivant ;
d’une voix forte, il cria aux quatre anges
qui avaient reçu le pouvoir de faire du mal à la terre et à la mer :
    « Ne faites pas de mal à la terre,
ni à la mer, ni aux arbres,
avant que nous ayons marqué du sceau
le front des serviteurs de notre Dieu. »
    Et j’entendis le nombre de ceux qui étaient marqués du sceau :
ils étaient cent quarante-quatre mille,
de toutes les tribus des fils d’Israël.


    Après cela, j’ai vu :
et voici une foule immense,
que nul ne pouvait dénombrer,
une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues.
Ils se tenaient debout devant le Trône et devant l’Agneau,
vêtus de robes blanches, avec des palmes à la main.
    Et ils s’écriaient d’une voix forte :
« Le salut appartient à notre Dieu
qui siège sur le Trône
et à l’Agneau ! »
    Tous les anges se tenaient debout autour du Trône,
autour des Anciens et des quatre Vivants ;
se jetant devant le Trône, face contre terre,
ils se prosternèrent devant Dieu.
    Et ils disaient :
« Amen !
Louange, gloire, sagesse et action de grâce,
honneur, puissance et force
à notre Dieu, pour les siècles des siècles ! Amen ! »
    L’un des Anciens prit alors la parole et me dit :
« Ces gens vêtus de robes blanches,
qui sont-ils, et d’où viennent-ils ? »
    Je lui répondis :
« Mon seigneur, toi, tu le sais. »
Il me dit :
« Ceux-là viennent de la grande épreuve ;
ils ont lavé leurs robes,
ils les ont blanchies par le sang de l’Agneau. »


Psaume 24(23),1-2.3-4ab.5-6.

Au Seigneur, le monde et sa richesse,
la terre et tous ses habitants !
C'est lui qui l'a fondée sur les mers
et la garde inébranlable sur les flots.

Qui peut gravir la montagne du Seigneur
et se tenir dans le lieu saint ?
L'homme au cœur pur, aux mains innocentes,
qui ne livre pas son âme aux idoles.

Il obtient, du Seigneur, la bénédiction,
et de Dieu son Sauveur, la justice.
Voici le peuple de ceux qui le cherchent !
Voici Jacob qui recherche ta face !

Première lettre de saint Jean 3,1-3.

Bien-aimés,
    voyez quel grand amour nous a donné le Père
pour que nous soyons appelés enfants de Dieu
– et nous le sommes.
Voici pourquoi le monde ne nous connaît pas :
c’est qu’il n’a pas connu Dieu.
    Bien-aimés,
dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu,
mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté.
Nous le savons : quand cela sera manifesté,
nous lui serons semblables
car nous le verrons tel qu’il est.
    Et quiconque met en lui une telle espérance
se rend pur comme lui-même est pur.


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 5,1-12a.

En ce temps-là,
    voyant les foules, Jésus gravit la montagne.
Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui.
    Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait.
Il disait :
    « Heureux les pauvres de cœur,
car le royaume des Cieux est à eux.
    Heureux ceux qui pleurent,
car ils seront consolés.
    Heureux les doux,
car ils recevront la terre en héritage.
    Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice,
car ils seront rassasiés.
    Heureux les miséricordieux,
car ils obtiendront miséricorde.
    Heureux les cœurs purs,
car ils verront Dieu.
    Heureux les artisans de paix,
car ils seront appelés fils de Dieu.
    Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice,
car le royaume des Cieux est à eux.
    Heureux êtes-vous si l’on vous insulte,
si l’on vous persécute
et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous,
à cause de moi.
    Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse,
car votre récompense est grande dans les cieux ! »

– Acclamons la Parole de Dieu.


 Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés.

 


 Homélie ou Méditation du jour

  Homélies d'evangeli.net

 «Réjouissez-vous, soyez dans l'allégresse»

Aujourd'hui, nous célébrons la réalité d'un très consolant mystère salvifique exprimé dans le "credo": «Je crois à la communion des saints». Tous les saints qui, depuis la Vierge Marie, sont déjà passés à la vie éternelle, forment une unité: ils sont l'Église des bienheureux, que Jésus félicite: «Heureux les cœurs purs: ils verront Dieu!» (Mt 5,8). Ils sont aussi en communion avec nous. La foi et l'espérance ne peuvent nous unir car ils jouissent déjà de la vision éternelle de Dieu; mais ce qui nous rassemble, c'est l'amour «qui ne passe jamais» (1Co 13,13); cet amour qui, avec eux, nous unit au Père, au Christ Rédempteur et au Saint Esprit. Cet amour les rend solidaires et attentifs à nous. Nous ne vénérons donc pas les saints seulement pour leur exemple, mais surtout pour l'unité dans l'Esprit de toute l'Église, qui se fortifie par la pratique de l'amour fraternel.

Cette profonde unité doit nous faire sentir proches de tous les saints qui, avant nous, ont cru et espéré cela même que nous croyons et espérons et qui, surtout, ont aimé Dieu le Père et leur frère les hommes en tâchant d'imiter l'amour du Christ.

Les saints apôtres, les saints martyrs, les saints confesseurs qui ont existé tout au long de l'histoire sont donc nos frères et nos intercesseurs; en eux se sont accomplis les paroles prophétiques de Jésus: «Heureux serez-vous si l'on vous insulte, si l'on vous persécute et si l'on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. Réjouissez-vous, soyez dans l'allégresse, car votre récompense sera grande dans les cieux!» (Mt 5,11-12). Les trésors de leur sainteté sont des biens de famille, sur lesquels nous pouvons compter. Ce sont les trésors du ciel que Jésus nous invite à réunir (cf. Mt 6,20). Comme l'affirme le Concile Vatican II, «leur fraternelle sollicitude aide donc beaucoup notre faiblesse» (Lumen gentium, 49). Cette solennité nous apporte une réconfortante nouvelle, qui nous invite à la joie et à la fête.

Mgr. F. Xavier CIURANETA i Aymí Evêque Emérite (Lleida, Espagne)

http://evangeli.net/evangile


Homélie du Père Philippe

Ne cherchons pas la sainteté en haut des cieux ou au-delà des mers (Dt 30,12-13) ; elle est là, dans notre bouche et dans notre cœur. Elle est en nous. Non pas en image, en figure, en devenir, mais en personne (Rm 8,16). Il y a en nous Quelqu’un et c’est un Saint. Plus intime à nous-mêmes que nous. Et quel Saint ! L’Esprit Saint. L’ami de nos âmes.

Nous en sommes oints comme d’une huile pénétrante. Nous en sommes marqués comme d’un sceau indélébile (Ep 1,13). Nous en sommes pénétrés comme d’une présence vivante. Nous voici littéralement habités par cette sainteté divine et devenus par là le Temple de sa Présence : car ce Temple est sacré et ce Temple, c’est nous (1 Co 3,16-17). Qu’au jour le jour et au-dedans de nous, dans notre être tout entier, corps, âme, cœur et esprit, le Saint-Esprit nous sanctifie !  Il y a tant de saints, issus de notre terre et aujourd’hui vivant au plus haut des cieux, que nous pouvons dire qu’au milieu d’eux, il y a une place pour quelqu’un comme nous ! Regardons à tous les âges, dans toutes les situations, dans toutes les professions, à toutes les époques, avec les cultures, les tempéraments, les caractères, les cheminements les plus variés. Dieu, finalement, les a tous sanctifiés.

Oui, dans le plus ordinaire de la vie de chaque jour, brille, invisiblement, l’âme de toute une foule de saintes et de saints dont Dieu seul connaît la lumière. C’est vers ces dévouements obscurs, ces vies droites dont les noms ne seront jamais cités et qui sont parfois de plus grands saints que ceux que l’on honore, que l’Église oriente aujourd’hui nos regards.  Ils composent cette foule immense d’anonymes qu’au jour le jour et par myriades, la ville, la campagne, la famille, le cloître, la paroisse, la rue, le bureau, le magasin, l’université, l’école, l’atelier, les marmites et les ordinateurs, la science, la foi, l’humilité et, par dessus tout, l’amour, de jour et de nuit, partout ont sanctifiés !

Où que nous puissions nous situer, nous ne pouvons pas nous en dire dispensés. Il y a une place pour nous dans ce champ où la main de Dieu nous a semés (1 Co 3,9). Oui, pour moi qui suis baptisé au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, une route est tracée où je puis si je veux, réellement cheminer. Et c’est une route conduisant à la sainteté.

Qu’il me soit fait Seigneur, selon ta sainte volonté !

Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org


Meditations RC

Prière d'introduction

Seigneur, je crois que c’est toi qui es le Saint des saints. Les saints le sont devenus parce qu’ils t’ont connu, parce qu’ils ont essayé de faire ce que tu nous as enseigné. Je veux moi aussi venir à ton école, Jésus.

Demande

Mieux connaître et vivre les béatitudes.

Points de réflexion

1. Tous les saints, que nous fêtons aujourd’hui, c'est-à-dire toutes les personnes qui sont déjà au ciel, vivent les béatitudes. Durant leur vie ils ont su être pauvres, être doux, pleurer, avoir faim, être miséricordieux, avoir un cœur pur, etc. Et maintenant ils sont heureux, d’un bonheur complet et qui ne finira jamais. Ces béatitudes, qui pour nous restent toujours un peu mystérieuses, eux les voient se réaliser, ils peuvent maintenant en comprendre tout le sens, toute la vérité.

2. Mais les béatitudes expriment aussi une vérité que nous pouvons expérimenter déjà sur cette terre. Ceux qui sont heureux ne sont pas ceux qui recherchent le plus de richesse, de plaisir et de pouvoir. Ce sont ceux qui savent vivre la sagesse de l’Évangile, et qui ont compris que sans effort, sans sacrifice, il n’y a pas de véritable bonheur possible, tant que nous sommes dans ce monde. C’est l’un des mystères de la condition humaine : à vouloir éviter à tout prix le sacrifice, on se retrouve avec une vie insipide, une vie qui perd son sens. Pour trouver le bonheur, il faut passer par ce qui, en apparence, s’y oppose. Savoir accepter la croix dans notre vie est une condition indispensable pour trouver la paix de l’âme et la véritable joie.

3. Ces béatitudes que saint Matthieu nous rapporte ici sont donc d’une grande aide pour notre vie. Cela vaut la peine de prendre le temps de les lire, l’une après l’autre, lentement, en se demandant si cette béatitude est présente dans ma vie, et sinon, essayer de penser à ce que je peux faire pour la vivre. Si je ne pleure pas, par exemple, ne serait-ce pas que mon cœur est insensible au malheur des autres, et que je doive apprendre à l’ouvrir, à m’intéresser à ce qui arrive à mon prochain ? C’est un véritable guide pour notre vie que nous donne ici Jésus. Il serait dommage de ne pas en profiter.

Dialogue avec le Christ

Seigneur, viens changer mon cœur. Donne-moi un cœur comme le tien. Aide-moi à comprendre que le bonheur ne se trouve pas dans l’égoïsme, mais dans l’amour. L’amour pour toi et pour mon prochain.

Résolution

Prendre l’une des béatitudes et essayer de la vivre.

Père Jean-Marie Fornerod, LC

http://www.regnumchristi.fr


 Homélie du Père Gilbert Adam

 

"Voyant les foules, Jésus monta sur la montagne, il s’assit, et ses disciples vinrent à lui. Puis il prit la parole et se mit à les instruire : Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux !

Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés ! Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu ! Le mot de « pauvre, » a déjà une longue histoire quand Jésus a prononcé les Béatitudes. Avant, le pauvre était l’homme courbé, abaissé, opprimé, incapable de résister et de tenir tête, celui qui devait toujours céder aux puissants. L’accent était mis sur l’humiliation du pauvre qui fait figure d’homme paisible, soumis, mais qui met sa confiance en Dieu et attend de lui son secours. La première béatitude de Jésus s’adresse à tous ceux qui ont un cœur assez pauvre pour se retrouver petit devant Dieu, les mains ouvertes pour recevoir de lui seul la force et l’espérance. Les Béatitudes sont vraiment la perle de l’Évangile, elles sont un portrait de Jésus et nous décrivent ses traits. Jésus nous donne le sens de chacun de ses miracles, de chacune de ses paraboles. Nous voulons les garder en mémoire, au fond de nous. Nous gardons les Béatitudes dans notre cœur, en voyant Jésus agir, en entendant ses paroles, en l’écoutant, nous savons ce que signifie avoir le cœur pur, être pauvre, doux, miséricordieux ou artisan de paix.

"Heureux ceux qui sont persécutés à cause de la justice, car le royaume des cieux est à eux ! Heureux êtes–vous lorsqu’on vous insulte, qu’on vous persécute et qu’on répand faussement sur vous toutes sortes de méchancetés, à cause de moi. Réjouissez–vous et soyez transportés d’allégresse, parce que votre récompense est grande dans les cieux." Heureux ceux qui refusent la volonté de puissance, ceux qui acceptent de combattre sans haïr, ceux qui savent ne pas abuser de leurs forces, ceux qui laissent toujours aux autres un espace où être libres et les moyens de se dépasser. C’est la douceur même du Christ qui pouvait dire : « Chargez-vous de mon joug, et mettez-vous à mon école car je suis doux et humble de cœur. » La fraîcheur de l’Evangile nous apparaît, elle nous amène au réalisme chrétien qui est à base de vérité intérieure et d’accueil filial de ce que Dieu fait, de miséricorde inlassable envers le monde. Les Béatitudes nous emmènent jusqu’à la croix où, dans sa souffrance, Jésus s’adresse avec douceur à sa mère : « Femme, voici ton fils », puis au disciple bien-aimé : « Voilà ta mère. » Jésus ne parle jamais de lui, il explique que la semence, c’est la Parole, et les sols qui la reçoivent correspondent à nos diverses situations humaines ou spirituelles. Il a soif que toute l’humanité sortie du cœur de son Père, soit ramenée vers Dieu. Les béatitudes sont un chemin pour nous faire pénétrer dans l’amour de la Trinité, « je suis le Chemin » dit Jésus.

"Heureux ceux qui sont doux, car ils hériteront la terre ! Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés ! Heureux ceux qui sont compatissants, car ils obtiendront compassion ! Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu" ! Nous jugeons sur des signes extérieurs trompeurs de richesse ou de pauvreté, Dieu, lui regarde le cœur, car on peut être riche avec un cœur de pauvre, et pauvre avec un cœur de riche. Dieu a une tendresse spéciale pour ceux qui manquent de tout. Tout comme une mère garde des trésors de patience et de compréhension pour celui de ses enfants qui est le plus fragile et le plus démuni. Dieu aime tout homme comme il est, dans un monde où les relations sont durcies, et ou nous dressons des barrières. Jésus les détruit, il arrive là ou la haine parasite dans le cœur la justice et la liberté.

Le monde « dominateur, jouisseur, orgueilleux » veut se sauver par lui-même et il fait tourner autour de lui toutes choses. Ce monde est à l’intérieur de chacun de nous et tous les Saints sont sortis vainqueurs de ce combat. Marie nous est donnée, elle est devenue la Reine de tous les Saints. Notre Espérance est de prendre ce chemin de l’ouverture à l’autre, le Chemin de l’Amour en regardant vers Jésus. Notre joie est immense, dans le combat de l’amour nous sommes heureux, car nous pouvons aspirer au Royaume. Heureux, nous marchons à la suite de Jésus et de Marie, nous savons que notre Chemin est sûr. Aujourd’hui nous renouvelons notre espérance dans le Royaume.

 

Nous demandons la Grâce d’entendre ces Paroles de Vie pour prendre le Chemin des Béatitudes, le chemin de l’Amour.

 

 Père Gilbert Adam

 http://www.pere-gilbert-adam.org



Saint Ambroise (v. 340-397), évêque de Milan et docteur de l'Église
Sur le bien de la mort (trad. Cras, Le Chrétien devant la mort, DDB 1980, p. 79 rev.)

« J'ai vu une foule immense..., de toutes nations, races, peuples et langues..., debout devant le trône et devant l'Agneau » (Ap 7,9)

Forts des enseignements [de l'Écriture], marchons sans trembler vers notre rédempteur Jésus, vers l'assemblée des patriarches, partons vers notre père Abraham, lorsque le jour sera venu. Marchons sans trembler vers ce rassemblement de saints, cette assemblée de justes. Nous irons vers nos pères, ceux qui nous ont enseigné la foi ; même si les œuvres nous manquent, que la foi nous aide, défendons notre héritage ! Nous irons aux lieux où Abraham ouvre son sein aux pauvres comme à Lazare (Lc 16,19s) ; là reposent ceux qui ont supporté le rude poids de la vie de ce monde. Maintenant, Père, encore et encore étends tes mains pour accueillir ces pauvres, ouvre tes bras, élargis ton sein pour en accueillir davantage, car très nombreux sont ceux qui ont cru en Dieu...

Nous irons au paradis de joie où Adam, jadis tombé dans une embuscade de brigands, ne pense plus à pleurer ses blessures, où le brigand lui-même jouit de sa part du Royaume céleste (cf Lc 10,30; 23,43). Là où aucun nuage, aucun orage, aucun éclair, aucune tempête de vent, ni ténèbres, ni crépuscule, ni été, ni hiver ne marqueront l'instabilité des temps. Ni froid, ni grêle, ni pluie. Notre pauvre petit soleil, la lune, les étoiles, ne serviront plus à rien ; seule la clarté de Dieu resplendira, car Dieu sera la lumière de tous, cette lumière véritable qui illumine tout homme resplendira pour tous (Ap 21,5 ;Jn 1,9). Nous irons là où le Seigneur Jésus a préparé des demeures pour ses petits serviteurs, pour que là où il est, nous soyons aussi (Jn 14,2-3)...

« Père, ceux que tu m'as donné, je veux que là où je suis, eux aussi soient avec moi, et qu'ils contemplent ma gloire » (Jn 17,24)... Nous te suivons, Seigneur Jésus ; mais pour cela, appelle-nous, car sans toi personne ne monte. Tu es la voie, la vérité, la vie (Jn 14,6), la possibilité, la foi, la récompense. Reçois-nous, raffermis-nous, donne-nous la vie !

http://levangileauquotidien.org


 

 

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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