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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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6 décembre 2016

Evangile et Homélie du Mardi 06 Déc 2016.Votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu.


Mardi 06 décembre 2016

Nous sommes à la 2e semaine de l'Avent

Saint(s) du jour : St Nicolas de Myre, archevêque († 324), Bx Jean (János) Scheffler, évêque roumain et martyr



Livre d'Isaïe 40,1-11.

Consolez, consolez mon peuple, – dit votre Dieu – parlez au cœur de Jérusalem. Proclamez que son service est accompli, que son crime est expié, qu’elle a reçu de la main du Seigneur le double pour toutes ses fautes. Une voix proclame : « Dans le désert, préparez le chemin du Seigneur ; tracez droit, dans les terres arides, une route pour notre Dieu. Que tout ravin soit comblé, toute montagne et toute colline abaissées ! que les escarpements se changent en plaine, et les sommets, en large vallée ! Alors se révélera la gloire du Seigneur, et tout être de chair verra que la bouche du Seigneur a parlé. » Une voix dit : « Proclame ! » Et je dis : « Que vais-je proclamer ? » Toute chair est comme l’herbe, toute sa grâce, comme la fleur des champs : l’herbe se dessèche et la fleur se fane quand passe sur elle le souffle du Seigneur. Oui, le peuple est comme l’herbe : l’herbe se dessèche et la fleur se fane, mais la parole de notre Dieu demeure pour toujours. Monte sur une haute montagne, toi qui portes la bonne nouvelle à Sion. Élève la voix avec force, toi qui portes la bonne nouvelle à Jérusalem. Élève la voix, ne crains pas. Dis aux villes de Juda : « Voici votre Dieu ! » Voici le Seigneur Dieu ! Il vient avec puissance ; son bras lui soumet tout. Voici le fruit de son travail avec lui, et devant lui, son ouvrage. Comme un berger, il fait paître son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son cœur, il mène les brebis qui allaitent.

Psaume 96(95),1-2a.3a.10ac.11-12a.12b-13ab.

Chantez au Seigneur un chant nouveau,
chantez au Seigneur, terre entière,
chantez au Seigneur et bénissez son nom !

Racontez à tous les peuples sa gloire,
Allez dire aux nations : « Le Seigneur est roi ! »
Il gouverne les peuples avec droiture.

Joie au ciel ! Exulte la terre !
Les masses de la mer mugissent,
la campagne tout entière est en fête.

Les arbres des forêts dansent de joie
devant la face du Seigneur, car il vient,
car il vient pour juger la terre.

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 18,12-14.

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quel est votre avis ? Si un homme possède cent brebis et que l’une d’entre elles s’égare, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ? Et, s’il arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées. Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. »


– Acclamons la Parole de Dieu.


 Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés


Homélie ou Méditation du jour

«Ce n'est pas la volonté de votre Père céleste qu'un seul de ces petits se perde»

Aujourd'hui, Jésus nous lance un défi : "Qu'en pensez-vous ?" (Mt 18,12). Quelle sorte de miséricorde pratiques-tu ? Il est possible que nous, les "catholiques pratiquants", qui avons bénéficié de nombreuses fois de la miséricorde de Dieu dans ses sacrements, nous soyons tentés de penser que nous voilà excusés aux yeux de Dieu. Nous courons le risque de nous convertir inconsciemment en ce pharisien qui méprise le publicain (cf. Lc 18,9-14). Même si nous ne le disons pas à voix haute, nous pensons peut-être que nous sommes sans faute devant Dieu. Il y a quelques symptômes démontrant que cet orgueil pharisien prend racine en nous comme l'impatience face aux défauts des autres, ou penser que les avertissements ne sont jamais pour nous.

Le "désobéissant" prophète Jonas, un juif, resta inflexible lorsque Dieu montra qu'il avait de la peine pour les habitants de Ninive. Yahvé a reproché son intolérance à Jonas (cf. Jon 4, 10-11). Ce regard humain mettait des limites à la miséricorde divine. Et si nous aussi nous mettions des limites à la miséricorde de Dieu ? Nous devons prêter attention à la leçon de Jésus : "Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux (Lc 6,36). Il est probable qu'il nous reste beaucoup de chemin à parcourir pour imiter la miséricorde de Dieu !

Comment devrions-nous comprendre la miséricorde de notre Père céleste ? Le Pape François a dit que "Dieu ne pardonne pas par le biais d'un décret, mais en nous serrant dans ses bras". L'accolade de Dieu avec chacun d'entre nous s'appelle "Jésus-Christ". Le Christ démontre la miséricorde paternelle de Dieu. Dans le quatrième chapitre de l'Évangile de Saint Jean, le Christ n'ébruite pas les péchés de la femme samaritaine. Au contraire, la miséricorde divine guérit la Samaritaine en l'aidant à affronter pleinement la réalité de son péché. La miséricorde de Dieu est totalement cohérente avec la vérité. La miséricorde n'est pas une excuse pour réduire nos valeurs morales. Par contre, Jésus a dû provoquer son repentir avec beaucoup plus de tendresse que ce qu'a ressenti la femme adultère "blessée par l'amour" (cf. Jn 8,3-11). Nous aussi, nous devons apprendre comment aider les autres à affronter leurs erreurs sans leur faire honte, avec un grand respect pour eux en tant que frères du Christ, et avec tendresse. Dans notre cas, avec humilité aussi, en sachant que nous ne sommes nous-mêmes que des "vases en terre cuite".

Fr. Damien LIN Yuanheng (Singapore, Singapour)

http://evangeli.net/evangile


 


« Quel est votre avis ? » Jésus nous invite à prendre position par rapport au comportement du propriétaire des brebis. Si nous répondons spontanément, nous nous étonnerons sans doute de la réaction impulsive de cet homme. Certes son souci de retrouver la brebis égarée est louable, mais sa décision n’expose-t-elle pas le reste du troupeau à tous les dangers qui rôdent « dans la montagne » où il l’abandonne ? La prudence élémentaire ne l’obligeait-elle pas à prendre le temps de rentrer le troupeau dans la bergerie avant de se lancer « à la recherche de la brebis égarée » ?

Après ce premier mouvement de surprise devant le comportement pour le moins paradoxal de cet homme, une lecture plus attentive nous aide cependant à entrer dans la logique de son choix.  Pour commencer, le récit ne dit pas qu’il est le « berger » du troupeau, mais son « propriétaire ». Nous sommes donc en droit de penser que lorsqu’il se met en quête de l’égarée, les quatre-vingt-dix-neuf autres brebis demeurent sous la vigilance attentive des bergers à qui le propriétaire a confié son troupeau.

Ensuite, le propriétaire des brebis, c’est le Père, qui les confie à son Fils : « Elles étaient à toi, tu me les as données » (Jn 17, 6). Dès lors celui-ci peut agir comme si les brebis lui appartenaient ; en effet : « Ceux que tu m’as donnés sont à toi, et tout ce qui est à moi est à toi, comme tout ce qui est à toi est à moi » (Jn 17, 10). « L’homme qui possède les brebis » et qui, laissant son troupeau dans la montagne, part « à la recherche de la brebis égarée », c’est donc d’abord le Christ ; mais aussi tout disciple qui partage la préoccupation de Jésus pour les brebis que le Père lui confie.

Seigneur, “enlève mon cœur de pierre, et donne-moi un cœur de chair” (Ez 36, 26), compatissant et miséricordieux. Ne permets pas que je demeure indifférent devant les égarements de mes frères, mais que le désir brûlant de leur salut me fasse courir à leur recherche. Que l’Esprit Saint mette sur mes lèvres les paroles qui touchent leur cœur et leur permettent de découvrir que tu es un berger plein de tendresse, qui “cherche la brebis perdue et ramène l’égarée ; qui soigne celle qui est blessée et rend des forces à celle qui est faible ; qui garde et fais paître avec justice celle qui est grasse et vigoureuse” (Ez 34, 16-17).

Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org


 

Prière d'introduction

 

Ne permets pas, Seigneur, que je me sépare de toi. Parfois, je m’éloigne de ta présence à la recherche d’un bien illusoire. Augmente en moi la foi pour revenir à la source de toute vie véritable. Aujourd’hui je ne désire qu’une chose : me laisser retrouver par Dieu mon Père.

 

Demande

 

Ouvre mon cœur à ton amour miséricordieux et concède-moi une confiance illimitée en ta grâce !

 

Points de réflexion

 

1. « Si un homme possède cent brebis et que l’une d’entre elles s’égare, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ? »
Le Christ nous surprend avec son propos. N’importe quel bon pasteur serait resté avec les 99 brebis dans la montagne. Qui laisserait abandonnés autant de moutons dans un lieu dangereux comme la montagne pour aller à la recherche d’une seule brebis. Cela relève de l’imprudence. Cependant le Seigneur est imprudent parce qu’il est fou d’amour. Comme dit Pascal : « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas ». Le pape François exprime très bien les raisons de Dieu quand il invite l’Église à devenir un hôpital de campagne : « Je vois avec clarté que la chose dont a le plus besoin l’Église aujourd’hui, c’est la capacité à soigner les blessures et de réchauffer le cœur des fidèles, la proximité, la convivialité. Je vois l’Église comme un hôpital de campagne après une bataille. Il est inutile de demander à un blessé grave s’il a du cholestérol et si son taux de sucre est trop haut ! Nous devons soigner les blessures. Ensuite nous pourrons aborder le reste. Soigner les blessures, soigner les blessures… Il faut commencer par le bas ». Le pape comme Jésus-Christ invite l’Église à descendre de sa « montagne », de sa commodité, pour aller à la recherche de qui est réellement perdu. Pour ce faire, il est nécessaire tout d’abord de se laisser retrouver par Dieu notre Père. En effet on ne peut pas donner ce que nous n’avons pas. Demandons au Seigneur de se laisser retrouver par son Père pour pouvoir témoigner de sa miséricorde à ceux qui ne le connaissent pas.

2. « Et, s’il arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées ».
Quelle immense joie celle du berger quand il retrouve sa brebis perdue. Elle est semblable à celle d’une mère qui embrasse sa fille après l’avoir perdue pendant une journée entière dans une ville inconnue. Cependant, la joie de Dieu notre Père est plus profonde encore car c’est celle de voir briller en son fils le reflet même de sa propre joie. Il ne s’agit pas d’une redondance, sinon du mystère de la liberté humaine face au mystère de la Rédemption. Le bon larron condamné à mourir sur une croix au côté du Christ a été le premier à entrer au Paradis. Alors qu’il était réellement perdu, au plus bas du péché, il a eu cette foi immense pour s’adresser à Jésus en croix quand tout le monde se moquait de lui : « Seigneur souviens-toi de moi lorsque tu viendras dans ton royaume ». Cet acte de foi lui a valu le paradis pour toute l’éternité et il a causé une joie ineffable à Dieu notre Père.

 

Dialogue avec le Christ

 

« Père ! Je suis votre créature, si pauvre, si chétive ! Mais j'ai tant de confiance en vous, car vous m'avez fait si riche en Jésus, En mon Christ aimé ; et vous voulez, si je n'y mets pas obstacle, Vous voulez tant m'agrandir en lui ! Ô Père ! Regardez votre enfant, penchez-vous vers lui, Père de vos créatures ; Il est né de vous, lui aussi, en Jésus-Christ, Par l'Esprit-Saint il vous crie encore : Père, Père ! » (Dom Eugène Vandeur)

 

Résolution

 

Faire un acte de confiance en Dieu face à une difficulté aujourd’hui.

Frère Corentin Jarry, LC

http://www.regnumchristi.fr



« Quel est votre avis ? Si un homme possède cent brebis et que l’une d’entre elles s’égare, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ? »

Nous contemplons Jésus partant à la recherche de sa petite brebis perdue. Si par malheur, « un de ces petits, » était égaré à cause du contre-témoignage de la communauté, Jésus partirait sans tarder à sa recherche pour le retrouver et le ramener dans la communauté. L’amour est vainqueur, cette brebis qui appartient à son Père le reconnaîtra. Jésus insiste sur la place centrale qui revient aux « petits » et aux pauvres dans son Église : « Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux. » Il est donc de la plus grande importance de ne pas provoquer la chute ou l’égarement de l’un de ces pauvres. L’adversaire est à l’œuvre à l’intérieur même de la communauté. Le Menteur peut faire miroiter toutes sortes d’illusions au cœur de l’enfant de Dieu qui risque de se perdre. Jésus, Lumière du monde, va éclairer le cœur de la communauté en recherchant lui-même cette brebis qui est égarée. « Comme un berger il conduit son troupeau, son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son cœur, il prend soin des brebis qui allaitent leurs petits. » A la suite de Jésus, dans un Amour de compassion, nous soutenons par notre prière, le retour au « bercail » de ceux qui s’en sont trouvé éloignés.

"Et, s’il arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées." Voyant notre égarement et notre impuissance à revenir à lui par nos propres forces, Dieu accourt. « Il vient avec puissance, » pour sauver ses brebis dispersées et il les console. L’attitude de Jésus, l’Envoyé du Père, est la seule qui convienne. Il sait ce qu’il y a dans l’homme. Nous sommes ces « tout-petits, » ces nouveau-nés, sur lesquels Jésus veille avec une infinie compassion. Dieu nous a créé à son image, comme un reflet de sa Beauté, un réceptacle de sa gloire. Il nous a faits pour lui, pour que nous puissions trouver en lui notre bonheur. Le Père a confiées à son Fils les brebis qui lui appartiennent. En Jésus, Dieu nous cherche avec passion, jusqu’au tréfonds de nos égarements. Nous pouvons entrer dans la Joie du Royaume de Dieu. "Car notre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits ne soit perdu. » Les quatre vingt dix neuf « justes » saisis par l’amour de ce Bon Pasteur se convertiront. Alors il y a de la joie pour la brebis qui revient. Porter la Bonne Nouvelle de la Résurrection implique que nous soyons entrés dans ce Mystère de compassion, que nous soyons déjà « ressuscités. »

« Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. » Nous préparons à travers le désert de nos vies le chemin, nous abaissons nos montagnes d’orgueil, nous rectifions nos comportements tortueux, et nous traçons dans les terres arides une route aplanie pour notre Dieu. La Bonne Nouvelle de la venue du Sauveur est annoncée dans la douceur et dans l’humilité. Nous nous hâtons à la rencontre du Seigneur Jésus. Pour revenir à Dieu, il nous faut beaucoup de Compassion. La reconnaissance de nos limites et de nos fautes viendra ensuite ! Telle est la Parole d’espérance que l’Eglise nous propose pour accueillir ce temps de l’Avent. La parole du prophète retentit : « Consolez, consolez mon peuple. Parlez au cœur de Jérusalem. » Nous sommes les ministres de la Consolation. L’amour de Dieu est pour nous, il est vécu dans notre cœur. Il convient de rejoindre notre peuple. Marie a accueilli la Bonne Nouvelle. Elle a donné un Corps, un Cœur, à Jésus venu dans notre chair humaine. Il nous cherche, et nous voulons modeler notre attitude sur la sienne, le Bon Pasteur. Déjà « la gloire du Seigneur se révèle en nous, » nous pouvons goûter « le fruit de sa victoire. »

 

Nous demandons la grâce d’être des artisans de consolation et de Paix.

Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org


« Il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf autres qui ne se sont pas égarées »

Regardons notre berger, le Christ ; voyons son amour pour les hommes et sa douceur pour les conduire au pâturage. Il se réjouit des brebis qui l'entourent comme il cherche celles qui s'égarent. Monts et forêts ne lui font pas d'obstacle ; il court dans la vallée de l'ombre pour parvenir jusqu'à l'endroit où se trouve la brebis perdue. L'ayant trouvée malade, il ne la méprise pas, mais la soigne ; la prenant sur ses épaules, il guérit par sa propre fatigue la brebis fatiguée. Sa fatigue le remplit de joie, car il a retrouvé la brebis perdue, et cela le guérit de sa peine : « Lequel d'entre vous, dit-il, s'il a cent brebis et vient à en perdre une, n'abandonne pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour s'en aller auprès de celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il l'ait retrouvée ? »

La perte d'une seule brebis trouble la joie du troupeau rassemblé, mais la joie des retrouvailles chasse cette tristesse : « Quand il l'a retrouvée, il assemble amis et voisins et il leur dit : Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue » (Lc 15,6). C'est pourquoi le Christ, qui est ce berger, disait : « Je suis le bon pasteur » (Jn 10,11). « Je cherche la brebis perdue, je ramène celle qui est égarée, je panse celle qui est blessée, je guéris celle qui est malade » (Ez 34,16).

Basile de Séleucie (?-v. 468), évêque

http://levangileauquotidien.org

 


 

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© Secrétariat Chorale-CSFA 2016

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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