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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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20 janvier 2017

Évangile et homélie du Vend 20 Janv 2017. Jésus établit les douze!


Vendredi 20 janvier 2017

Le vendredi de la 2e semaine du temps ordinaire

L'Église fête : Semaine de prière pour l'unité des chrétiens
Saint(s) du jour : St Sébastien, martyr († 288), Ste Maria Cristina Brando, vierge et fond. (1856-1906)


Lettre aux Hébreux 8,6-13.

Frères, le service qui revient à notre grand prêtre se distingue d’autant plus que lui est médiateur d’une alliance meilleure, reposant sur de meilleures promesses. En effet, si la première Alliance avait été irréprochable, il n’y aurait pas eu lieu d’en chercher une deuxième. Or, c’est bien un reproche que Dieu fait à son peuple quand il dit : ‘Voici venir des jours, dit le Seigneur, où je conclurai avec la maison d’Israël et avec la maison de Juda une alliance nouvelle. Ce ne sera pas comme l’Alliance que j’ai faite avec leurs pères, le jour où je les ai pris par la main pour les faire sortir du pays d’Égypte : eux ne sont pas restés dans mon alliance ; alors moi, je les ai délaissés, dit le Seigneur. Mais voici quelle sera l’Alliance que j’établirai avec la maison d’Israël quand ces jours-là seront passés, dit le Seigneur. Quand je leur donnerai mes lois, je les inscrirai dans leur pensée et sur leurs cœurs. Je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. Ils n’auront plus à instruire chacun son concitoyen ni chacun son frère en disant : « Apprends à connaître le Seigneur ! » Car tous me connaîtront, des plus petits jusqu’aux plus grands. Je serai indulgent pour leurs fautes, je ne me rappellerai plus leurs péchés.’ En parlant d’Alliance nouvelle, Dieu a rendu ancienne la première ; or ce qui devient ancien et qui vieillit est près de disparaître.


Psaume 85(84),8.10.11-12.13-14.

Fais-nous voir, Seigneur, ton amour,
et donne-nous ton salut.
Son salut est proche de ceux qui le craignent,
et la gloire habitera notre terre.

Amour et vérité se rencontrent,
justice et paix s'embrassent ;
la vérité germera de la terre
et du ciel se penchera la justice.

Le Seigneur donnera ses bienfaits,
et notre terre donnera son fruit.
La justice marchera devant lui,
et ses pas traceront le chemin.

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 3,13-19.

En ce temps-là,  Jésus gravit la montagne, et il appela ceux qu’il voulait. Ils vinrent auprès de lui, et il en institua douze pour qu’ils soient avec lui et pour les envoyer proclamer la Bonne Nouvelle avec le pouvoir d’expulser les démons. Donc, il établit les Douze : Pierre – c’est le nom qu’il donna à Simon –, Jacques, fils de Zébédée, et Jean, le frère de Jacques – il leur donna le nom de « Boanerguès », c’est-à-dire : « Fils du tonnerre » –, André, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques, fils d’Alphée, Thaddée, Simon le Zélote, et Judas Iscariote, celui-là même qui le livra.

– Acclamons la Parole de Dieu.


Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés


Homélie ou Méditation du jour

 

Un détail est frappant dans la dynamique du récit. Saint Marc, qui raconte l’histoire, emploie le passé pour introduire Judas Iscariote : « celui-là même qui le livra ». Cette incise n’a pas pour fonction de sortir de la dynamique du récit en dévoilant les événements futurs. Elle n’est pas une interpellation à un lecteur futur qui connaîtrait déjà la « fin de l’histoire ». L’évangéliste montre que le Seigneur a pleinement conscience d’appeler pour faire communauté avec lui des hommes capables de le trahir. L’enseignement est profond et nourrit notre espérance : Jésus appelle des hommes faillibles, il choisit pour son entourage proche des pécheurs, des hommes capables de le livrer, des hommes comme nous.

Notre espérance n’est pas seulement dans le fait qu’il appelle des pécheurs, ce qui confirme que nous ayons été appelés nous aussi, à notre place. Elle est surtout dans la conséquence de cet appel : la chute n’est donc pas inéluctable ! La trahison n’est donc jamais une fatalité ! Jésus nous fait savoir qu’il connaît notre trahison future au moment même où il nous appelle, pour nous dire que notre force dans la lutte contre le péché réside dans notre appel-même. C’est le Seigneur qui est fidèle, c’est lui qui en nous prononce le « oui » de la fidélité à notre vocation, c’est sur ce « oui », le seul plaise au Père, que nous devons nous appuyer pour ne pas tomber.

La mention de la chute de Judas est la preuve que Jésus voulait la lui éviter. Le secret de la réussite de notre compagnonnage avec Jésus est donc de garder les yeux fixés sur lui plutôt que sur nos limites ou celles de nos frères. Le secret de la solidité de notre alliance avec le Seigneur réside dans notre persévérance à ne vouloir pour nous que ce que Dieu veut, dans les moindres détails de notre quotidien.  

Rendons grâce à notre Seigneur pour son regard d’espérance sur chacun de nous, son appel à la vie qui nous tire de nos morts, pour le don prévenant de sa grâce, pour le don de son Esprit qui nous garde en communion avec lui.

Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org


«Jésus gravit la montagne, et il appela ceux qu'il voulait»

Aujourd'hui, l'Evangile résume la théologie de la vocation chrétienne: le Seigneur choisit ceux qu'Il veut pour qu'ils restent avec Lui et pour en faire des apôtres (cf. Mc 3,13-14). En premier lieu, Il les choisit: avant la création du monde, il nous a destinés à devenir saints (cf. Ef 1,4). Il nous aime à travers le Christ, et il nous modèle par son intermédiaire en nous donnant des vertus pour être ses enfants. C'est seulement en ayant en vue la vocation que l'on comprend nos vertus; la vocation est le "rôle" qu'il nous a donné dans la rédemption. C'est en découvrant l'intime "pourquoi" de mon existence que je me sens pleinement "moi", quand je vis ma vocation.

Et pourquoi nous a-t-il appelés? Pour que nous soyons avec Lui. Cet appel implique une réponse: «Un jour —je ne veux pas généraliser, ouvre ton cœur au Seigneur et raconte-lui ton histoire—, peut-être qu'un ami, un chrétien ordinaire comme toi, t'as fait découvrir un panorama profond et nouveau, même s'il est aussi vieux que l'Evangile. Il t'a suggéré que tu pouvais t'appliquer sérieusement à suivre le Christ, à devenir un apôtre des apôtres. A ce moment-là, tu as peut-être perdu la tranquillité et tu ne l'as retrouvée, convertie en paix, qu'après avoir répondu à Dieu librement, parce que tu en as eu envie —ce qui est la raison la plus surnaturelle—. Et la joie est venue, forte et constante, une joie qui disparaît seulement quand tu t'écartes de Lui» (Saint Joseph Marie).

C'est un don mais c'est aussi une tâche: la sainteté par l'intermédiaire de la prière et des sacrements et, de plus, c'est une lutte personnelle. «Tous les fidèles quels que soient leur état et leurs conditions de vie sont appelés à la plénitude de la vie chrétienne et à la perfection de la charité, de la sainteté qui, même dans la société terrestre, encourage un mode de vie plus humain» (Concile Vatican II).

Ainsi, nous pouvons sentir la mission apostolique: amener le Christ aux autres; l'avoir avec nous et l'amener. Aujourd'hui, nous pouvons prêter davantage attention à l'appel, et perfectionner notre réponse d'amour.

Abbé Llucià POU i Sabater (Granada, Espagne)

http://evangeli.net/evangile



 

Prière d'introduction

 

« Dieu, donne au roi tes pouvoirs, à ce fils de roi ta justice. Qu'il gouverne ton peuple avec justice, qu'il fasse droit aux malheureux ! Montagnes, portez au peuple la paix, collines, portez-lui la justice ! Qu'il fasse droit aux malheureux de son peuple, qu'il sauve les pauvres gens, qu'il écrase l'oppresseur ! Qu'il dure sous le soleil et la lune de génération en génération ! Qu'il descende comme la pluie sur les regains, une pluie qui pénètre la terre. En ces jours-là, fleurira la justice, grande paix jusqu'à la fin des lunes ! Qu'il domine de la mer à la mer, et du Fleuve jusqu'au bout de la terre ! Des peuplades s'inclineront devant lui, ses ennemis lècheront la poussière » (Psaume 71, 1-9).

 

Demande

 

Ô Jésus, donne-moi la foi, afin que je sois un membre vivant de l’Église fondée sur les Apôtres.

 

Points de réflexion

 

1. « Il appela ceux qu’il voulait… » pour qu’ils soient avec lui.
« Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et établis, afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure » (Jn 15, 16). Cette parole de Jésus rappelle aux disciples l’origine de leur vocation : l’amour ardent et gratuit du divin cœur de Jésus. Il leur suffisait d’être avec Jésus, dans une école de vie et de foi, avec un Maître exceptionnel et unique.
Ces douze d’où proviennent-ils ? « Frères, vous qui avez été appelés par Dieu, regardez bien : parmi vous, il n’y a pas beaucoup de sages aux yeux des hommes, ni de gens puissants ou de haute naissance » nous répond le saint apôtre Paul (1 Corinthiens 1, 26). Dieu appelle ce qu’il y a de plus ordinaire, car c’est lui qui conduit l’histoire, non pas les hommes.

2. « Et il en institua douze (…) pour les envoyer proclamer la Bonne Nouvelle ».
En instituant les douze, Jésus pérennise sa mission sur la terre comme au ciel. La Bonne Nouvelle qu’il a annoncée en un espace et temps circonscrits de l’histoire, il l’a destinée à l’humanité tout entière, par la transmission en espace et dans le temps, jusqu’à sa venue dans la gloire.
Pour garantir l’authenticité du témoignage, Jésus a conféré l’autorité à ses Apôtres. En établissant la succession apostolique, il a empêché toute déviance ou d’excroissance de faux messies. L’autorité n’est toutefois pas un monopole sur l’Évangile, mais un service devenu effectif le jour de la Pentecôte, qui a pour objet d’enseigner, de gouverner et de sanctifier un peuple de témoins. Moi donc, qui ai reçu l’Esprit Saint, suis-je, à mon niveau, disciple missionnaire ?

3. « Le pouvoir d’expulser les démons ».
La Bonne Nouvelle du salut n’est ni un roman fantaisiste, ni un antidépresseur : Jésus intervient vraiment dans la vie pour l’arracher au pouvoir de Satan. Dès le baptême, l’exorcisme prépare l’âme à recevoir la vie divine. Toute préparation pénitentielle ou réconciliation repousse le mal de notre vie et nous conduit sur un chemin de foi surnaturelle et d’alliance avec Dieu, où la grâce produira les fruits.
Lorsqu’un chrétien est tourmenté par une « puissance » obscure, il peut en être délivré en invoquant le saint et terrible nom de Jésus-Christ. Comment Jésus ne viendrait-il pas en aide ? À plus forte raison, un évêque, configuré au Christ comme successeur des Apôtres, et qui a reçu l’onction d’Esprit Saint et de puissance, aura-t-il le pouvoir d’expulser les esprits impurs. Ainsi se réalisera l’œuvre de salut que Jésus a léguée à l’histoire.

 

Dialogue avec le Christ

 

Jésus, je veux t’aimer. Sois le trésor de mon cœur. Habite en moi, afin que je puisse aimer en retour tous les hommes que tu me fais rencontrer. Donne-moi d’aimer ceux qui te représentent dans l’Église, les successeurs des Apôtres, avec qui nous constituons ton très saint corps, dont tu es la tête. Donne-moi d’aimer mes ennemis, de leur pardonner, de te les confier.

 

Résolution

 

Je prierai pour le pape, pour mon évêque diocésain et pour les prêtres, diacres et religieux que je connais.

 

Père Jaroslav de Lobkowicz, LC

http://www.regnumchristi.fr



 

"Puis, il gravit la montagne, et il appela ceux qu’il voulait."

Jésus commence son ministère en convoquant les Douze. Après avoir prié le Père, Jésus a appelé à lui ceux qu’il voulait et en a nommé douze qu’il prendrait avec lui et qu’il enverrait prêcher le Royaume de Dieu. Ils représentent le futur Peuple de Dieu. La mission des douze est double : être avec Jésus, et prêcher d’une manière active la Bonne Nouvelle du Salut. Jésus a ainsi constitués un « corps » nouveau, qui lui est uni, ayant à sa tête Pierre choisi parmi eux. En mémoire des douze tribus d’Israël Il les a envoyés d’abord aux enfants d’Israël et puis à toutes les nations. Dans la fidélité au mandat reçu de Jésus, les Douze, après son Ascension, associent d’autres personnes aux fonctions qui leur ont été confiées. Elles vont continuer le ministère. Jésus Ressuscité appelle lui-même Paul. La voie par laquelle chacun continuera ce ministère s’appellera ministère épiscopal, le ministère des évêques. C’est la continuité du ministère des apôtres dans la Tradition apostolique. Parole et vie leur a été confiée par le Seigneur Jésus. Cette parole porte la vie, elle ranime la vie de tous ceux qui cherchent à être en vérité devant Dieu.

"Ils vinrent auprès de lui, et il en institua douze pour qu’ils soient avec lui et pour les envoyer proclamer la Bonne Nouvelle avec le pouvoir d’expulser les démons. A la suite de Jésus, les douze transmettent quelque chose de Jésus qui les porte au delà d’eux-mêmes, et qui les conduisent jusqu’au Père. Revêtus de son autorité, avec le pouvoir de chasser les démons, ils feront de tous les peuples de la terre des disciples. Ils les sanctifient et les gouvernent. Dans la diversité des douze, Dieu va faire une œuvre d’unité merveilleuse grâce à l’Esprit Saint. Jésus nous montre ainsi comment avancer sur le chemin de Dieu. Une nouvelle manière de vivre s’inaugure et s’offre à nous encore aujourd’hui. C’est ainsi que se donne la naissance de l’Église sous la conduite du Seigneur Jésus. Ces apôtres sont les ministres et les pasteurs, tous les jours, jusqu’à la fin du monde. Ils seront confirmés dans cette mission le jour de la Pentecôte, selon la promesse du Seigneur Jésus : « Vous recevrez une force, celle du Saint Esprit qui viendra sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre. » C’est encore dans cet Esprit Saint qu’ils se choisiront des coopérateurs.

"Donc, il établit les Douze : Pierre, c’est le nom qu’il donna à Simon, Jacques, fils de Zébédée, et Jean, le frère de Jacques, il leur donna le nom de « Boanerguès, » c’est-à-dire : « Fils du tonnerre, » André, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques, fils d’Alphée, Thaddée, Simon le Zélote, et Judas Iscariote, celui-là même qui le livra." Les noms défilent, un à un, jusqu’à douze. Le premier nom, celui de Simon, il deviendra Pierre. « Boanerguès, » pour les tempéraments qui marquent, ceux des fils du tonnerre, et qui se révéleront. Et aussi, celui qui le livrera au bout du chemin : Judas Iscariote. Tout est là, condensé, c’est une histoire sainte, où, à la fin, nous revoyons la scène du début et nous pressentons combien elle était pleine de toute l’histoire qui s’est déroulée. C’est le groupe de douze, plus que simplement douze personnes, les Douze. Il nous faut dans notre vie et dans l’Église comme dans le monde avoir le regard tourné vers Dieu, l’auteur de tout, dans un émerveillement toujours renouvelé ! Dieu est vivant, il est présent grâce à Jésus désormais. Quand nous nous tournons vers le visage humain créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, nous allons vers Jésus. Nous demandons à Dieu une surabondance d’humilité devant la grandeur, le trésor qu’est le frère sauvé par Jésus. Jésus, le Pasteur éternel, a édifié l’Église en envoyant les apôtres comme lui-même avait été envoyé par le Père ! Il a voulu que leurs successeurs, les évêques, soient dans son Église pasteurs jusqu’à la fin des temps.

 

Nous demandons la grâce de nous laisser vraiment guider par l’Esprit Saint le seul maître.

 

Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org



 

« Il appela ceux qu'il voulait... pour qu'ils soient avec lui »

« La nuit, j'ai cherché celui que mon cœur aime » (Ct 3,1). Quel grand bien que de chercher Dieu ! Je pense pour ma part qu'il n'en est pas de plus grand. Le premier des dons de Dieu, il est encore l'étape dernière. Il ne vient pas s'ajouter à quelque autre vertu, parce qu'aucune ne lui est antérieure. Quelle vertu pourrait-on attribuer à celui qui ne cherche pas Dieu, et quelle limite mettre à la recherche de Dieu ? « Cherchez toujours sa face » dit un psaume (104,4). Je crois que, même quand on l'aura trouvé, on ne cessera pas de le chercher.

On ne cherche pas Dieu en courant quelque part, mais en le désirant. Car le bonheur de l'avoir trouvé n'éteint pas le désir, mais au contraire il le fait grandir. La consommation de la joie... est plutôt de l'huile sur le feu, car le désir est une flamme. La joie sera parfaite (Jn 15,11) mais le désir n'aura pas de fin, et donc la recherche non plus...

Mais que chaque âme qui cherche Dieu sache bien qu'elle a été devancée par Dieu, qui l'a cherchée avant qu'elle se soit mise à le chercher... C'est à cela que vous appelle la bonté de celui qui vous prévient, celui qui, le premier, vous a cherchés et qui vous a aimés le premier. Donc, en aucune façon, si vous n'étiez pas d'abord recherchés, vous ne le chercheriez pas vous-mêmes ; si vous n'étiez pas d'abord aimés par lui, vous ne l'aimeriez pas vous-mêmes. Vous avez été devancés et non par une seule grâce, mais par deux : par l'amour et par la recherche. L'amour est la cause de la recherche ; la recherche est le fruit de l'amour, et elle en est aussi la preuve. À cause de l'amour vous ne redoutez pas d'être cherchés. Et parce que vous avez été cherchés vous ne vous plaindrez pas d'être aimés en vain.

Saint Bernard (1091-1153), moine cistercien et docteur de l'Église
http://levangileauquotidien.org


 

 

 

 

 

 


 

© Secrétariat Chorale-CSFA 2016

Pour faire un commentaire, un leg ou un don, écrire à :

 csfachorale@gmail.com

 


 

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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