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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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18 mai 2017

Évangile et Homélie du jeudi 18 Mai 2017. Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés


Jeudi 18 mai 2017

Nous sommes dans la 5e semaine de Pâques

Saint(s) du jour : St Jean I, pape (53e) et martyr de 523 à 526 , St Felice de Cantalice, religieux o.f.m. cap. (1515-1587)


Première lecture (Ac 15, 7-21)

Lecture du livre des Actes des Apôtres

En ces jours-là,
comme la conversion des païens provoquait,
dans l’Église de Jérusalem,
une intense discussion,
Pierre se leva et leur dit :
« Frères, vous savez bien
comment Dieu, dans les premiers temps,
a manifesté son choix parmi vous :
c’est par ma bouche
que les païens ont entendu la parole de l’Évangile
et sont venus à la foi.
Dieu, qui connaît les cœurs,
leur a rendu témoignage
en leur donnant l’Esprit Saint tout comme à nous ;
sans faire aucune distinction entre eux et nous,
il a purifié leurs coeurs par la foi.
Maintenant, pourquoi donc mettez-vous Dieu à l’épreuve
en plaçant sur la nuque des disciples
un joug que nos pères et nous-mêmes
n’avons pas eu la force de porter ?
Oui, nous le croyons,
c’est par la grâce du Seigneur Jésus
que nous sommes sauvés,
de la même manière qu’eux. »
Toute la multitude garda le silence,
puis on écouta Barnabé et Paul
exposer tous les signes et les prodiges
que Dieu avait accomplis grâce à eux parmi les nations.
Quand ils eurent terminé, Jacques prit la parole et dit :
« Frères, écoutez-moi.
Simon-Pierre vous a exposé
comment, dès le début, Dieu est intervenu
pour prendre parmi les nations
un peuple qui soit à son nom.
Les paroles des prophètes s’accordent avec cela,
puisqu’il est écrit :
Après cela, je reviendrai
pour reconstruire la demeure de David,
qui s’est écroulée ;
j’en reconstruirai les parties effondrées,
je la redresserai ;
alors le reste des hommes cherchera le Seigneur,
oui, toutes les nations sur lesquelles mon nom a été invoqué,
– déclare le Seigneur, qui fait ces choses

connues depuis toujours.
Dès lors, moi, j’estime qu’il ne faut pas tracasser
ceux qui, venant des nations, se tournent vers Dieu,
mais écrivons-leur de s’abstenir
des souillures des idoles,
des unions illégitimes,
de la viande non saignée
et du sang.
Car, depuis les temps les plus anciens,
Moïse a, dans chaque ville, des gens qui proclament sa Loi,
puisque, dans les synagogues,
on en fait la lecture chaque sabbat. »


– Parole du Seigneur.

Psaume 95 (96), 1-2a, 2b-3, 10)

Chantez au Seigneur un chant nouveau,
chantez au Seigneur, terre entière,
chantez au Seigneur et bénissez son nom !

De jour en jour, proclamez son salut,
racontez à tous les peuples sa gloire,
à toutes les nations ses merveilles !

Allez dire aux nations : « Le Seigneur est roi ! »
Le monde, inébranlable, tient bon.
Il gouverne les peuples avec droiture.

 

 


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (Jn 15, 9-11)

En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
« Comme le Père m’a aimé,
moi aussi je vous ai aimés.
Demeurez dans mon amour.
Si vous gardez mes commandements,
vous demeurerez dans mon amour,
comme moi, j’ai gardé les commandements de mon Père,
et je demeure dans son amour.
Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous,
et que votre joie soit parfaite. »


– Acclamons la Parole de Dieu.

 


Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.


 Homélie ou Méditation du jour

 

Nous venons d'entendre l'aveu de Jésus : « J'aime le Père ». Le Père est l'objet exclusif de son amour filial. Il est tout entier tourné vers Celui qui l'engendre à chaque instant et vers lequel il reflue dans un élan d'amour réciproque. Devant une dilection aussi exclusive, nous pourrions être inquiets et nous demander ce qu'il en est de nous : si l'affection du Fils le porte tout entier vers le Père, reste-t-il de la place pour nous dans son Cœur ?

 

La réponse nous est donnée aujourd'hui : « Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimé ». L'affirmation devrait nous rassurer : oui, le Seigneur nous aime ; mais cet amour qu'il nous porte, procède encore du Père et lui est tout entier référé. C'est précisément parce que le Fils est totalement transparent à la volonté du Père auquel il est uni dans une communion d'amour parfaite, que l'amour du Père peut traverser le Fils jusqu'à nous, autrement dit : que le Père peut nous aimer en son Fils. Jésus est engendré dans l'amour du Père, amour qu'il laisse librement déborder jusqu'à nous. Non seulement Jésus consent à se laisser traverser par cet amour du Père pour nous, mais lui-même nous aime dans la surabondance de l'amour qu'il reçoit du Père.

 

Tel est le sens du « comme » et de l' « aussi » : nous sommes aimés par le Père du même amour dont il aime le Fils, parce que le Fils consent à nous partager cet amour et à nous le transmettre. Ce faisant, il accepte de partager également sa condition filiale, et lui, notre Créateur, consent à nous accueillir comme ses frères.

 

Bien sûr cet amour nous est offert et non imposé. D'où l'invitation pressante : « Demeurez dans mon amour ». Puisque l'amour du Père qui nous filialise descend jusqu'à nous par le Fils, notre réponse doit aussi remonter vers le Père par lui ; elle doit se mouler dans la réponse du Fils. Or Jésus demeure dans l'amour du Père en gardant fidèlement ses commandements, c'est-à-dire en restant en communion parfaite de volonté avec lui ; c'est ainsi qu'il ne pose aucun obstacle à la circulation de cet amour et que celui-ci peut déborder jusqu'à nous. Dès lors, si nous aussi nous voulons demeurer dans l'amour du Père qui nous vient par le Fils, il suffit que nous soyons fidèles aux commandements de celui-ci, afin de rester en parfaite communion de volonté avec lui, comme lui-même est en communion avec le Père. L'amour dont parle Jésus est donc bien plus qu'un sentiment : c'est un acte de volonté qui s'incarne dans une obéissance et une fidélité à toute épreuve, comme le vérifiera bientôt la Passion.

 

A l'orée de l'Evangile, les deux premiers disciples demandaient : « Rabbi, où demeures-tu ? » (Jn 1,38). Jésus répond aujourd'hui : « Je demeure dans l'amour du Père » ; aussi si vous demeurez dans mon amour, vous demeurerez avec moi dans ce même amour, car je vous aime de l'amour même que me porte le Père et dont il vous aime à travers moi. Quant au chemin vers cette demeure divine, nous le connaissons : Jésus lui-même, dans sa relation à son Père, est notre chemin, notre vérité et notre vie.

 

« Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous ». Si le disciple demeure en son Maître, celui-ci demeure aussi en lui et lui communique sa joie d'être engendré à chaque instant par l'Amour infini. Joie qui fit tressaillir Jésus et exulter Marie ; joie de l'Esprit qui n'est autre que la Vie même de Dieu. « Que vous soyez comblés de joie » : tel est le dessein de Dieu sur ses enfants. Où est-il le Dieu jaloux de notre bonheur que suggérait le Serpent de la Genèse ?

 

Ce que le prophète Isaïe avait entrevu, se réalise pour nous dans la Résurrection de Jésus et l'effusion de l'Esprit sur les croyants. « Voici que je vais créer des cieux nouveaux et une terre nouvelle ; c'est un enthousiasme et une exultation perpétuels que je vais créer. L'exultation que je vais créer ce sera Jérusalem, et l'enthousiasme ce sera son peuple ; oui ; j'exulterai au sujet de Jérusalem, et je serai dans l'enthousiasme au sujet de mon peuple » (Is 65, 17-19). Comme le Père est toute la joie du Fils et que le Fils est toute la joie du Père, ainsi nous aussi, lorsque nous serons parvenus à « l'unité parfaite » (Jn 17, 23) dans l'Esprit, ferons-nous la joie de Dieu, en qui nous trouverons notre béatitude.

 

Pour hâter ce jour efforçons-nous comme Jean-Baptiste, d'être les « amis de l'époux » qui se tiennent près de lui, et l'écoutent (Jn 3, 29). Car dès à présent nous pouvons être « comblés de joie par la voix de l'époux » (id) si nous l'accueillons dans un cœur humble et disponible. Mais pour cela, « il faut qu'il grandisse et que moi je diminue » ; alors « notre joie soit parfaite » (3, 30) et nous serons « comblés de joie » dans l'Esprit.

 

Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org



«Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimés»

Aujourd'hui nous écoutons à nouveau la confidence intime que Jésus nous fait le Jeudi Saint: «Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimés» (Jn 15,9). L'amour du Père pour le Fils est immense, tendre, profond. Nous pouvons le constater dans le livre des Proverbes, lorsque Il affirme que, bien avant le commencement de ses oeuvres, «j'étais à ses côtés comme un maître d'oeuvre. J'y trouvais mes délices jour après jour en jouant devant lui à tout instant» (Pr 8,30). C'est bien ainsi qu'Il nous aime et, en l'annonçant prophétiquement dans le même livre, Il ajoute «jouant sur toute la terre, et trouvant mes délices avec les fils des hommes» (Pr 8,31).

Le Père aime le Fils, et Jésus ne cesse pas un instant de nous le rappeler: «Celui qui m'a envoyé est avec moi; il ne m'a pas laissé seul parce que je fais toujours ce qui Lui plaît» (Jn 8,29). Le Père l'a bien proclamé quand du ciel une voix se fît entendre sur le Jourdain: «C'est toi mon Fils bien-aimé; en toi j'ai mis tout mon amour» (Mc 1,11) et, plus tard au mont Thabor: «Celui-ci est mon Fils bien-aimé. Écoutez-le» (Mc 9,7). Jésus a répondu, «Abbá», Papa! Maintenant, Il nous dit, «Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimés». Et, que faisons-nous? Nous maintenir dans son amour, obéir à ses commandements, aimer la Volonté du Père. N'est-ce pas là l'exemple qu'Il nous donne? «Je fais toujours ce qui Lui plaît».

Mais nous, qui sommes faibles, inconstants, lâches et —pourquoi ne pas l'avouer— même méchants, allons-nous perdre à jamais Son amitié? Certes, non! Car Il ne permettra pas que nous soyons tentés au-delà de nos forces! Mais si jamais nous nous éloignions de ses commandements, demandons Lui la grâce de revenir en courant comme le fils prodigue, vers la maison du Père et de nous tourner vers le sacrement de la Pénitence afin de recevoir le pardon de nos péchés. «Moi, aussi, je vous ai aimés —nous dit Jésus—. Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que vous soyez comblés de joie» (Jn 15,9.11).

Abbé Lluís RAVENTÓS i Artés (Tarragona, Espagne)

http://evangeli.net/evangile


 


 

 

Prière d'introduction

 

Seigneur Jésus, je veux toujours demeurer dans ton amour.

 

Demande

 

Seigneur, je crois en ton amour pour moi, viens au secours de mon incroyance. Rompre les préjugés et limites que je mets sur ta capacité de m’aimer. Ouvre mon cœur à ton amour infini.

 

Points de réflexion

 

1. Si le Christ me dit qu’il m’aime avec le même amour que le Père a pour lui, comment le Père aime-t-il son Fils ? Dieu le Père aime tellement son Fils que son amour est le don total de sa personne. « Dieu est amour » (1 Jn 4, 8). Jésus me dit dans ce passage qu’il m’aime avec le don de lui-même. Il est venu au monde pour se donner à moi, pour m’aimer, et pour me permettre d'arriver près de lui à la fin de ma vie. Il m’aime plus que son bien-être et son propre plaisir. Son amour me fait exister.

 

2. Comment est l’amour du Christ pour moi ? Si le Christ est amour, l’hymne à l’amour (1 Cor 13, 4-7) se traduit dans ma vie. Le Christ est longanime, patient avec moi, avec mes faiblesses et mes fautes. Il est serviable, il cherche toujours mon bien. Il n’est pas envieux de mes joies et mes succès, bien au contraire. Il ne fanfaronne pas afin de m’impressionner. Il ne se gonfle pas pour prendre plus de place dans ma vie, mais il se cache. Il ne cherche pas son intérêt mais le mien, jusqu’au point de mourir à ma place. Il ne s’irrite pas avec moi, même quand il aurait eu raison de le faire. Il ne tient pas compte du mal. Il excuse tout, croit tout, espère tout, supporte tout.

 

3. Si je veux demeurer dans cet amour infini, que faut-il faire ? « Restez fidèles à mes commandements ». Les commandements du Seigneur sont au nombre de deux : l’aimer et aimer ceux qui sont autour de nous. De ces deux commandements dépendent toute la Loi et les prophètes (Mt 22, 40). Ce double commandement n’est pas une échappatoire morale. Il exige l’oubli de moi afin de donner le meilleur à Dieu et à ceux qui m’entourent.
Et comme le dit saint Augustin : « On n’obéit pas aux commandements parce qu’ils sont commandés, mais parce qu’on aime la personne qui commande ».

 

Dialogue avec le Christ

 

« Que rendrai-je donc au Seigneur, en reconnaissance de tout ce qu'il a fait pour moi ? » (Ps 115, 12) Quand il m'a créé, il m'a donné à moi-même ; mais il m'a rendu à moi-même quand il s'est donné à moi ; donné d'abord, rendu ensuite, je me dois donc pour moi et je me dois deux fois. Mais que rendrai-je à Dieu pour lui ? « Car si je pouvais me donner mille fois, que serait-ce en comparaison de Dieu ? » (Saint Bernard de Clairvaux, Sur l’amour de Dieu, 8015).

 

Résolution

 

Prendre l’une des qualités de l’amour dans l’hymne de la charité (1 Cor 13, 4-7) que je peux vivre aujourd’hui avec mes proches.

 

Sarah Cleary, consacrée de Regnum Christi

http://www.regnumchristi.fr


 


 

 

"Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour."

 

 

Jésus introduit ses disciples dans la joie parfaite qu’il partage avec son Père, pour que l’amour dont le Père l’aime soit en nous. La joie chrétienne est de s’ouvrir à cet Amour infini de Dieu et d’être possédé par lui. Quand Marie-Madeleine quitte le tombeau, après l’annonce bouleversante de la résurrection de Jésus, elle est « tout émue et pleine de joie » elle coure porter l’heureuse nouvelle aux disciples. Et voici que Jésus vint à sa rencontre et lui dit : « Je vous salue ! » C’est la joie du salut qui lui est offerte : Jésus est vivant, il est celui qui a vaincu le mal, le péché et la mort. Il nous faut, nous aussi, recevoir gratuitement l’Amour de Dieu donné en Jésus dans la gratuité totale de l’amour infini de Dieu. « Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés dit Jésus. » L’amour du Père pour le Fils est infini. Nous découvrons combien le Père nous aime dans la manière dont Jésus lui-même nous a aimés. C’est par grâce, de manière toute gratuite, que nous sommes aimés. L’apôtre Pierre le rappelle : "En fait, c’est par la grâce du Seigneur Jésus que nous croyons être sauvés !"

 

"Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour." Cette joie profonde est le fruit de l’Esprit Saint qui fait de nous des enfants de Dieu. Nous sommes capables de vivre et de goûter sa bonté, en nous adressant à lui : “Abba”, Papa chéri. La joie est le signe de sa présence et de son action en nous. Nous avons découvert le Royaume comme un trésor caché, et nous le cachons au secret de l’Amour. Trouver et conserver comme un trésor la joie spirituelle, procède de l’union avec Jésus. Nous le suivons, dans un choix décisif, et nous misons tout sur lui. Le Père aime le Fils, Jésus ne cesse pas un instant de nous le rappeler : « Celui qui m’a envoyé est avec moi ; il ne m’a pas laissé seul parce que je fais toujours ce qui Lui plaît. » Nous voulons nous maintenir dans son amour, obéir à ses commandements, aimer la Volonté du Père. Dieu nous as régénérés, « sanctifiés » par son Amour. Il nous as donné le bonheur alors que nous étions pécheurs et malheureux. Reconnaître en nous le don de Dieu c’est entrer dans une attitude de réceptivité et de don, "votre joie sera parfaite," nous dit Jésus. L’amour de Dieu a besoin d’un cœur attentif, d’une réception de Dieu dans une gratuité absolue. Non seulement Dieu est celui qui nous donne l’Amour, mais il est encore celui qui peut garder en nous ce qu’il donne. Nous entrons dans la gratuité de l’Amour en nous laissant immerger par lui, par son Amour.

 

« Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. » La joie chrétienne naît de se savoir aimé par Jésus qui s’est fait homme. Il a donné sa vie pour nous, il a ainsi vaincu le mal et la mort. Nous mettons notre joie en lui, Jésus, qui nous aime. La joie est un fruit de la foi, nous reconnaissons la présence de Jésus, son amour. "Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que vous soyez comblés de joie". C’est ainsi que Dieu nous donne de creuser un espace pour Lui. Nous manifestons la relation d’amour que nous avons avec lui par la prière permanente. C’est ainsi que nous trouvons le Bonheur. En présence de Jésus, dans l’adoration, le ciel s’entrouvre et nous pouvons laisser surabonder son amour en nous, dans l’action de grâce. Là, nous reconnaissons la gratuité de l’Amour de Dieu. En effet nous rencontrons un Dieu tendre, miséricordieux et compatissant ! Dans ce temps de préparation à la Pentecôte, que l’Esprit Saint nous manifeste combien le Père nous aime.

 

Seigneur augmente en nous la foi en ta Parole, en ton Amour. »

 

 Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org


 


 

« Je vous ai dit cela pour que... vous soyez comblés de joie »

 

      La joie est un besoin et une force pour nous, même physiquement. Une sœur qui a cultivé l'esprit de joie ressent moins la fatigue et est toujours prête à faire le bien. Une sœur remplie de joie prêche sans prêcher. Une sœur joyeuse est comme le rayon de soleil de l'amour de Dieu, l'espérance d'une joie éternelle, la flamme d'un amour brûlant.

      La joie est une des meilleures garanties contre la tentation. Le diable est porteur de poussière et de boue, toute occasion de les jeter sur nous lui est bonne. Un cœur joyeux sait comment s'en protéger.

Sainte Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Sœurs Missionnaires de la Charité

http://levangileauquotidien.org

 

 


 


 


 


 


Nos sources:

Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.

Homélie ou Méditation du jour

1. Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org

2. Abbé A

http://evangeli.net/evangile

3. Frère F.

http://www.regnumchristi.fr

4. Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org

5. Pape P.

http://levangileauquotidien.org


  

 

 

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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