Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Chorale Belgo-Burundaise CSFA
Chorale Belgo-Burundaise CSFA
Pages
Archives
Newsletter
19 abonnés
5 septembre 2016

Evangile, Saint et Homélie du Lundi 05 sept 2016.

Lundi 05 septembre 2016

Nous sommes en temps ordinaire: 23e semaine

Saint(s) du jour : Ste Mère Teresa de Calcutta, fondatrice (1910-1997), Bx Jean-Joseph Lataste, prêtre o.p. et fond. (1832-1869)



Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 5,1-8.

Frères, on entend dire partout qu’il y a chez vous un cas d’inconduite, une inconduite telle qu’on n’en voit même pas chez les païens : il s’agit d’un homme qui vit avec la femme de son père.
Et, malgré cela, vous êtes gonflés d’orgueil au lieu d’en pleurer et de chasser de votre communauté celui qui commet cet acte.
Quant à moi, qui suis absent de corps mais présent d’esprit, j’ai déjà jugé, comme si j’étais présent, l’homme qui agit de la sorte :
au nom du Seigneur Jésus, lors d’une réunion où je serai spirituellement avec vous, dans la puissance de notre Seigneur Jésus,
il faut livrer cet individu au pouvoir de Satan, pour la perdition de son être de chair ; ainsi, son esprit pourra être sauvé au jour du Seigneur.
Vraiment, vous n’avez pas de quoi être fiers : ne savez-vous pas qu’un peu de levain suffit pour que fermente toute la pâte ?
Purifiez-vous donc des vieux ferments, et vous serez une pâte nouvelle, vous qui êtes le pain de la Pâque, celui qui n’a pas fermenté. Car notre agneau pascal a été immolé : c’est le Christ.
Ainsi, célébrons la Fête, non pas avec de vieux ferments, non pas avec ceux de la perversité et du vice, mais avec du pain non fermenté, celui de la droiture et de la vérité.


Psaume 5,5-6ab.6c-7.12.

Tu n'es pas un Dieu ami du mal,
chez toi, le méchant n'est pas reçu.
Non, l'insensé ne tient pas
devant ton regard.

Tu détestes tous les malfaisants,
tu extermines les menteurs ;
l'homme de ruse et de sang,
le Seigneur le hait.

Allégresse pour qui s'abrite en toi,
joie éternelle !
Tu les protèges, pour toi ils exultent,
ceux qui aiment ton nom.





Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,6-11.

Un jour de sabbat, Jésus était entré dans la synagogue et enseignait. Il y avait là un homme dont la main droite était desséchée. Les scribes et les pharisiens observaient Jésus pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat ; ils auraient ainsi un motif pour l’accuser. Mais lui connaissait leurs raisonnements, et il dit à l’homme qui avait la main desséchée : « Lève-toi, et tiens-toi debout, là au milieu. » L’homme se dressa et se tint debout. Jésus leur dit : « Je vous le demande : Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver une vie ou de la perdre ? »
Alors, promenant son regard sur eux tous, il dit à l’homme : « Étends la main. » Il le fit, et sa main redevint normale. Quant à eux, ils furent remplis de fureur et ils discutaient entre eux sur ce qu’ils feraient à Jésus.


Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés. 


 

 Homélie ou Méditation du jour


Abbé Julio César RAMOS González SDB (Mendoza, Argentine)

«Lève-toi, et reste debout devant tout le monde (…). Étends ta main»

Aujourd'hui, Jésus nous donne en exemple la liberté. Nous parlons tellement d'elle de nos jours. Mais, à la différence de ce qu'aujourd'hui on annonce et on vit comme “liberté”, celle de Jésus est une liberté totalement associée et adhérée à l'action du Père. Lui-même dira: «Je vous assure que le Fils de l'homme ne peut faire quoi que ce soit de lui-même, sinon seulement ce qu'il voit faire par le Père; ce que le Père fait, le fait le Fils» (Jn 5,19). Et le Père agit seulement par amour.

L'amour ne s'impose pas, mais fait agir, mobilise rendant généreusement la vie. Cet ordre de Jésus: «Lève-toi, et reste debout devant tout le monde» (Lc 6,8) a la force de recréer de celui qui aime, et qui par la parole agit. Encore davantage: «Étends ta main» (Lc 6,10), qui termine par un miracle, rétablit définitivement la force et la vie à ce qui était faible et mort. “Sauver” signifie arracher à la mort, et c'est la même parole qui se traduit par “guérir”. Jésus en guérissant, sauve ce qu'il y avait de mort en ce pauvre homme malade, ce qui constitue un signe, on ne peut plus claire, de l'amour de Dieu le Père pour ses créatures. Ainsi, dans la nouvelle création dans laquelle le Fils ne fera autre chose que ce qu'il voit faire par le Père, la nouvelle loi qui règnera sera celle de l’amour qui se manifeste à travers l'action, et non celle d'un repos “inactif” incluant pour faire le bien à un frère qui a besoin d'aide.

En conséquence, conjuguer liberté et amour est la clef d’aujourd’hui. Conjuguer liberté et amour à la façon de Jésus. Ce que disait Saint Augustin est maintenant pleinement en vigueur pour apprendre à ressembler pleinement au Christ Sauveur : « Aime et fait ce que tu veux».http://evangeli.net/evangile.


 

Homélie du Père Philippe

Nous voici dans une synagogue, celle de Capharnaüm probablement. Le climat y est très tendu. Pourquoi ? Parce que ces derniers temps, Jésus a mangé avec des pécheurs, ce qui est inconcevable pour des pharisiens ; de plus, ses disciples ne jeûnaient pas quand les pharisiens et les disciples de Jean, eux,  jeûnaient. Dans la synagogue, les scribes et les pharisiens sont aujourd’hui silencieux. Ils ne diront pas un mot. Ils regardent. Ils épient : si Jésus guérit ce malade aujourd’hui jour du Sabbat, ce n’est qu’un galiléen maudit qui ne respecte pas la Loi. Et, d’ailleurs, par quelle puissance au juste, guérit-il les malades ? Le silence est très pesant. Jésus est là, pris entre d’une part le besoin que cet homme a d’être guéri de sa main desséchée, et le besoin de tous de recevoir la Bonne Nouvelle, et, d’autre part, la suspicion haineuse de pharisiens.

Que faire ? Jésus n’aime pas se donner en spectacle. Jésus ne pourrait-il pas prendre à part ce malade, pour le guérir discrètement?  Non ! Jésus est venu pour proclamer l’Évangile. C’est pour cela qu’Il est « sorti ». Il annonce et annoncera l’Évangile « à temps et à contretemps » selon l’expression de Paul qui écrit à Timothée : « Proclame la Parole, insiste à temps et à contretemps, réfute, menace, exhorte avec une patience inlassable et le souci d’instruire » (2 Tm 4, 2). Jésus pourrait se taire, se retirer, se cacher pour préserver sa réputation, pour sauver sa vie. Non ! Il pourrait éliminer ses adversaires comme David : il Lui suffirait de faire appel au Père qui Lui fournirait sur le champ plus de 12 légions d’anges (Mt 26, 53).Non. Jésus n’est pas seulement désarmé, il est donné.

 

Jésus ne renonce pas à sa mission et ne cède pas à la violence : à l’hostilité des Scribes et des Pharisiens, Jésus n’a pas d’autre réponse que l’amour et la vérité qui se conjuguent dans l’annonce de l’Évangile.  « L’Esprit du Seigneur est sur moi parce qu’il m’a consacré par l’onction pour porter la Bonne Nouvelle aux pauvres » (Lc 4, 18).  Alors Jésus dit au malade : Lève-toi, et tiens-toi debout, là au milieu. Et voici l’homme – cet homme qui nous représente tous – au milieu de l’assemblée.  Pour sauver ce malade Jésus se donne, se perd, se livre. Car l’unique loi pour Jésus est l’amour ; l’unique loi c’est de se donner pour sauver les frères quelques soient les hostilités, les résistances et les refus. Mais, aujourd’hui est pourtant sabbat !  Oui. Oui, mais l’amour est-il interdit le jour du sabbat ? Y a-t-il une loi plus forte que le commandement de l’amour ? Non ! 

Qu’est-ce qui est permis le jour du sabbat ? De faire du bien, de faire le bien, de sauver une vie, comme Jésus le fait pour ce malade ? Ou bien est-il permis de faire du mal, de faire le mal, de tuer, comme les pharisiens sont en train de le préméditer ? Peut-on tuer au non d’une loi de Dieu ? Non !  Alors Jésus regarde à la ronde avec indignation, désolé par la dureté de leur cœur. Puis il dit à l’homme : « Tends la main ». Il la tend et sa main est rétablie.  Frères et sœurs, que garder en nos cœurs aujourd'hui ? Tout d’abord une immense confiance en Jésus : rien ne l’a arrêté, rien ne l’a découragé, tant notre salut, notre vie est tout son désir.  « Rien ne pourra nous séparer de l’Amour de Dieu qui est dans le Christ Jésus, notre Seigneur » (Rm 8, 39). Jésus accomplit et accomplira jusqu’au bout la volonté du Père dans notre vie. Même nos refus ne peuvent l’empêcher de nous aimer et de nous offrir gratuitement le salut. 

Car cet Évangile nous appelle également à faire le bien, à faire du bien. Nous aussi, c'est-à-dire à annoncer l’Évangile avec audace sans nous décourager, sans céder à la violence, y compris lorsque nous rencontrons l’hostilité. Si notre vie annonce l’Évangile il est impossible que nous ne rencontrions pas d’hostilité. Jésus nous demande aujourd’hui de ne pas nous décourager, de ne pas nous taire et de ne pas faire violence à quiconque. Il nous dit de quelque manière ce qu’il dit jadis à Paul : « Sois sans crainte ; continue de parler, ne te tais pas, car je suis avec toi, et personne ne mettra la main sur toi, parce que j’ai à moi  un peuple nombreux dans cette ville » (Ac 18, 9-10).

Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org

 


 

Méditation de Père Jean-Marie Fornerod, LC

Prière d'introduction

Père, « quand nous serons nourris du corps et du sang de ton Fils et remplis de l’Esprit Saint, accorde-nous d’être un seul corps et un seul esprit dans le Christ ». Au nom du Père…

Demande

Seigneur, que ma vie soit communion à la vie de Jésus, qu’elle soit cohérente avec les sacrements que je reçois.

Points de réflexion

1. La première lettre de saint Paul aux Corinthiens est un premier catéchisme eucharistique, un petit traité sur les implications de la communion à l’autel pour la vie des chrétiens. Le cas triste d’une relation scandaleuse au sein de la communauté est l’occasion pour l’apôtre de rappeler aux chrétiens que nous sommes « pâte nouvelle », le « pain de la Pâque ». Quelques siècles plus tard, un autre pasteur aimant de l’Eucharistie rappellera avec force cette vérité à sa communauté : « Moi aussi, j'élève la voix, je supplie, je prie et je vous supplie de ne pas vous approcher de cette table sainte avec une conscience souillée et corrompue. Une telle attitude en effet ne s’appellera jamais communion, même si nous recevions mille fois le corps du Seigneur, mais plutôt condamnation, tourment et accroissement des châtiments » (Saint Jean Chrysostome). Chaque fois que nous communions nous pouvons répéter avec le psalmiste : « Seigneur, que ta justice me conduise », que la présence m’éloigne du mal et soit mon réconfort. Conformer notre vie à Dieu, notre cœur et notre jugement aux siens est le défi que Jésus lance à ses interlocuteurs, tellement figés sur la loi qu’ils avaient oublié le commandement essentiel de l’amour du prochain.

2. Dans sa dernière Exhortation post-synodale, le pape François invite toute l’Église à « discerner le Corps du Seigneur » : « L’Eucharistie exige l’intégration dans un unique corps ecclésial. Celui qui s’approche du Corps et du Sang du Christ ne peut pas en même temps offenser ce même Corps en causant des divisions et des discriminations scandaleuses parmi ses membres » (Amoris Laetitia, 186). Notre vie doit être en accord avec ce pain pur et saint que nous mangeons. Par le sacrifice de la messe nous proclamons la mort de Jésus et la nôtre aux emprises de la chair ; nous célébrons la Résurrection de notre sauveur, promesse de notre résurrection ; nous attendons dans l’espérance la venue de notre sauveur, même si cette marche vers lui est parfois dure et nous succombons à la tentation. C’est là que prend sens l’invitation de saint Paul : « Je vous exhorte donc, frères, par la miséricorde de Dieu, à offrir vos personnes en hostie vivante, sainte, agréable à Dieu : c’est là le culte spirituel que vous avez à rendre » (Rm 12, 1).

3. La communion au corps et au sang du Christ nous donne la force pour vivre dans la droiture et la vérité. Demandons au Seigneur la grâce d’être un bon ferment au sein de nos familles, de la société, que la présence de Jésus se répande dans le monde à travers les hommes et les femmes qui deviennent des tabernacles vivants à chaque messe.

Dialogue avec le Christ

« Bon pasteur, pain véritable, Jésus aie pitié de nous, nourris-nous, protège-nous, fais-nous voir le bien suprême, dans la terre des vivants. Toi qui sais et qui peux tout, toi notre nourriture d'ici-bas, prends-nous là-haut pour convives et pour héritiers à jamais dans la famille des saints ».

Résolution

Faire une communion spirituelle dans la journée et l’offrir pour les hommes et les femmes qui ne peuvent pas communier.

Père Roger Villegas, LC

http://www.regnumchristi.fr


Homélie du Père Adam

« Jésus était entré dans la synagogue et enseignait. Il y avait là un homme dont la main droite était paralysée. »

Jésus leur dit : Je vous le demande, qu’est–ce qui est permis le jour du sabbat ? Est–ce de faire du bien ou de faire du mal, de sauver une vie ou d’en causer la perte ?" Jésus est dans un combat qui régénère l’humanité pour la remettre dans la vie. Il nous resitue devant notre propre vie, devant nos responsabilités pour que nous fassions le bien. Il travaille inlassablement pour délivrer l’homme de la maladie, de la souffrance et de la mort. Jésus veut la demande de ses frères pour libérer cet homme et que sa main redevienne normale. La mission de Jésus est d’ouvrir des portes, il est venu nous libérer, nous sortir de nos enfermements. Il montre que le sabbat est libérateur du mal, il permet à l’humanité de s’acheminer vers le repos qui devient une fête à laquelle elle aspire. Les scribes et les pharisiens observaient Jésus, pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat afin de trouver un motif de l’accuser. Nous demandons la grâce de faire l’expérience de la nouveauté de l’Esprit Saint.

"Mais Jésus connaissait leurs raisonnements ; il dit à l’homme qui avait la main paralysée : Lève–toi et tiens–toi là au milieu. Il se leva et se tint debout. Et Jésus leur dit : Je vous le demande, qu’est–ce qui est permis le jour du sabbat ? Est–ce de faire du bien ou de faire du mal, de sauver une vie ou d’en causer la perte ? Jésus veut nous sortir de l’enfermement, de toute extériorité idolâtrique. Nous admirons son extraordinaire liberté. Il est sorti pour faire résonner en nous une vie neuve qui manifeste l’existence du Dieu d’Amour. Il vient nous rejoindre pour intérioriser notre vie de foi. Comme il voudrait que la vie déborde, que la santé fleurisse ! Il ne supporte pas de voir chez cet homme qui souffre, cette main paralysée ! La main droite paralysée signifie que la transformation du monde est paralysée. Cet homme avait honte, il cachait cette main ! La présence de Jésus provoque l’interrogation autour de Lui. Jésus a de l’audace, c’est la blessure intime de cet homme qu’il manifeste au grand jour. C’est à la vue de tous que Jésus le manifeste ! Jésus enseigne l’Amour infini de Dieu pour l’humanité !

"Alors, promenant ses regards sur eux tous, il dit à l’homme : Tends ta main. Il le fit, et sa main fut rétablie." Remplis de fureur, ils discutaient entre eux sur ce qu’ils pourraient faire contre Jésus. Selon la loi et le commandement qui exige que l’on aime son prochain comme soi-même, il est du devoir de Jésus de guérir cet homme. Il se doit d’obéir à l’exigence supérieure d’aimer.Jésus est notre sagesse, il indique une direction pour nous libérer de ce qui étouffe notre vie. L’Evangile est une bonne nouvelle qui roule la pierre qui étouffe notre vie. Il nous faut recueillir les perles enfouies dans le champ de nos cœurs. Que Jésus renouvelle notre intelligence, par l’amour. Confrontés aux exigences du devoir, nous serons en mesure d’agir dans l’amour, comme il l’attend de nous. Cette bonne nouvelle nous donne d’entrevoir un visage de Dieu proche de l’homme, plus intime, que personne ne pourrait l’imaginer. Jésus, ce jour de sabbat dans cette synagogue, place les scribes et les pharisiens devant la question simple qui est d’aimer.

Nous demandons la grâce que dans nos assemblée la vie circule en abondance.

http://www.pere-gilbert-adam.org



Saint Aelred de Rievaulx (1110-1167), moine cistercien. Le Miroir de la charité, III, 3-6 (trad. Bellefontaine 1992, p. 193)

Entrer dans la vraie paix du sabbat

Lorsque l'homme, s'arrachant au brouhaha extérieur, s'est recueilli au secret de son cœur, qu'il a fermé sa porte à la foule bruyante des vanités..., quand il n'y a plus rien en lui d'agité ni de désordonné, rien qui le tiraille, rien qui le tenaille..., c'est la joyeuse célébration d'un premier sabbat. Mais on peut quitter cette chambre intime pour l'auberge de son cœur..., pour entrer dans le repos joyeux et paisible de la douceur de l'amour fraternel. C'est un deuxième sabbat, celui de la charité fraternelle...

Une fois purifiée dans ces deux formes d'amour [de soi-même et de son prochain], l'âme aspire d'autant plus ardemment aux joies de l'étreinte divine qu'elle est plus assurée. Brûlant d'un désir extrême, elle passe au-delà du voile de la chair et, entrant dans le sanctuaire (He 10,20), où le Christ Jésus est esprit devant sa face, elle est totalement absorbée par une lumière indicible et une douceur inhabituelle. Le silence s'étant fait par rapport à tout ce qui est corporel, sensible, changeant, elle fixe d'un regard pénétrant Ce qui Est, Ce qui est toujours tel, identique à soi-même, Ce qui est Un. Libre pour voir que le Seigneur lui-même est Dieu (Ps 45,11), elle célèbre sans aucun doute le sabbat des sabbats dans les douces étreintes de la Charité elle-même.

 

-------------------------------------------------------------------------
© Secrétariat Chorale-CSFA 2016

Pour faire un commentaire, un leg ou un don, écrire à :

csfachorale@gmail.com

-------------------------------------------------------------------------

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Chorale Belgo-Burundaise CSFA
  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 1 046 451
Publicité