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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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23 novembre 2016

Evangile et Homélie du Me 23 Nov 2016.Vous serez détestés de tous à cause de mon nom, mais [...]


Mercredi 23 novembre 2016

Nous sommes à la 34e semaine du temps ordinaire

Saint(s) du jour : St Clément I, pape (4e) de 88 à 97 et martyr († 100), St Colomban, abbé en Émilie (v. 543-615)



Livre de l'Apocalypse 15,1-4.

Moi, Jean, j’ai vu dans le ciel un autre signe, grand et merveilleux : sept anges qui détiennent sept fléaux ; ce sont les derniers, puisque s’achève avec eux la fureur de Dieu. J’ai vu comme une mer de cristal, mêlée de feu, et ceux qui sont victorieux de la Bête, de son image, et du chiffre qui correspond à son nom : ils se tiennent debout sur cette mer de cristal, ils ont en main les cithares de Dieu. Ils chantent le cantique de Moïse, serviteur de Dieu, et le cantique de l’Agneau. Ils disent : « Grandes, merveilleuses, tes œuvres, Seigneur Dieu, Souverain de l’univers ! Ils sont justes, ils sont vrais, tes chemins, Roi des nations. Qui ne te craindrait, Seigneur ? À ton nom, qui ne rendrait gloire ? Oui, toi seul es saint ! Oui, toutes les nations viendront et se prosterneront devant toi ; oui, ils sont manifestés, tes jugements. »


Psaume 98(97),1.2-3ab.7-8.9.

Chantez au Seigneur un chant nouveau,
car il a fait des merveilles ;
par son bras très saint, par sa main puissante,
il s'est assuré la victoire.

Le Seigneur a fait connaître sa victoire
et révélé sa justice aux nations ;
il s'est rappelé sa fidélité, son amour,
en faveur de la maison d'Israël.

Que résonnent la mer et sa richesse,
le monde et tous ses habitants ;
que les fleuves battent des mains,
que les montagnes chantent leur joie.

Acclamez le Seigneur, car il vient
pour gouverner la terre,
pour gouverner le monde avec justice
et les peuples avec droiture !


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 21,12-19.

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « On portera la main sur vous et l’on vous persécutera ; on vous livrera aux synagogues et aux prisons, on vous fera comparaître devant des rois et des gouverneurs, à cause de mon nom. Cela vous amènera à rendre témoignage. Mettez-vous donc dans l’esprit que vous n’avez pas à vous préoccuper de votre défense. C’est moi qui vous donnerai un langage et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront ni résister ni s’opposer. Vous serez livrés même par vos parents, vos frères, votre famille et vos amis, et ils feront mettre à mort certains d’entre vous. Vous serez détestés de tous, à cause de mon nom. Mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu. C’est par votre persévérance que vous garderez votre vie. »

– Acclamons la Parole de Dieu.


Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2016. Tous droits réservés


Homélie ou Méditation du jour

Aujourd'hui, nous prêtons attention à cette phrase brève et incisive prononcée par notre Seigneur, phrase qui déchire notre âme et en se faisant nous amène à méditer sur l'importance de la persévérance: Pourquoi est-elle si importante? Pourquoi Jésus fait-Il dépendre notre salut de l'exercice de cette vertu?

Parce que disciple n'est pas plus haut placé que le maître -«Vous serez détestés de tous, à cause de mon Nom» (Lc 21,17)- et si le Seigneur a été un signe de contradiction, par conséquent nous, ses disciples, nous le serons également. Le Royaume des cieux sera décroché par ceux qui se font violence, ceux qui luttent contre les ennemis de l'âme, ceux qui livrent avec bravoure «cette belle bataille de paix et de l'amour» qu'est la vie chrétienne, comme disait Saint Josémarie Escriva. Il n'y a pas de roses sans épines, et la route qui mène au Ciel n'est pas un chemin sans difficultés. Voilà pourquoi sans la vertu cardinale de la force nos bonnes intentions finiraient par être stériles. La persévérance fait partie de la force. En effet, elle nous pousse à devenir suffisamment forts pour que nous puissions supporter avec joie les contradictions.

La persévérance au plus haut degré s'offre à nous sur la croix. C'est pour cela que la persévérance nous donne la liberté d'offrir la possession de nous-mêmes par amour. La promesse du Christ est indéfectible: «C'est par votre persévérance que vous obtiendrez la vie» (Lc 21,19), et il en est ainsi car ce qui nous sauve c'est la croix. C'est la force de l'amour qui nous donne à chacun la patience et l'acceptation joyeuse de la volonté de Dieu, quand celle-ci -comme c'est le cas sur la croix- s'oppose "dans les premiers instants" à notre pauvre volonté humaine.

Mais uniquement "dans les premiers instants", car après l'énergie débordante de la persévérance agit et nous fait comprendre la science difficile de la croix. Ainsi la persévérance engendre la patience, et celle-ci va beaucoup plus loin que la simple résignation. Plus encore, elle n'a rien à voir avec des attitudes stoïques. La patience contribue de manière décisive à nous faire comprendre que la Croix, bien au-delà de la douleur, est fondamentalement amour.

Que Notre Mère du Ciel, qui a compris mieux que personne cette vérité salvatrice, nous aide aussi à la comprendre.

Abbé Manuel COCIÑA Abella (Madrid, Espagne)

http://evangeli.net/evangile



« On portera la main sur vous et l’on vous persécutera… Ce sera pour vous l’occasion de rendre témoignage. » Voici la récompense attribuée au disciple du Christ : la persécution qui lui donnera l’occasion de rendre témoignage. Rendre témoignage de l’amour dont Dieu nous a aimé en son Fils Jésus Christ venu nous sauver. En effet, Jésus nous a aimé sans retour en se donnant tout entier pour nous. Et c’est bien dans ce mouvement que nous sommes invités à entrer lorsque nous devenons sujets de persécutions.

Tout disciple qui a choisi de mettre ses pas dans ceux du Christ est appelé à être martyr, c’est-à-dire témoin. Jésus nous dit dans l’évangile (Mc 8, 34) : “Si quelqu’un veut marcher derrière moi, qu’il se renie lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive.” La sainteté chrétienne consiste bien dans cette sequela Christi (« suite du Christ ») dont le martyre constitue l’idéal de perfection en tant que manière la plus parfaite d’imiter le Christ dans son don d’amour total pour les hommes. Etre martyr, rendre témoignage, c’est accomplir cette parole de saint Paul dans toute sa radicalité : « Ce n’est plus moi qui vit, c’est le Christ qui vit en moi. Ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi » (Ga 3, 20).

 Notre attitude de chrétien ne saurait ne pas susciter de réactions. Attention aux lieux où l’on observe le plein consensus. Attention aux lieux où l’on s’applaudit les uns les autres, où l’on s’entoure de privilèges. Le chrétien qui se veut véritable disciple du Christ ne saurait s’accommoder de cela. Il ne s’agit pas de rechercher l’adversité à tout prix mais nous aurions grand bénéfice à nous interroger sur l’authenticité de notre témoignage si nous ne la suscitions à aucun moment.

Au cœur même des souffrances subies à cause de lui, le Christ ne nous abandonne pas : « Mettez-vous dans la tête que vous n’avez pas à vous soucier de votre défense. Moi-même, je vous inspirerai un langage et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront opposer ni résistance ni contradiction » (Cf. Evangile).

Esprit de force et d’amour, assiste-nous pour faire de nous des témoins authentiques de l’Evangile, de véritables disciples du Christ qui n’hésitent pas, dans la charité, à payer de leur personne là où leur témoignage de chrétiens l’exige.

Père Philippe

 http://www.meinau-catholiques.org



Prière d'introduction

Seigneur, tu reviendras à la fin des temps, mais personne ne sait ni le jour ni l’heure. Peut-être te verrai-je venir sur les nuées du ciel pour juger tous les hommes. Peut-être serai-je déjà mort. En tout cas, dès maintenant, je cours vers toi, Jésus, comme un petit enfant vers les bras de sa mère. Seigneur, que Marie, ta très sainte Mère, me fasse entrer dans ton Royaume auprès de toi !

Demande

Seigneur, donne-moi la grâce de la persévérance dans l’amour !

Points de réflexion

1. Ce passage de l’Évangile me transporte dans la cour du Temple, toute pavée de marbre et d’or, où Jésus passe les dernières heures de sa vie publique, avant de souffrir sa Passion. Il vient d’avertir les foules que ces décors éblouissants seront bientôt réduits en poussière car le monde que nous voyons n’est pas éternel. Mais avant de révéler la fin du monde, le Seigneur veut parler du temps intermédiaire qui s’étend de sa Résurrection jusqu’à sa venue dans la gloire, au dernier jour. C’est le « temps des nations », dans lequel nous vivons aujourd’hui en 2016. L’Évangile de ce jour me donne deux conseils pour persévérer pendant ce temps.

2. Jésus me dit d’abord que je serai persécuté.
Si je veux le suivre, je sais clairement que je devrai passer tôt ou tard par la croix. On pourra m’ignorer ou me critiquer, mais peut-être aussi m’insulter, me frapper, salir ma réputation, me traîner devant les juges ou en prison, et enfin me tuer. Je pense à tous les martyrs massacrés pour le nom du Christ, depuis saint Étienne jusqu’au père Jacques Hamel. Mais je ne dois pas avoir peur ! Je sais que le Seigneur mettra sur mes lèvres les paroles nécessaires pour tenir tête à mes adversaires. C’est bien ce qui est arrivé aux apôtres quand ils ont été emprisonnés et conduits devant le sanhédrin, ou à Mère Yvonne-Aimée de Jésus, qui a fait face aux SS quand ceux-ci voulaient forcer la clôture du monastère de Malestroit. Même des enfants comme sainte Bernadette ou les voyants de Fatima, inspirés par l’Esprit-Saint, ont résisté aux autorités civiles qui voulaient les faire mentir. Seigneur, au moment de la persécution, inspire-moi ce que je dois dire ! Je remets entre tes mains toutes mes préoccupations.

3. Le deuxième conseil que me donne cet Évangile est de regarder vers le ciel.
Il y a tout un monde invisible à nos yeux, mais vers lequel je marche depuis le jour de mon baptême. C’est dans ce monde surnaturel que tous les cheveux de ma tête seront gardés, c’est là que je gagnerai la vraie vie. En tenant mes yeux fixés sur l’au-delà, je serai capable de relativiser tout ce que cette vie d’ici-bas peut m’offrir. Je verrai que la communion des saints l’emporte sur les liens du sang, et la Parole de Dieu sur la sagesse humaine. Tout ce que j’entreprendrai ou endurerai pour le nom du Christ sera un double témoignage : un témoignage pour montrer aux hommes qu’il existe une vie infiniment meilleure que celle que nous vivons sur cette terre, et un témoignage en ma faveur devant le trône de Dieu. Seigneur, aide-moi à vivre dès maintenant comme un citoyen du ciel !

Dialogue avec le Christ

Seigneur, je te donne toute ma misère, ma faiblesse et mes péchés, car c’est la seule chose qui est vraiment à moi. Prends tout cela, je t’en prie, et cloue-le à la croix ! Sainte Vierge Marie, mère de l’Église, aide-moi à rester toujours fidèle à la pureté de mon baptême !

Résolution

Aujourd’hui, je lirai la vie d’un martyr.

Frère Benoît Terrenoir, LC

http://www.regnumchristi.fr



« Mais, avant tout cela, on portera les mains sur vous, on vous persécutera, on vous livrera aux synagogues et aux prisons, on vous traduira devant des rois et des gouverneurs à cause de mon Nom, et cela aboutira pour vous au témoignage.

Vous serez détestés de tous à cause de mon nom, mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu. » Jésus a été mis en prison, on l’a fait comparaître devant les rois et les gouverneurs à cause du nom de son Père ! Il a été livré et personne n’a pris sa défense. Il a été détesté. Ceux qu’il a choisi disaient : « Nous ne voulons pas qu’il règne sur nous ; Notre roi c’est César ! » L’évangile qui dit le mystère de Jésus, dit aussi le notre. Jésus avant sa mort, et après sa résurrection, a promis la paix à ses disciples. Cette paix est accueillie dans la lutte. C’est dans l’amour, dans la souffrance, et dans la mort que les disciples trouvent la vie. Les vrais témoins, quand on les interrogeait, qu’on les jugeait et qu’on les condamnait étaient joyeux, car ils étaient de vrais disciples. Beaucoup de femmes et d’hommes, tout remplis de douceur dans leur corps et dans leur âme, vivent dans la souffrance, dans les ténèbres, dans le délaissement intérieur et extérieur. Ils vivent avec Jésus dans le rayonnement de son amour.

« Mettez-vous donc bien dans l’esprit que vous n’avez pas à préparer d’avance votre défense : Ce sera pour vous l’occasion de rendre témoignage. » La Bonne Nouvelle s’est répandue jusqu’à nous ! Habités d’un feu brûlant pour continuer leur mission d’évangélisation, les disciples de Jésus étaient vaillants malgré les mises en garde reçues. C’était le début de la foi chrétienne et beaucoup de persécutions les menaçaient. Quelle audace, quelle foi, quelle espérance chez ces disciples ! Nous pouvons nous sentir « comme des brebis au milieu des loups. » Jésus nous donne l’assurance de Sa présence, de Son action en nous et par nous. Il nous donne la clé de l’Amour pour y parvenir. Il nous inspirera toujours les mots à utiliser pour notre défense. C’est difficile pour nous d’entrer dans cette perspective. Saint Cyprien disait : "Maintenant, que plus rien ne se trouve dans vos cœurs et vos âmes que les enseignements divins et les commandements du Seigneur dont le Saint Esprit s’est servi pour vous encourager à supporter la souffrance. Que personne ne pense à la mort, mais à l’immortalité ; ni à la souffrance temporaire, mais à la gloire éternelle, puisqu’il est écrit : « La mort des justes est précieuse devant Dieu. »

"Vous serez livrés même par vos père et mère, vos frères, vos proches et vos amis ; on fera mourir plusieurs d’entre vous, et vous serez haïs de tous à cause de mon nom. Mais pas un cheveu de votre tête ne se perdra. C’est par votre constance que vous sauverez vos vies !" Les martyrs de Jésus ont bien compris ce message. Le premier Martyr, témoin de son Père, c’est le Christ ; Nous sommes les témoins de Jésus, c’est le même l’Esprit Saint qui a enveloppé Jésus dans son offrande, qui nous accompagne. C’est le même Esprit Saint qui, dans le mystère du Christ, nous est donné et qui vit en chacun de nous. Nous n’avons qu’un souci : Vouloir ce que Jésus veut. Nous savons les persécutions qui peuvent surgir au milieu de nous et nous entraîner dans l’angoisse ! Nous demeurons « debout dans le Christ. » Si nous appartenons à Jésus, nous voulons revêtir son mystère. Nous voulons le contempler dans ses douleurs ! Contempler notre roi d’amour est notre Lumière. C’est par amour pour nous qu’il est ainsi traité. Notre Roi est le crucifié ! Il n’a pas eu d’autre couronne que la couronne d’épines. Il n’a jamais eu d’autre manteau que le vêtement de dérision ! C’est ainsi qu’il règne sur nous, pas autrement ! Nous demandons la grâce de demeurer prés de lui avec Marie. Elle seule, avec Jean et quelques femmes, l’ont accompagné dans ses douleurs. Ils nous font pénétrer dans son cœur plein d’amour. Seigneur, comble-nous de Ton amour, afin que nous puissions nous abandonner davantage à l’action de l’Esprit Saint en nous. Que nous parvenions à libérer le trésor d’Amour qui sommeille en nous.

Nous demandons la grâce de comprendre ces paroles si importantes pour grandir dans humilité et dans l’amour.

Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org



Saint Cyprien (v. 200-258), évêque de Carthage et martyr. Les Bienfaits de la patience, 13.15 ; SC 291 (trad. bréviaire rev.)

« C'est par votre persévérance que vous obtiendrez la vie »

Notre Seigneur et notre Maître nous a donné ce commandement pour notre salut : « Celui qui aura tenu bon jusqu'à la fin, celui-là sera sauvé » (Mt 10,22)... Le fait même que nous sommes chrétiens fonde notre foi et notre espérance. Mais, pour que l'espérance et la foi puissent porter des fruits, la patience est nécessaire. Ce n'est pas la gloire d'ici-bas que nous recherchons, c'est la gloire future. L'apôtre Paul nous en avertit : « Nous avons été sauvés, mais c'est en espérance. Voir ce qu'on espère, ce n'est plus espérer ; ce que l'on voit, comment peut-on encore l'espérer ? Mais nous, qui espérons ce que nous ne voyons pas, nous l'attendons avec persévérance » (Rm 8,24-25).

Dans un autre passage, Paul donne le même enseignement aux justes qui travaillent à faire fructifier les dons de Dieu, afin de se préparer de plus grands trésors dans le ciel... : « Tant que nous en avons le temps, travaillons pour le bien de tous... Ne nous lassons pas de faire le bien ; en son temps la récolte viendra, si nous ne relâchons pas » (Ga 6,10.9)... Et lorsque Paul parle de la charité, il lui joint la persévérance et la patience : « L'amour prend patience, l'amour rend service, l'amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas..., ne s'emporte pas, n'entretient pas de rancune... ; il supporte tout, fait confiance en tout, espère tout, endure tout » (1Co 13,4-7). Il montre ainsi que l'amour est capable de persévérer jusqu'au bout, puisqu'il sait tout supporter.

Enfin il dit dans un autre passage : « Supportez-vous les uns les autres avec amour ; ayez à cœur de garder l'unité dans le même Esprit en étant rassemblés dans la paix » (Ep 4,2-3). Il montre ainsi que les frères ne peuvent garder ni l'unité ni la paix, s'ils ne s'encouragent pas mutuellement en se supportant, et s'ils ne gardent pas le lien de la concorde au moyen de leur patience.

http://levangileauquotidien.org


 

 

 

 

 

© Secrétariat Chorale-CSFA 2016

Pour faire un commentaire, un leg ou un don, écrire à :

 csfachorale@gmail.com

 

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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