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Chorale Belgo-Burundaise CSFA
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4 avril 2017

Évangile et Homélie du Mardi 04 Avril 2017. Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous comprendrez que moi, JE SUIS


Mardi 04 avril 2017

Le mardi de la 5e semaine de Carême

Saint(s) du jour : St Isidore, évêque et docteur de l'Église († 636), St Gaetano Catanoso, prêtre et fondateur († 1963)


Lectures de la messe

Première lecture
« Tous ceux qui auront été mordus, qu’ils regardent le serpent, alors ils vivront ! » (Nb 21, 4-9)

Lecture du livre des Nombres

En ces jours-là,
les Hébreux quittèrent Hor-la-Montagne
par la route de la mer des Roseaux
en contournant le pays d’Édom.
Mais en chemin, le peuple perdit courage.
Il récrimina contre Dieu et contre Moïse :
« Pourquoi nous avoir fait monter d’Égypte ?
Était-ce pour nous faire mourir dans le désert,
où il n’y a ni pain ni eau ?
Nous sommes dégoûtés de cette nourriture misérable ! »
Alors le Seigneur envoya contre le peuple
des serpents à la morsure brûlante,
et beaucoup en moururent dans le peuple d’Israël.
Le peuple vint vers Moïse et dit :
« Nous avons péché,
en récriminant contre le Seigneur et contre toi.
Intercède auprès du Seigneur
pour qu’il éloigne de nous les serpents. »
Moïse intercéda pour le peuple,
et le Seigneur dit à Moïse :
« Fais-toi un serpent brûlant,
et dresse-le au sommet d’un mât :
tous ceux qui auront été mordus,
qu’ils le regardent, alors ils vivront ! »
Moïse fit un serpent de bronze
et le dressa au sommet du mât.
Quand un homme était mordu par un serpent,
et qu’il regardait vers le serpent de bronze,
il restait en vie !


– Parole du Seigneur.

Psaume
(101 (102), 2-3, 16-18, 19-21)

R/ Seigneur, entends ma prière :
que mon cri parvienne jusqu’à toi !
(101, 2)

Seigneur, entends ma prière :
que mon cri parvienne jusqu’à toi !
Ne me cache pas ton visage
le jour où je suis en détresse !
Le jour où j’appelle, écoute-moi ;
viens vite, réponds-moi !


Les nations craindront le nom du Seigneur,
et tous les rois de la terre, sa gloire :
quand le Seigneur rebâtira Sion,
quand il apparaîtra dans sa gloire,
il se tournera vers la prière du spolié,
il n’aura pas méprisé sa prière.


Que cela soit écrit pour l’âge à venir,
et le peuple à nouveau créé chantera son Dieu :
« Des hauteurs, son sanctuaire, le Seigneur s’est penché ;
du ciel, il regarde la terre
pour entendre la plainte des captifs
et libérer ceux qui devaient mourir. »

Évangile (Jn 8, 21-30)
« Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous comprendrez que moi, JE SUIS »

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là,
Jésus disait aux Pharisiens :
« Je m’en vais ;
vous me chercherez,
et vous mourrez dans votre péché.
Là où moi je vais,
vous ne pouvez pas aller. »
Les Juifs disaient :
« Veut-il donc se donner la mort,
puisqu’il dit :
“Là où moi je vais,
vous ne pouvez pas aller” ? »
Il leur répondit :
« Vous, vous êtes d’en bas ;
moi, je suis d’en haut.
Vous, vous êtes de ce monde ;
moi, je ne suis pas de ce monde.
C’est pourquoi je vous ai dit
que vous mourrez dans vos péchés.
En effet, si vous ne croyez pas que moi, JE SUIS,
vous mourrez dans vos péchés. »
Alors, ils lui demandaient :
« Toi, qui es-tu ? »
Jésus leur répondit :
« Je n’ai pas cessé de vous le dire.
À votre sujet, j’ai beaucoup à dire
et à juger.
D’ailleurs Celui qui m’a envoyé dit la vérité,
et ce que j’ai entendu de lui,
je le dis pour le monde. »
Ils ne comprirent pas qu’il leur parlait du Père.
Jésus leur déclara :
« Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme,
alors vous comprendrez que moi, JE SUIS,
et que je ne fais rien de moi-même ;
ce que je dis là,
je le dis comme le Père me l’a enseigné.
Celui qui m’a envoyé est avec moi ;
il ne m’a pas laissé seul,
parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. »
Sur ces paroles de Jésus,
beaucoup crurent en lui.

– Acclamons la Parole de Dieu.

 


Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.


 

Homélie ou Méditation du jour

 

Jésus vient à nouveau de se présenter comme l’Envoyé du Père chargé de « dire aux hommes la vérité », et c’est en cette qualité qu’il prétend dénoncer et « condamner » le mensonge. La Parole qu’il a mission de proclamer ne constitue cependant pas un jugement, voire une condamnation des personnes ; elle se présente tout au contraire comme un message de salut : le Christ est venu inviter les hommes à la conversion afin qu’ils puissent accéder à la vie que le Père leur offre en son Fils. Par contre ceux qui refusent d’entendre sa voix, seront leur propre juge (cf. Jn 12, 48) : « Si vous ne croyez pas que moi JE SUIS », c’est-à-dire si vous refusez de me reconnaître comme l’Envoyé de Dieu « transmettant son enseignement », vous « mourrez dans vos péchés ».

 

Ce message de grâce culminera dans un événement mystérieux auquel les hommes participeront, mais dont ils ne découvriront qu’a posteriori le sens : « Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous comprendrez que moi, JE SUIS ». L’appartenance du Fils de l’Homme à la sphère divine, son origine d’en haut, éclateront au grand jour à l’occasion d’une « élévation », qui manifestera à la fois l’identité et la mission de Jésus. Appartenant à cette terre par son incarnation, l’origine du Verbe n’en demeure pas moins céleste ; et c’est cette double appartenance qui lui permet précisément de dresser entre ciel et terre une échelle – l’échelle de Jacob (cf. Gn 28, 12) - par laquelle Dieu se fait proche des hommes et par lequel les hommes ont accès à Dieu.

 

Sur ces paroles, beaucoup crurent en lui » : choisissons résolument la vie en nous attachant au Christ, qui a voulu prendre part à notre nature humaine, afin de nous permettre « de devenir participants de sa nature divine (2 P 1, 4).

 

Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org



«Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous comprendrez que moi, je suis»

Aujourd'hui, cinquième mardi du Carême, à une semaine de la contemplation de la Passion du Seigneur, Celui-ci nous invite à le regarder lorsqu'Il nous rachète et nous libère d'abord sur la Croix: «Jésus Christ est notre pontife, son corps précieux est notre sacrifice qu'il a immolé sur l'autel de la Croix pour le salut de tous les hommes» (Saint John Fisher).

«Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme...» (Jn 8,28). En effet, le Christ Crucifié —le Christ “élevé”!— c'est le signe grand et définitif de l'amour du Père pour l'Humanité abattue. Ses bras ouverts entre le ciel et la terre, tracent le signe indélébile de son amitié avec nous, les hommes. En le voyant, ainsi, élevé devant notre regard pécheur, nous comprendrons que Lui, il est (cf. Jn 8,28). Et alors, comme ces juifs qui l'écoutaient, nous aussi croirons en Lui.

Seule l'amitié de celui qui est familiarisé avec la Croix peut nous rendre connaturel l'approfondissement du Cœur du Rédempteur. Prétendre à un Évangile sans Croix, dépourvu du sentiment chrétien de la mortification, ou contaminé par le milieu païen et naturaliste qui nous empêche de comprendre la valeur rédemptrice de la souffrance, nous placerait devant la terrible éventualité d'entendre des lèvres du Christ: «Après tout, pourquoi continuer à nous parler?».

Que notre regard vers la Croix, regard détendu et contemplative, soit une question adressée au Crucifié. Sans bruit de paroles, nous pouvons lui demander: «Qui es-tu donc?» (Jn 8,25). Il nous répondra «Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie» (Jn 14,6), la Vigne, sans laquelle, nous, pauvres sarments, ne pouvons donner de fruits, car Lui seul a les paroles de vie éternelle. Si nous ne croyons pas que Lui, il est, nous mourrons dans nos péchés. Mais nous vivrons, et vivrons déjà sur cette terre la vie du ciel, si nous apprenons de Lui la joyeuse certitude que le Père est parmi nous, et qu'Il ne nous abandonne pas. C'est ainsi que nous imiterons le Fils en faisant toujours ce qui plait au Père.

Abbé Josep Mª MANRESA Lamarca (Valldoreix, Barcelona, Espagne)

http://evangeli.net/evangile



 

Prière d'introduction

 

Seigneur, ouvre mon cœur à ta présence. Tu viens près de moi, tu veux te révéler à moi. Aide-moi à découvrir qui tu es.

 

Demande

 

Le don de la foi.

 

Points de réflexion

 

1. Jésus se trouve dans l’enceinte du Temple de Jérusalem. Là se trouvent de nombreuses personnes qui l’écoutent, certains croient en ce qu’il dit, d’autres non. Les paroles de Jésus peuvent sembler dures à nos oreilles, mais elles ont le mérite d’être claires. Plusieurs thèmes sont abordés, qui sont en fait tous reliés les uns avec les autres. Jésus parle de Dieu, de vie, de mort, de péché.

 

2. Dans ce texte mort et péché sont liés. Quand Jésus dit : « vous mourrez dans votre péché », ce n’est pas de la mort biologique dont Jésus veut parler, qui est le lot commun à tous, mais de la mort qu’est justement le péché, c’est-à-dire la séparation de Dieu. Dans l’Évangile de Jean, Jésus dit à un autre moment : « Je suis le chemin, la vérité et la vie ». À cette mort et à ce péché, s’oppose donc la vie avec Jésus, la vie en Dieu.

 

3. Mais quel est ce péché dont parle Jésus ? « Si vous ne croyez pas que Moi, Je Suis » dit Jésus. Avec ce « Je Suis » Jésus affirme sa divinité, en relation au nom de Dieu donné à Moïse sur le Sinaï (Ex 3, 14). Tous les péchés peuvent être pardonnés à celui qui croît en Jésus. Mais qui refuse de reconnaître Jésus, alors que celui-ci se révèle à lui, commet en quelque sorte le péché « par excellence » : si Jésus est Dieu, et si seulement en Dieu nous pouvons trouver la vie, alors refuser Jésus revient à refuser la vie elle-même. Dans cette perspective, la mort n’est plus simplement une conséquence du péché, c’est choisir la mort qui constitue le péché lui-même. Ainsi ce passage, loin de nous faire peur, doit nous rassurer : Jésus ne nous demande pas de faire des choses impossibles, la vie et le salut sont offerts à tous ceux qui croient en lui. Et comme le dit saint Jean : « beaucoup crurent en lui ».

 

Dialogue avec le Christ

 

Seigneur, tu es le Seigneur, tu es notre seul Sauveur. Aide-moi à remettre toute ma vie entre tes mains. Ce que je suis, ce que je fais, ce que je dis, tout est tien.

 

Résolution

 

Demander chaque jour le don de la foi.

 

Père Jean-Marie Fornerod, LC

http://www.regnumchristi.fr


 


 

« Jésus leur dit encore : « Je m’en vais ; vous me chercherez, et vous mourrez dans votre péché. Là où moi je vais, vous ne pouvez pas aller. »

Les Juifs disaient : « Veut-il donc se donner la mort, puisqu’il dit : “Là où moi je vais, vous ne pouvez pas aller” ? » Il leur répondit : « Vous, vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. C’est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés. En effet, si vous ne croyez pas que moi, JE SUIS, vous mourrez dans vos péchés. » Quelle profondeur donne à notre quotidien cette page de l’Evangile qui nous invite à prendre de la hauteur, « d’être d’en haut, » de vivre des « choses d’en haut. » L’émerveillement nous donne de vivre, il nous conduit à la connaissance. Notre foi commence et s’achève dans l’émerveillement, le regard qui nous élève jusqu’au Père. Notre regard sur le Christ, élevé sur la Croix, s’élève jusqu’à la résurrection. Jésus nous redit sans cesse que le mystère de Dieu est un mystère d’amour. Mais nous sommes comme le peuple d’Israël déporté en Égypte qui récrimine contre Dieu. Cet esclavage "extérieur" est le signe d’un esclavage plus profond qui est celui du péché. Jésus n’a fait que du bien, dans la douceur et la tendresse de Dieu. Devant la dureté du cœur de ceux qui se sont appropriés la loi et qui croient servir Dieu dans la contestation, Jésus dit : "Je m’en vais," vous me chercherez et vous mourrez dans votre péché. Entendre de Jésus ce message d’amour, de paix et de douceur, c’est déjà être déjà guéri.

Alors, ils lui demandaient : « Toi, qui es-tu ? » Jésus leur répondit : « Je n’ai pas cessé de vous le dire. À votre sujet, j’ai beaucoup à dire et à juger. D’ailleurs Celui qui m’a envoyé dit la vérité, et ce que j’ai entendu de lui, je le dis pour le monde. » Ils ne comprirent pas qu’il leur parlait du Père. Jésus a le cœur blessé par ces juifs qui ne comprennent pas ses paroles. La Pâque est une œuvre plus merveilleuse encore que la création au commencement du monde. Notre émerveillement passe par le détournement de notre regard de nous-même pour rejoindre la réalité du monde et de notre Salut. Marie est présente quand Jésus est dans la faiblesse de l’agonie, là, elle nous rejoint dans notre faiblesse. Elle sera encore présente quand son fils sera crucifié pour nous. Jésus nous sauve par sa Croix. Marie perçoit le combat de Jésus pour son peuple, elle souffre de la violence et de la haine contre son fils, contre le Fils unique du Père ! Elle en a le cœur brisé. "Dieu est Amour," cet amour n’est reçu que par un désir et une attente d’être sauvé. Quand le soldat ouvrit le côté de Jésus, "Il jaillit de l’eau et du sang." Cette eau et ce sang sont le symbole du baptême et de l’Eucharistie. L’Église est née par le bain du Baptême issu du côté transpercé de Jésus. Le Christ a formé l’Église à partir de son côté, comme il a formé Ève à partir du côté d’Adam. Jésus libére l’humanité de l’esclavage du menteur pour qu’elle retrouve la soif du Dieu vivant.

"Jésus leur déclara : « Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous comprendrez que moi, JE SUIS, et que je ne fais rien de moi-même ; ce que je dis là, je le dis comme le Père me l’a enseigné. » Celui qui m’a envoyé est avec moi ; il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. » Sur ces paroles de Jésus, beaucoup crurent en lui. L’émerveillement nourrit notre vie quotidienne de la Croix qui fait de nous des Chrétiens. Si la Passion de Jésus nous affecte, nous voulons l’imiter en portant nos croix avec Lui. Du ciel, le Seigneur s’est penché, il entend la plainte des captifs, il veut libérer son peuple de la mort. Dieu se laisse toucher par la vulnérabilité de sa créature, il deviendra l’agonisant qui veut nous rejoindre pour nous sortir de la détresse. La venue de Jésus nous offre la délivrance. Marie a cru en lui, elle s’est laisser toucher par Dieu, elle a crié sa soif d’aimer, sa soif d’être aimée. L’humanité a son avenir est en Dieu. Jésus lui donne l’aliment qui la fait naitre, son Corps Ressuscité. Ainsi que la femme engendre de son propre sang et nourrit de son lait ses enfants, de même le Christ nourrit constamment de son Corps et de son Sang celle qu’il a engendrée.

Nous demandons la grâce de rejoindre la bonté du cœur de Jésus.

Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org


 


 

 

« Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous comprendrez que moi, Je suis »

 

      Le Christ a pris la mort, il l'a attachée à la croix, et les hommes mortels ont été délivrés de la mort. Ce qui était arrivé symboliquement autrefois, le Seigneur le rappelle : « De même que Moïse a élevé le serpent dans le désert, il faut que le Fils de l'Homme soit élevé, afin que tous ceux qui croient en lui ne périssent pas, mais qu'ils aient la vie éternelle » (Jn 3,14). Mystère profond !... Le Seigneur ordonna en effet à Moïse de fabriquer un serpent d'airain, de l'élever sur un bois au milieu du désert et d'avertir le peuple d'Israël que, si quelqu'un était mordu par un serpent, il regarde le serpent élevé sur le bois. Ils regardaient et ils étaient guéris (Nb 21,6-9).

      Que représentent les serpents qui mordent ? Les péchés qui proviennent de la mortalité de la chair. Et quel est le serpent qui est élevé ? La mort du Seigneur en croix. En effet, comme la mort est venue par le serpent (Gn 3), elle a été symbolisée par l'effigie d'un serpent. La morsure du serpent donne la mort ; la mort du Seigneur donne la vie. Qu'est-ce à dire ? Pour que la mort n'ait plus aucun pouvoir, on regarde la mort. Mais la mort de qui ? La mort de la Vie, si on peut parler de la mort de la Vie, et comme on peut le dire, l'expression est merveilleuse. Est-ce que je vais hésiter à dire ce que le Seigneur a daigné faire pour moi ? Le Christ n'est-il pas la Vie ? Et pourtant le Christ a été crucifié. Le Christ n'est-il pas la Vie ? Et pourtant le Christ est mort. Dans la mort du Christ, la mort a trouvé la mort... ; la plénitude de la Vie a englouti la mort, la mort a été anéantie dans le corps du Christ. C'est ce que nous dirons à la résurrection quand, triomphants, nous chanterons : « Mort, où est ta puissance ? Mort, où est ton aiguillon ? » (1Co 15,55).

Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église

http://levangileauquotidien.org






Nos sources:

Extraits de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris-France, 1980-2017. Tous droits réservés.

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1. Père Philippe

http://www.meinau-catholiques.org

2. Abbé A

http://evangeli.net/evangile

3. Frère F.

http://www.regnumchristi.fr

4. Père Gilbert Adam

http://www.pere-gilbert-adam.org/

5. Pape P.

http://levangileauquotidien.org


  

   

 

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  • La Chorale Saint François d'Assise (CSFA-Chorale) est Catholique. Elle a été créé à Liège-Belgique en 2015 par et pour les Burundais et amis des Burundais. Son objectif principal est d'animer des messes catholiques avec ferveur et dévotion.
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